Du 10 novembre 2017 au 1er janvier 2018
Préambule Texte d’Alice Cazaux
John Perello, mieux connu sous le nom de JonOne, est l’un des précurseurs du street art en France. Né à Harlem (New York) en 1963, de parents Dominicains, il vit à Paris depuis bientôt trente ans. Ce qui le caractérise : sa signature JONONE en all over, sur toute la surface de la toile. Très remarqué lors de l’exposition Né dans la rue à la Fondation Cartier (Paris, 2009), son travail plonge ses racines dans la peinture gestuelle de l’abstract painting américain et le vocabulaire pictural du tag. En résulte ce croisement singulier, qui se manifeste comme une signature tribale.
JonOne s’inscrit dans une pratique mature sans pour autant oublier ses origines : il se définit comme un peintre abstrait, qui utilise les codes graphiques de la rue. Mais lorsqu’on l’interroge sur ses liens avec Keith Haring et Jean-Michel Basquiat, il leur préfère aujourd’hui une filiation avec Raymond Hains, Jacques Villéglé, Christopher Wool ou Ben.
Cette exposition à la Fondation Clément est le fruit d’un retour sur les terres caribéennes qui ont vu naître ses parents.

— Par Dégé —
C’est la rentrée après les vacances de Toussaint et bonne nouvelle, le ministre de l’éducation a annoncé, dans un entretien publié dimanche par 20 Minutes le soutien scolaire gratuit pour les collégiens.
Le prix Goncourt est attribué à Eric Vuillard pour « L’Ordre du jour ». Le Renaudot revient à Olivier Guez pour « La Disparition de Josef Mengele ». Deux livres qui mettent en jeu l’histoire récente de l’Europe.
Dans la chronique des jours du passé, lorsqu’il faut revivre le « temps de l’Amiral Robert », le souvenir de Soeur Rose paraît toujours aussi frais, au point d’être dressé dans l’esprit, tel un monument à sa gloire.
La présidente de la Fondation pour la nature et l’homme (FNH, ex-Fondation Nicolas Hulot), Audrey Pulvar, appelle à renégocier le traité commercial controversé entre l’Union européenne et le Canada (Ceta) pour mettre en place « un veto climatique opérationnel ».
Hac ex causa conlaticia stipe Valerius humatur ille Publicola et subsidiis amicorum mariti inops cum liberis uxor alitur Reguli et dotatur ex aerario filia Scipionis, cum nobilitas florem adultae virginis diuturnum absentia pauperis erubesceret patris.
Monsieur le Président,
Date de sortie 20 septembre 2017 (1h 58min)
Date de sortie 5 juillet 2017 (1h 51min)
Date de sortie 9 août 2017 (1h 53min)
La modernité artistique a cela de particulier qu’elle accorde souvent une « aura » subversive ou transgressive aux œuvres qu’elle voit émerger. Que cette évaluation s’établisse sur le vif (pratique du critique d’art) ou qu’elle prenne forme a posteriori (pratique de l’historien de l’art), elle semble dans la plupart des cas un critère incontournable auquel toute œuvre doit répondre positivement, parfois même au risque de l’anachronisme. Dans ce contexte, on indexe régulièrement une œuvre d’art avant tout à sa portée transgressive que l’on finit toujours par déceler, que cette dernière soit réelle ou qu’il s’agisse d’une surinterprétation. Tant et si bien que le terme « transgressif » semble avoir perdu, dans la période récente, une grande partie de sa pertinence. On se rend alors rapidement compte que lorsque l’on affirme qu’une œuvre d’art est transgressive, on ne dit réellement rien de l’œuvre elle-même, de son fonctionnement en tant qu’œuvre, ou encore de son mode d’apparition dans un monde de l’art particulier. En d’autres termes, chercher à définir ce qu’est une œuvre d’art transgressive conduit généralement à des conclusions proches de certaines apories esthétiques rencontrées lorsque l’on tente de définir ce qu’est une œuvre d’art.
Depuis l’avènement de la crise des finances publiques, les collectivités territoriales évoluent dans un univers financier très difficile. Aujourd’hui, la quasi intégralité des communes de la Guadeloupe et de la Martinique sont dans le rouge. La cour des comptes pointe des « négligences graves » dans les finances des communes des deux îles. Et un haut fonctionnaire de la cour des comptes de s’indigner : «Arrêtons de perdre du temps et de l’argent sur les DOM TOM, cela fait des années que cela dure. Et tout ce que j’entends est qu’ils veulent plus d’argent mais qu’ils rechignent à faire des réformes statutaires pour changer la donne actuelle d’une économie perpétuellement sous perfusion financière de la France. Qu’ils fassent leurs réformes et qu’ils en assument les conséquences !» On ne pourrait être plus explicite du nouvel état d’esprit qui prévaut dans les hautes sphères de la politique et de l’administration française. Après avoir vu leur situation financière se dégrader dès 2012 avec la baisse des dotations, les administrations locales vont devoir faire face à une période qui s’ouvre avec le président Macron, bien plus contraignante, en raison de la raréfaction des fonds publics.
Alors il nous faudra avoir la patience de reprendre l’ouvrage, la force de refaire ce qui a été défait; la force d’inventer au lieu de suivre; la force « d’inventer » notre route et de la débarrasser des formes toutes faites, des formes pétrifiées qui l’obstruent…
Ismauir de Sousa a passé trente ans dans des fermes du nord du Brésil, sous-alimenté, soumis à des journées de travail harassantes, dormant sous des bâches en plastique et buvant la même eau que les animaux.
Depuis quelques jours, notre consœur Nadia Daam est assiégée par des nervis abrités dans l’anonymat d’Internet, sur Twitter, Discord ou sur les forums de discussion 18-25 de la plateforme jeuxvidéo.com.
Une grande somme de force et de courage est actuellement demandée aux jeunes et aux vieux de la Martinique. En effet, les uns et les autres ne sont plus redevables des politiques de leurs beaucoup-trop-nombreuses collectivités, s’agissant des possibilités offertes de travail et de sépulture. N’est-ce pas symptomatique de l’inertie de certains élus majeurs, dont l’égo, centré sur leur personne, crée délibérément l’émigration hors du pays martiniquais ?
Depuis mercredi, le journal satirique e Hebdo est de nouveau violemment attaqué et menacé sur les réseaux sociaux pour sa Une sur l’islamologue Tariq Ramadan.
Pourquoi le #3novembre11h44 ?
Dans son documentaire « Ouvrir la voix« , Amandine Gay interroge 24 femmes noires sur leur identité. La réalisatrice souhaite constituer une archive sur la condition des femmes noires en Europe au XXIe siècle.
Régression : en 2017, les progrès mondiaux enregistrés ces dix dernières années en matière de parité des genres marquent un coup d’arrêt
Vous souhaitez refaire votre carte grise ou simplement modifier l’adresse mentionnée dessus ? Vous achetez un véhicule d’occasion ? À partir du 6 novembre 2017, toutes les démarches de certificat d’immatriculation (ex carte grise) se feront en ligne et non plus aux guichets des préfectures.
Les yeux déments et le visage en sang, une petite fille éructe des insultes à un prêtre, se déplace à quatre pattes, crache du sang et vomit de la bile. Qui n’a pas tremblé devant la vision de Regan MacNeil, cette petite-fille possédée par le démon dans le film L’Exorciste de William Friedkin ? Un spectacle terrifiant, pourtant loin de la réalité rencontrée par les prêtres exorcistes. Certains ont accepté de raconter leur quotidien à franceinfo.
Du Nord à la Bretagne, j’ai passé quelques jours et quelques nuits avec des victimes de phénomènes étranges et des « enquêteurs du paranormal » qui tentent de les aider. Et, oui, il m’est arrivé de claquer des dents.