La Fédération Française Randonnée Martinique a organisé, avec succès, pour la cinquième année consécutive son festival international de randonnée avec plusieurs objectifs :
Encourager la population à découvrir la randonnée pédestre et à s’investir dans leur territoire.
Valoriser le tourisme de nature en Martinique à travers un événement d’envergure internationale et éco-responsable.
Promouvoir la Martinique comme une grande destination éco-touristique grâce à la qualité de ses sentiers pédestres.
Favoriser les échanges sportifs entre randonneurs locaux et internationaux.
Mettre en avant la biodiversité et le patrimoine naturel, historique et culturel exceptionnel de l’île.
Le Festival se termine dimanche avec la Grande Convergence vers le Diamant…
Vendredi 07 Juin 2024 : La Marche vers le camp de Balata (Fort de France)
Au départ du siège de la Collectivité territoriale de la Martinique, une excursion vers l’ancien camp militaire de Balata à travers un tracé unique et éphémère à travers des quartiers de Fort-de-France en partie et dans le massif de Balata sur la fin.
10 Km – 3h00 – D+368m – Niveau 3
Point de rdv à 6h15 devant le siège du comité.

La 7ème édition du Festival International de la Randonnée de la Martinique se tient du 25 mai au 9 juin. Cet événement s’est inscrit comme une date clé dans le calendrier des activités sportives et touristiques de l’île, attirant aussi bien les habitants que les visiteurs internationaux.
Des centaines de jardins publics et privés ouvrent leurs portes durant ces 3 journées. La manifestation porte cette année sur le thème « Les 5 sens au jardin ». Découvrez le programme !
Dans les méandres tumultueux de l’histoire récente du Mémorial ACTe, chaque épisode semble révéler une nouvelle facette des dysfonctionnements qui ont sapé les fondations de cet édifice culturel. Depuis son inauguration en grande pompe en 2015, avec la présence du président Hollande et d’éminents dignitaires de la Caraïbe, le musée a oscillé entre espoirs et désillusions, laissant entrevoir une vision ambitieuse de réconciliation et de transmission de mémoire qui, hélas, peine à se concrétiser.
Le carnaval de Rio de Janeiro, prévu pour débuter le 9 février, se voit assombri par une menace inattendue. Alors que le Brésil se remet à peine des perturbations causées par la pandémie de Covid-19, la dengue fait une entrée dramatique dans la scène sanitaire du pays.
Saint-Joseph
Le Carnival Run, organisé par le Rotary Club de Schœlcher, fait son retour ce samedi 3 février après une pause de 3 ans. Cette course déguisée de 5 km, intégrée aux festivités du carnaval, vise à soutenir les personnes, notamment les enfants, souffrant de troubles Dys tels que la dyslexie, la dysorthographie, la dysphasie et la dyscalculie. Prévu à 14h à l’ex-espace Osenat, l’événement promet une ambiance festive avec animations, course à pied, DJ, et accueillera près de 2 500 participants de 6 ans et plus. La 6e édition, parrainée par Lionel Nidaud, personnalité télévisuelle et des réseaux sociaux, privilégie la philanthropie plutôt que la performance. Les fonds récoltés seront dédiés à des actions de sensibilisation pour les personnes atteintes de troubles Dys, en partenariat avec l’association Alternative Espoir. Une partie des dons contribuera à l’accompagnement des élèves Dys, tandis qu’une autre sera allouée à la création d’une « Maison des Dys » au lycée Schœlcher. Enfin, des fonds seront également utilisés pour la mise en place d’un programme de remédiation de la mémoire de travail, en collaboration avec des psychologues, pour améliorer la prise en charge des Dys en Martinique ?
Dimanche 04 février 9h00
Samedi 13 janvier : Capit’All Show (parade de groupes à pied)
Le carnaval de Saint-Pierre, c’est une tradition ancrée dans l’histoire et le cœur de cette ville martiniquaise depuis 1888. À l’époque, la fête durait deux mois et demi, marquant le rythme effervescent de la vie à Saint-Pierre. Les rues résonnaient des airs joyeux des chansons à la mode chaque dimanche, pendant que les établissements de bals publics ouvraient leurs portes, arborant fièrement drapeaux et noms de guerre.
Le carnaval de Martinique se déroule du samedi au mercredi de la semaine des jours gras précédant le carême ; notamment le samedi gras (présentation des reines du carnaval), le lundi gras (défilé des mariages burlesques costumés en travestis), le mardi gras (défilé des diables rouges costumés en rouge) et le mercredi des cendres (défilés en noir et blanc, mort de Vaval).


Au début du XXe siècle, le Baron Pierre Daniel Jullien de Saumery s’installe sur les terres du Gros-Morne en Martinique. Il y développe principalement la culture de l’ananas pour la production de conserves, ainsi que celle de la goyave. En 1921, la conserverie « La Denelle » voit le jour, devenant l’un des plus anciens sites industriels de l’île encore en activité. Cette conserverie a d’abord été nommée « L’Ancienne Compagnie Antillaise », avant de devenir « Royal », en référence à la couronne du fruit, mais aussi à la description donnée par le Révérend Père Dutertre : « L’ananas, le roi des fruits et le fruit des rois ».
Espace Man Na et quartiers
Epuisées par la chaleur de notre randonnée en haut du Morne Pavillon à Tartane, nous tombons sur une étrange demeure qui suscite toute notre attention : girouettes de couleurs, objets insolites détournés cloués sur des troncs d’arbres, mobiles de toutes sortes virevoltant au gré du vent….Nous voilà happées par l’univers de Monsieur Aramis Saindoy.
Le projet BIAC-réseaux* annonce le carnaval des arts : populaires, vivants, visuels….
La Collectivité Territoriale de Martinique lance la deuxième édition de la Biennale Internationale d’Art Contemporain en plein carnaval de Fort de France. 
A Fort-de-France comme à Pointe-à-Pitre, «vidés» et «déboulés», les traditionnelles fêtes de rues pour le Mardi gras, sont interdits en raison de la pandémie. Mais beaucoup bravent les forces de l’ordre.
Il s’agira d’analyser le mouvement de résistance de la population martiniquaise qui s’est développé face à la décision des autorités, de décrire la division de la classe politique face à la tenue du Carnaval 2021 et de conclure sur la capacité de l’intelligence collective de réinventer une tradition qu’on ne peut arracher au peuple martiniquais.
— Par Daniel M. Berté —