Dès le début de la saison cyclonique (juin)
– Nettoyez les ravines proches de la maison (pour une bonne évacuation des pluies) et élaguez les arbres voisins.
– Rangez dans un abri les tôles, planches qui pourraient s’avérer des projectiles dangereux lors de vents forts.
– Consolidez la maison au niveau de ses issues (portes et fenêtres). Vérifiez et consolidez le cas échéant la toiture.
– Veillez au bon entretien du système d’évacuation des eaux pluviales (chenaux, gouttières, …).
– Constituez et stockez, en lieu sûr, une réserve alimentaire raisonnable de longue conservation : riz, haricots, conserves, sucre, huile, lait en poudre ou stérilisé, biscuits, …
– Prévoyez une réserve d’eau potable en quantité suffisante pour la famille pour plusieurs jours (au moins 10 litres par personne).
– Stockez en un lieu défini et accessible les équipements et outils susceptibles d’être utilisés après un cyclone : hache, scie, clous, marteaux, bâches, contre-plaqués, bidons plastique de type jerrycan, serpillières, seaux, … ainsi que de l’eau de javel.
– Disposez en un lieu facile d’accès et connu de tous, d’une trousse de premier secours : pansements, alcool à 70 ou 90°, mercryl, coton hydrophile, compresses, sparadrap, …
– Prévoyez un poste de radio portatif à pile avec réserves de piles, ainsi que des moyens d’éclairage de secours : lampes électriques avec réserves de piles, bougies, lampes à gaz ou à pétrole avec allumettes, voire groupe électrogène avec réserve de carburant.




Samir Amin est né au Caire d’une mère française et d’un père égyptien, tous deux médecins. Il a passé son enfance et son adolescence à Port-Saïd où il suivit les cours d’une école française et obtint son baccalauréat (de type français), en 1947. De 1947 à 1957, il étudie à Paris où il passe avec succès un second baccalauréat option « mathématiques élémentaire » au lycée Henri IV de Paris puis il décroche un diplôme de sciences politiques à Sciences Po Paris (1952) avant son diplôme en statistique (1956) et en économie (1957). Il est aussi professeur agrégé en sciences économiques. Dans son autobiographie Itinéraire intellectuel (1990), il écrit qu’afin de passer un temps substantiel en « action militante », il ne pouvait consacrer qu’un minimum de travail à la préparation de ses examens universitaires.




Depuis le titre de champion du monde de l’équipe de France de football, les origines de ses joueurs sont mises en avant. Sur les réseaux sociaux et même par des personnalités, médiatiques ou politiques. Le président du Venezuela, Nicolas Maduro, avait livré son opinion, peu réfléchie. Pour lui, «c’est l’Afrique qui a gagné».
Les fans étaient déchainés dans les centres commerciaux qui, certainement par amour des clients, avaient installé chaises et grand écran. Ce même amour qui avait conduit des chefs d’entreprises, tellement peu conciliants le reste du temps, à assurer que leurs salariés puissent suivre les matchs sur le lieu de travail.
Après la mort de Roger Bellemare, beaucoup de ses élèves, ses collègues, ses camarades syndicaux et politiques lui ont rendu hommage.
L’an dernier [en 1995], je me rappelle un mauvais jour : j’avais eu comme le souffle coupé, un haut-le-cœur envérité, quand j’ai entendu pour la première fois, la comprenant à peine, l’expression « délit d’hospitalité ». En fait, je ne suis pas sûr de l’avoir entendue, car je me demande si quelqu’un a jamais pu la prononcer et la prendre dans sa bouche, cette expression venimeuse, non, je ne l’ai pas entendue, et je peux à peine la répéter, je l’ai lue sans voix, dans un texte officiel.
Alors que les équipes qualifiées pour le deuxième tour de la Coupe du monde seront bientôt connues, osons faire quelques commentaires des Martiniquais, certes incomplètes, sur l’évènement et l’approche qu’en ont les Martiniquais. D’abord, le championnat d’Europe des clubs champions tend à devenir la plus importante sur le plan sportif que la Coupe d’Europe des nations et la Coupe du Monde. Les grands joueurs y son meilleurs. En effet, il y a en Europe cinq ou six clubs de niveau européen qui feraient plus que rivaliser avec les sélections de leurs nations respectives. Ils sont en Espagne, en Allemagne, en Italie et en Angleterre où, à de rares exceptions, les joueurs ne quittent pas leur pays. Les joueurs français qui, grâce à la qualité de ses écoles de formation, sont parmi les meilleurs du monde, sont dispersés hors de la France, incapable de les garder. Ils n’ont pas de club français à leur mesure, mais, convoqués en sélection, ils ne font pas équipe. En effet, l’Equipe de France est formée de joueurs issus d’une dizaine de clubs qui, à deux ou trois unités près, sont des clubs étrangers.
Le débat ouvert par LKP dérange et la récente publication de Messieurs
Le nouveau directeur éditorial de Martinique la 1ere qui vient tout juste de quitter la Réunion pour la Martinique a décidé de supprimer des programmes de cette radio Tout Lang Sé Lang (Toutes les langues sont des langues) de Daniel Boukman, diffusé du lundi au vendredi à 5 heures 05 et à 19 heures 05.
La première traduction en créole des décrets d’abolition de l’esclavage de 1848, textes fondateurs de notre époque vient d’être publiée aux Editions Scitep. Cette traduction interroge un évènement du passé colonial et esclavagiste, permettant, certainement un regard neuf sur la société créole actuelle. Madini-nart a rencontré l’auteur, Rodolf Etienne, qui présente ici la poursuite d’un engagement créole déjà bien manifesté..
MOTS DE TOUS LES ÂGES – Le lexicologue Jean Pruvost, auteur d’un
Il était surnommé « la voix d’or du Mali ». Kassé Mady Diabaté est mort jeudi 24 mai à Bamako à l’âge de 69 ans. Kassé Mady Diabaté était l’un des plus grands griots maliens, si ce n’est le plus grand.
— Par Pierre PASTEL, sociologue, psychothérapeute, président du CEGOM —
Le mot Chavouot signifie « semaines ». Cette fête juive se situe au 50ème jour – soit 7 semaines après Pessah (Pâque)- qui correspond au mot grec « Pentecôte ». La fête de Chavouot est une des trois fêtes de pèlerinage avec Pâque et Souccot.
Par sa portée symbolique, la posture fait la différence !