Rassemblement massif le 12 juin 2018 à 8h à la maison des syndicats
L’UFM, membre de « LYANNAJ POU DEPOLIE MATINIK » et de l’association «SAUVONS LA SANTE EN MARTINIQUE »
Rassemblement massif le 12 juin 2018 à 8h à la maison des syndicats
Continuons et amplifions la mobilisation !
L’Union des Femmes de Martinique se joint aux très nombreuses voix qui se sont levées pour exiger que notre santé fasse l’objet d’une véritable politique avec les moyens adéquats, et intègre toutes les conséquences de l’empoisonnement dont nous avons été victimes.
Nous dénonçons :
✓ La dégradation de la situation des hôpitaux :
Mauvaises conditions de travail pour les agent-e-s qui manquent de matériels, de moyens, de personnel, situation de plus en plus intenable qui interdit d’assurer des soins de qualité à notre population. Parmi ce personnel, une majorité d’agentes, constamment sous tension à cause de la pénibilité de ce cadre de travail et est angoissée de ne pouvoir soigner correctement les patient-es.
✓ L’empoisonnement par les pesticides, et massivement par le chlordécone :
Ce pesticide est aujourd’hui qualifié de « bombe à retardement ».

— Par Stéphane Foucart —
— Par Faustine Vincent (Guadeloupe, envoyée spéciale du journal Le Monde)
Qu’y a-t-il de commun entre la faillite et récente fermeture (17 mai 2018) du centre de santé de Basse-Pointe ouvert en 2015, et la réponse globalement négative donnée par le Ministère de la santé, à Paris, aux préoccupations de la délégation mixte « Sauver la santé en Martinique/CHUM Douvan Douvan » conduite par Jean-Luc Fanon ? En apparence rien, sauf que l’un comme l’autre dépendent de la politique de Macron et Buzyn, sa ministre de la santé, qui poursuivent avec la même obstination que tous les gouvernements qui les ont précédé ces 30/40 dernières années, les mêmes orientations libérales dont font les frais l’immense majorité de la population. Sauf encore qu’aussi bien du côté de la création du centre de Basse-Pointe que de la démarche de Fanon et de « Sauver la santé en Martinique » notamment, on s’est situé sur le terrain de l’adhésion au modèle libéral miné de la santé en France, acceptant sans trop de tergiversation sa philosophie et ses postulats, ses réponses (fournies et à attendre) aux problèmes posés concernant la santé en Martinique (comme en France).
Marée brune sur les côtes antillaises. En Martinique, les criques paradisiaques aux eaux translucides sont transformées en bouillon d’algues en putréfaction. Plus qu’une pollution visuelle, elles ont des conséquences dramatiques sur l’environnement et sur la santé.
De la même manière qu’au début du capitalisme la charité a œuvré pour limiter l’insécurité de la condition salariale et des familles populaires, de nos jours avec Agnès Buzyn (la ministre de la santé), c’est une réponse de même nature (charité imposée) qui nous est donnée au sujet du financement de la perte d’autonomie des personnes âgées, c’est-à-dire de leur dépendance.
Le Réseau national de surveillance aérobiologique, l’association des pollinariums sentinelles de France (APSF®), les associations agréées de surveillance de la qualité de l’air (AASQA) et la Fédération Atmo-France publient conjointement le premier
Lancée par l’Assurance Maladie pour accompagner les personnes souffrant de mal de dos et celles qui souhaitent prévenir l’apparition de douleurs, Activ’Dos a remporté le prix de l’application mobile de santé destinée au grand public, décerné à l’occasion des Trophées de la santé mobile le 9 février 2018.
À la veille de la sortie nationale du 4ème Plan Autisme, MARTINIQUE AUTISME souhaite informer le plus grand nombre de personnes sur :
Dans les Antilles françaises et en Guyane, les dispositifs de santé contre le sida et les infections sexuellement transmissibles ne correspondent ni aux territoires ni aux besoins des populations.
Vous aussi, vous avez dégusté les délicieuses écrevisses de S……., au Lorrain, Martinique?
Le laboratoire français est-il allé trop vite ? A-t-il négligé certaines alertes ? Après la mort de plusieurs enfants aux Philippines, l’industriel pharmaceutique a dû stopper brutalement sa campagne de vaccination contre cette maladie tropicale. L’avenir du produit est plus qu’incertain
On sait que depuis leur prise de fonction à la direction du CHUM en lieu et place de l’ancien directeur Estienne – mis de côté pour n’avoir pas réussi ou plutôt avoir trop tardé dans la mise en place des mesures draconiennes – le trio des inspecteurs dépêché par la ministre de la Santé, fait la chasse, en silence et sans véritable pression syndicale ou autre, à tout ce qu’ils estiment inefficient pour le fonctionnement de l’hôpital. C’est d’ailleurs le sens de leur lettre de mission qu’ils poursuivent visiblement sans perturbation majeure, sans trop de soucier des exigences de fond de la communauté des médicaux, paramédicaux et autres, à qui l’on demande de travailler toujours plus, sans tous les moyens nécessaires, mais avec leur seule conscience professionnelle.
Selon une étude menée par l’ONG 
La première alerte remonte à juin 2011. Une plombémie sévère est dépistée chez une fillette de 3 ans vivant à Mana, dans l’ouest de la Guyane. Son sang contient 1 724 microgrammes de plomb par litre (µg/L), alors que le seuil du saturnisme est atteint à partir de 50 µg/L. Une enquête sanitaire menée par l’Agence régionale de santé (ARS) révèle alors que la moitié des personnes vivant dans l’entourage de la fillette – dont la plupart des enfants – se situe au-dessus des normes. » A partir de 50 µg/L, il peut y avoir chez le fœtus et l’enfant des troubles neurologiques avec des troubles cognitifs, des petites anomalies rénales, un peu d’hypertension « , précise Paul Brousse, médecin au Centre délocalisé de prévention et de soins de la collectivité territoriale de Guyane (CTG) à Maripasoula.
Damon Gameau, réalisateur du film
Un pesticide est une substance chimique utilisée pour lutter contre des organismes considérés comme
Chaque année, la communauté internationale commémore la Journée mondiale de lutte contre le sida le 1er décembre. Cette journée est l’occasion de rendre hommage à celles et ceux qui ont perdu la vie à cause du virus, de communiquer notre engagement continu à aider les personnes infectées par le VIH oet celles à risque, et de rendre également hommage au personnel soignant, et aux familles, amis et communautés qui les soutiennent.
Signes possibles : A partir de 15 jours après la contamination : fièvre, éruption cutanée, fatigue, diarrhée, puis ces signes disparaissent. Quelques mois à quelques années après la contamination, après une longue phase sans signe apparent, ces symptômes réapparaissent (ils témoignent de l’affaiblissement immunitaire).