Le décès tragique de Frank Tyson, un Afro-Américain de 53 ans, lors d’une interpellation brutale par deux policiers à Canton, Ohio, le 18 avril, résonne comme un écho funeste de l’affaire George Floyd qui a secoué l’Amérique en 2020. Les similitudes entre les deux événements sont frappantes : l’utilisation excessive de la force par les autorités, les derniers mots étouffés de la victime – « Je ne peux pas respirer » – et l’indignation généralisée qui s’ensuit dans la société américaine.
Les circonstances de l’arrestation de Tyson sont troublantes. Alertés après un accident de la route où Tyson aurait arraché un poteau électrique avec sa voiture, les policiers l’ont trouvé dans un bar voisin, apparemment agité. Les images de la caméra corporelle d’un des agents révèlent une confrontation violente, aboutissant au plaquage au sol de Tyson et à son immobilisation par un genou sur la nuque. Ses supplications, sa détresse, ses cris de douleur résonnent dans nos esprits, rappelant tragiquement les derniers instants de George Floyd.
Après plusieurs minutes sous cette contrainte, Tyson devient inerte. Malgré les tentatives de réanimation, il est déclaré mort à l’hôpital peu de temps après son arrestation.

Le 23 avril, le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé vouloir réhumaniser le service public grâce à l’intelligence artificielle, ce qui constitue un tournant sans précédent. Si pour lutter
Déclaration des organisations patriotiques de Martinique, Guadeloupe et Guyane réunies en Martinique le 20 avril 2024
Le collectif J’y suis j’y vote ! en partenariat avec le réseau européen VRAR (Voting Rights for All Residents) célèbrent la 4e édition de la journée internationale du droit de vote pour toutes et tous les résident.es à PARIS.
— Par Sarha Fauré —
— Par Vadim Kamenka —
— Par Jean Samblé —
Port-au-Prince, le 19 avril 2024 : Au cours du premier trimestre de l’année 2024, le BINUH a enregistré 2.505 personnes de meurtres et de blessures à la suite de violences liées aux gangs, une augmentation de plus de 53 % par rapport à la période précédente (octobre-décembre 2023), faisant des trois premiers mois de 2024 la période la plus violentedepuis au moins le début de 2022.Parallèlement, au moins 438 personnes ont été enlevées contre rançon, dans les départements de l’Ouest et de l’Artibonite.
Hommage aux militants anticolonialistes Nills Andersson, Allice Cherki et à l’4ACG
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J’ai reçu, il y quelques temps déjà, dans la livraison de Madinin’art, un article de Patrick Chamoiseau au titre racoleur : «
Le principe d’un financement public des partis politiques a été posé par la loi du 11 mars 1988. Les partis politiques reçoivent une aide de l’État en contrepartie de l’interdiction des dons entreprises ou autres personnes morales. des Une aide en deux fractions
— Par Jean Samblé —
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La situation en Haïti est critique (euphémisme!), avec une escalade de la violence des gangs depuis mars, mettant en péril l’aide alimentaire du Programme alimentaire mondial (PAM). Alors que le PAM a intensifié ses efforts pour fournir de la nourriture à plus de 500 000 personnes, ses stocks risquent d’être épuisés d’ici fin avril. La fermeture du principal port et de l’aéroport de Port-au-Prince a entravé l’acheminement de l’aide humanitaire. Le pays ne dispose que de suffisamment de nourriture pour nourrir 175 000 personnes pendant un mois, selon le PAM.
— Par Jean Samblé —
Le communiqué triomphant de la CTM m’a avant tout comblé de joie ! Enfin Max Orville, à force d’alerter sur le désintérêt coupable de la CTM, avait enfin renversé le mouvement et contraint la CTM à, au moins, préserver le montant de ces fonds au maximum pour le prochain exercice.
— Par Jean Samblé —
Le 19 mars 2024, Serge Letchimy déclarait dans le journal France Antilles : «Pour s’occuper du quotidien des martiniquais, il faut changer les textes». Cet aveu d’impuissance et d’incapacité de celui qui s’était fait élire en juin 2021 sur un mirobolant programme de 207 actions, articulées autour de 12 axes majeurs, aurait dû le conduire, s’il avait un tant soit peu le sens de l’honneur, à remettre immédiatement sa démission au Préfet pour revenir devant le peuple s’excuser de s’être lourdement trompé, en lui faisant prendre des vessies pour des lanternes. Il n’en a rien été et, bien loin de céder la place à ceux qui savent faire et ne se laissent pas rebuter par les difficultés, l’autonomiste à tous crins qu’il prétend être s’est métamorphosé en petit quémandeur épistolier de l’Élysée, à qui il soumet désormais tous les problèmes qui le dépassent. Le dernier en date est relatif au foncier qui défraie ces jours-ci la chronique. À la base se trouve l’imprévoyance des familles martiniquaises qui ne se soucient pas, en temps opportun, de faire régulariser, par acte notarié, le partage de leurs biens entre leurs différents héritiers, ce qui ouvre la porte à toutes sortes de manœuvres plus ou moins dolosives..La
Dans le tumulte chaotique d’une Haïti déchirée par la violence et l’instabilité politique, les mots « cataclysmique » résonnent comme un sombre avertissement. L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) rapporte un exode massif de la capitale Port-au-Prince, une fuite désespérée loin des griffes des gangs dévastateurs.
Qu’il s’agisse de la Corse, de la Guyane, de la Martinique
» Israël, nation que jadis ma main a épargnée,