« Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose ! »
Le mensonge, oui c’est la voie définitivement choisie comme mode d’expression et de gouvernance de dits élus qui n’ont ni projets, ni idées ni visiblement la moindre considération pour le peuple martiniquais qu’ils ont choisi visiblement de traiter en idiot.
Mentir, mentir et encore mentir et se complaire dans cette confortable imposture de la facilité du mensonge telle semble leur devise.
La liste de ces pratiques prend désormais des proportions démesurées : le Rond-point de « tilo », et la passerelle de Fond Giromon, les carences techniques des travaux de la RN5, l’inéligibilité d’Yvette Galot, sur l’utilisation des terres agricoles pour le fermes voltaïques, sur une « certaine » opacité des aides sociales, sur les apprentis, sur l’aide aux étudiant, etc…








Est-il possible d’envisager des réparations financières pour les crimes commis lors de l’esclavage ? En décrétant que «l’histoire ne peut pas faire l’objet d’une transaction», François Hollande vient de répondre négativement à cette question, le 10 mai, lors de la journée de commémoration de l’abolition de l’esclavage. La formule est habile. Pourtant, si l’on regarde les choses de plus près, la question est plus complexe, et ne peut être évacuée aussi facilement. Christiane Taubira, qui est à l’origine de la loi de 2001 reconnaissant la traite négrière et l’esclavage comme crime contre l’humanité, et instituant la journée du 10 mai, a eu raison de corriger immédiatement le tir présidentiel, en évoquant dès le lendemain la nécessité de réfléchir à des formes de politique foncière et de redistribution des terres en faveur des descendants d’esclaves dans les territoires français d’outre-mer. 





Le discours embrouillé de Max Tanic, directeur de feu la SHED, société gestionnaire de l’hôtel, depuis des mois n’aura trompé que quelques journalistes bien distraits. C’est sans surprise et presqu’avec soulagement que les salarié-e-s ont accueilli la nouvelle de la mise en liquidation. Qui pouvait croire à une procédure de « redressement » d’un hôtel en « chimpontong » , privé même d’eau et d’électricité, sans clients recherchés, en pleine saison dite basse, ayant épuisé les fonds de la SEMAVIL en paiement de salaires sans activité malgré toute la bonne volonté et les réclamations du personnel ? Dans la mer mouvementée du Diamant, le personnel a été mené en bateau, non pas vers le Rocher, mais vers un naufrage annoncé! C’est le Titanic de Tanic, mais hélas pas seulement de lui!


Face à ces votes rétrogrades d’élus martiniquais seul Letchimy a voté pour.
la Ville de Saint-Joseph organise une grande manifestation pour la dénomination de la rue Guy CABORT-MASSON le 04 Mai 2013 à 10:00 AM au Quartier Goureaud près de la Place des Fêtes de St Joseph. Ce dévoilement de plaques sera suivi d’une Conférence Débat au Centre Culturel MARCE.
Jérôme Cahuzac, l’un des ministres les plus influents du gouvernement socialiste vient d’être emporté par un formidable scandale politico-financier qui ébranle jusqu’aux fondements mêmes de l’Etat. En effet, l’homme qui dirigeait l’administration fiscale et était chargé de lutter contre la fraude se trouvait être lui-même, depuis plus de vingt ans, un fraudeur qui a fini par avouer avoir organisé une évasion fiscale de grande ampleur en cachant des sommes énormes dans les paradis fiscaux, avec la complicité des banques.