 Les députés ont adopté jeudi une proposition de loi du Front de gauche, dont le rapporteur était Alfred Marie-Jeanne, supprimant le mot « race » de la législation française.
Les députés ont adopté jeudi une proposition de loi du Front de gauche, dont le rapporteur était Alfred Marie-Jeanne, supprimant le mot « race » de la législation française. 
La majorité PS s’est ralliée à cette proposition soulignant qu’il s’agissait d' »une première étape ». François Hollande s’était en effet engagé pendant la campagne présidentielle à supprimer le mot « race » de la Constitution.
Le texte, débattu dans le cadre d’une « niche » parlementaire réservée aux propositions du Front de gauche, se propose donc de supprimer le mot « race » du Code pénal, du Code de procédure pénale et de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.
Le rapporteur de la proposition, Alfred Marie-Jeanne, a fait valoir que le mot « race », « ce concept aberrant, ayant servi de fondement aux pires idéologies, n’a pas sa place dans notre ordre juridique ».(lire ci-après l’intervention à la Chambre)




 Le discours embrouillé de Max Tanic, directeur de feu la SHED, société gestionnaire de l’hôtel, depuis des mois n’aura trompé que quelques journalistes bien distraits. C’est sans surprise et presqu’avec soulagement que les salarié-e-s ont accueilli la nouvelle de la mise en liquidation. Qui pouvait croire à une procédure de « redressement » d’un hôtel en « chimpontong » , privé même d’eau et d’électricité, sans clients recherchés, en pleine saison dite basse, ayant épuisé les fonds de la SEMAVIL en paiement de salaires sans activité malgré toute la bonne volonté et les réclamations du personnel ? Dans la mer mouvementée du Diamant, le personnel a été mené en bateau, non pas vers le Rocher, mais vers un naufrage annoncé! C’est le Titanic de Tanic, mais hélas pas seulement de lui!
Le discours embrouillé de Max Tanic, directeur de feu la SHED, société gestionnaire de l’hôtel, depuis des mois n’aura trompé que quelques journalistes bien distraits. C’est sans surprise et presqu’avec soulagement que les salarié-e-s ont accueilli la nouvelle de la mise en liquidation. Qui pouvait croire à une procédure de « redressement » d’un hôtel en « chimpontong » , privé même d’eau et d’électricité, sans clients recherchés, en pleine saison dite basse, ayant épuisé les fonds de la SEMAVIL en paiement de salaires sans activité malgré toute la bonne volonté et les réclamations du personnel ? Dans la mer mouvementée du Diamant, le personnel a été mené en bateau, non pas vers le Rocher, mais vers un naufrage annoncé! C’est le Titanic de Tanic, mais hélas pas seulement de lui!


 Face à ces votes rétrogrades d’élus martiniquais  seul Letchimy a voté pour.
Face à ces votes rétrogrades d’élus martiniquais  seul Letchimy a voté pour. la Ville de Saint-Joseph organise une grande manifestation pour la dénomination de la rue Guy CABORT-MASSON le 04 Mai 2013 à 10:00 AM au Quartier Goureaud près de la Place des Fêtes de St Joseph. Ce dévoilement de plaques sera suivi d’une Conférence Débat au Centre Culturel MARCE.
la Ville de Saint-Joseph organise une grande manifestation pour la dénomination de la rue Guy CABORT-MASSON le 04 Mai 2013 à 10:00 AM au Quartier Goureaud près de la Place des Fêtes de St Joseph. Ce dévoilement de plaques sera suivi d’une Conférence Débat au Centre Culturel MARCE.
 Jérôme Cahuzac, l’un des ministres les plus influents du gouvernement socialiste vient d’être emporté par un formidable scandale politico-financier qui ébranle jusqu’aux fondements mêmes de l’Etat. En effet, l’homme qui dirigeait l’administration fiscale et était chargé de lutter contre la fraude se trouvait être lui-même, depuis plus de vingt ans, un fraudeur qui a fini par avouer avoir organisé une évasion fiscale de grande ampleur en cachant des sommes énormes dans les paradis fiscaux, avec la complicité des banques.
Jérôme Cahuzac, l’un des ministres les plus influents du gouvernement socialiste vient d’être emporté par un formidable scandale politico-financier qui ébranle jusqu’aux fondements mêmes de l’Etat. En effet, l’homme qui dirigeait l’administration fiscale et était chargé de lutter contre la fraude se trouvait être lui-même, depuis plus de vingt ans, un fraudeur qui a fini par avouer avoir organisé une évasion fiscale de grande ampleur en cachant des sommes énormes dans les paradis fiscaux, avec la complicité des banques. La nouvelle loi française ouvrant le mariage aux homosexuels fait l’objet d’un affrontement passionné entre des anciens qui n’imaginent pas autre chose que le maintien d’une tradition, il est vrai solidement établie, suivant laquelle il ne saurait y avoir de mariage qu’entre un homme et une femme – et des modernes qui, mettant en avant l’idéal d’égalité, revendiquent pour les couples homosexuels le droit de se marier et d’avoir des enfants, tout comme les couples hétérosexuels.
La nouvelle loi française ouvrant le mariage aux homosexuels fait l’objet d’un affrontement passionné entre des anciens qui n’imaginent pas autre chose que le maintien d’une tradition, il est vrai solidement établie, suivant laquelle il ne saurait y avoir de mariage qu’entre un homme et une femme – et des modernes qui, mettant en avant l’idéal d’égalité, revendiquent pour les couples homosexuels le droit de se marier et d’avoir des enfants, tout comme les couples hétérosexuels. Le sourire fatigué traduit tout de même un amusement attendri devant l’ignorance de l’étranger. Du sucre ? « No hay. » De la farine de blé ? « No hay. » Du papier toilette ? « No hay », pas plus que tout ce qui y ressemble, serviettes en papier ou essuie-tout. « Il n’y a pas » non plus de riz. En revanche, la jeune femme qui passe la serpillière dans ce supermarché d’un quartier chic de l’est de Caracas indique la farine de maïs pour les arepas, ces crêpes épaisses qui constituent la base de l’alimentation au Venezuela. Ce soir, les seuls rayons qui resteront bien garnis seront ceux des boissons alcoolisées : la prohibition s’applique jusqu’au 15 avril, lendemain de la présidentielle.
Le sourire fatigué traduit tout de même un amusement attendri devant l’ignorance de l’étranger. Du sucre ? « No hay. » De la farine de blé ? « No hay. » Du papier toilette ? « No hay », pas plus que tout ce qui y ressemble, serviettes en papier ou essuie-tout. « Il n’y a pas » non plus de riz. En revanche, la jeune femme qui passe la serpillière dans ce supermarché d’un quartier chic de l’est de Caracas indique la farine de maïs pour les arepas, ces crêpes épaisses qui constituent la base de l’alimentation au Venezuela. Ce soir, les seuls rayons qui resteront bien garnis seront ceux des boissons alcoolisées : la prohibition s’applique jusqu’au 15 avril, lendemain de la présidentielle. En prétendant, qu’une publication de patrimoine, qu’une loi de plus ou qu’un référendum seraient de nature à moraliser la politique, les « Outrés » et les « Meurtris » ne sont pas moins menteurs que le sieur Cahuzac. On voudrait nous faire croire que l’individu en question ne serait qu’une tache incongrue sur le blanc manteau d’une République exemplaire. Or, le mensonge est le moteur d’un système organisé afin que les commandes de la société soient solidement tenues par les détenteurs des capitaux.
En prétendant, qu’une publication de patrimoine, qu’une loi de plus ou qu’un référendum seraient de nature à moraliser la politique, les « Outrés » et les « Meurtris » ne sont pas moins menteurs que le sieur Cahuzac. On voudrait nous faire croire que l’individu en question ne serait qu’une tache incongrue sur le blanc manteau d’une République exemplaire. Or, le mensonge est le moteur d’un système organisé afin que les commandes de la société soient solidement tenues par les détenteurs des capitaux.  Bernadette Hétier et Pierre Mairat, coprésidents du Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les peuples (MRAP) mettent en exergue « la gangrène de la racialisation du discours qui affecte aussi certains secteurs communautaires, et c’est là un fait nouveau ». Ils en appellent « au législateur pour que la proposition de retirer le mot race de la Constitution soit retenue ».
Bernadette Hétier et Pierre Mairat, coprésidents du Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les peuples (MRAP) mettent en exergue « la gangrène de la racialisation du discours qui affecte aussi certains secteurs communautaires, et c’est là un fait nouveau ». Ils en appellent « au législateur pour que la proposition de retirer le mot race de la Constitution soit retenue ».



 L’accord national interprofessionnel (ANI) du 11 janvier représente un recul social majeur. Les soi-disant «nouveaux droits pour les salariés» ne comportent en réalité  que des aspects positifs de portée limitée et s’accompagnent de nombre de dérogations et de dispositions qui en permettent le contournement. Par contre, les mesures décidées en faveur du patronat portent des coups sévères au droit du travail. Cet Accord National Interprofessionnel donne pleinement satisfaction aux exigences du patronat en continuant le démantèlement du code du travail. Cet accord faussement présenté comme  un moyen de « sécuriser l’emploi » est en réalité une machine de guerre pour licencier plus vite et moins cher, pour baisser les salaires, imposer la mobilité, rallonger le temps de travail, pour subordonner la vie, le salaire, les conditions de travail des salariés aux profits de quelques uns.
L’accord national interprofessionnel (ANI) du 11 janvier représente un recul social majeur. Les soi-disant «nouveaux droits pour les salariés» ne comportent en réalité  que des aspects positifs de portée limitée et s’accompagnent de nombre de dérogations et de dispositions qui en permettent le contournement. Par contre, les mesures décidées en faveur du patronat portent des coups sévères au droit du travail. Cet Accord National Interprofessionnel donne pleinement satisfaction aux exigences du patronat en continuant le démantèlement du code du travail. Cet accord faussement présenté comme  un moyen de « sécuriser l’emploi » est en réalité une machine de guerre pour licencier plus vite et moins cher, pour baisser les salaires, imposer la mobilité, rallonger le temps de travail, pour subordonner la vie, le salaire, les conditions de travail des salariés aux profits de quelques uns. 
 Monsieur le Président,
Monsieur le Président,