— Communiqué de l’Union des Femmes de Martinique —
L’Union des Femmes de Martinique est solidaire de la population guyanaise, plongée dans l’horreur depuis le meurtre crapuleux, d’une pharmacienne ainsi que le féminicide d’une mère de famille et l’assassinat de ses deux enfants… en une semaine !
C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès tragique d’Hélène TARCY-CETOUT, jeune pharmacienne, épouse et mère de 4 enfants. Très engagée en faveur du développement de son pays ; elle laisse un grand vide dans la société guyanaise qui nourrissait de grands espoirs en elle…
Face à ce nouveau drame de la violence, nous nous associons à la douleur de ses proches et à la mobilisation de l’ensemble des pharmacies, lui rendant hommage ce samedi 20 avril 2024…à cette énième victime d’un crime qui aurait pu être évité si l’insécurité était énergiquement combattue par les instances compétentes !
Une seconde femme à été tuée à Macouria ainsi que ses deux enfants, par un homme qui serait son compagnon, libéré de prison en novembre dernier, après une incarcération pour des faits de violences !

Le Groupement d’Intérêt Public (GIP) « Sortie de l’indivision et titrement Martinique » (GIP SITM) occupe une place cruciale dans le paysage juridique martiniquais, s’attaquant de front aux défis complexes liés à la gestion foncière dans l’île. Son mandat, instauré en vertu de la loi du 27 décembre 2018, connue sous le nom de « loi Letchimy », en fait un acteur central dans la résolution des situations d’indivision et de succession qui affectent de nombreuses familles martiniquaises.
— Par Alain Joséphine —
— Par Jean Marie Nol, économiste —
— Par Culture Égalité —
Hommage aux militants anticolonialistes Nills Andersson, Allice Cherki et à l’4ACG
— Par Sarha Fauré —
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— Par Jean Samblé —
C’est l’herbicide le plus utilisé au monde. C’est aussi un mot qui génère, dès qu’il est prononcé, d’intenses passions. Le glyphosate est utilisé en agriculture pour tuer les « mauvaises herbes », et ainsi limiter leurs effets négatifs sur les cultures. Ses effets sur l’homme et l’environnement restent eux sujets à débat dans la communauté scientifique. Dans la sphère politique, le récent
— Par Sarha Fauré —
J’ai reçu, il y quelques temps déjà, dans la livraison de Madinin’art, un article de Patrick Chamoiseau au titre racoleur : «
— Par Jean-Marie Nol —
Le principe d’un financement public des partis politiques a été posé par la loi du 11 mars 1988. Les partis politiques reçoivent une aide de l’État en contrepartie de l’interdiction des dons entreprises ou autres personnes morales. des Une aide en deux fractions
Kay Fanm, un espace dédié à l’accueil et à l’accompagnement individuel et collectif des femmes, élargit désormais ses horaires pour mieux répondre aux besoins de la communauté. Situé au 158, rue Victor-Hugo à Fort-de-France, cet espace était précédemment ouvert tous les jours de la semaine. Grâce à l’initiative de l’association Culture Égalité, il accueille désormais les femmes également le samedi, de 9 heures à midi.
— Par Jean Samblé —
L’EAU, ce vaste sujet… Nous reviendrons vers vous avec plusieurs articles. L’Eau est une ressource naturelle dont la gestion est l’objet de forts enjeux géopolitiques. D
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Depuis le dernier congrès, le débat sur la fusion du département et de la région en Guadeloupe fait tâche au sein de la société civile et des sphères politiques. Cette proposition, loin de faire l’unanimité, suscite des inquiétudes quant à ses conséquences sur l’efficacité des politiques publiques et sur l’économie de l’archipel.L’un des principaux arguments avancés contre cette fusion réside dans l’absence manifeste d’économies d’échelle. D’ailleurs, plusieurs responsables politiques mettent en avant l’échec de cette fusion en Martinique et en Guyane qui selon eux n’a résolu aucun problème. La perception selon laquelle la fusion du département et de la région en Martinique pour former la collectivité territoriale unique est un échec découle de plusieurs facteurs: 
— Par Sabrina Solar —
Dans le tumulte des crises économiques, financières, sociales et environnementales qui secouent notre monde, il est pourtant une crise souvent ignorée des Antilles, pourtant omniprésente et insidieuse, c’est celle de la crise invisible de la géopolitique du conflit entre l’Iran et Israël et celle de la dette corrélée à la réduction de la dépense publique qui nous poussera à remettre en question notre mode de vie. Ces crises transcendent les frontières nationales, les différences culturelles et les clivages idéologiques ainsi que politiques. L’Iran est accusé d’avoir planifié une attaque de drones contre Israël. Mais une attaque de la république islamique sur l’État hébreu pourrait provoquer une grave crise énergétique avec un embrasement de la région du golfe, riche en pétrole et gaz naturel, dont les cours pourraient bondir de près de 20%. Le chef-économiste du FMI a rappelé qu’une hausse de 20 dollars des prix du pétrole, si elle était persistante, pouvait entraîner une perte de 0,30 point de pourcentage de PIB au niveau mondial. Étant donné que le pétrole est une ressource essentielle utilisée dans de nombreux secteurs de l’économie, une augmentation de son prix peut entraîner une hausse généralisée des coûts de production, ce qui peut à son tour entraîner une flambée inflationniste qui touchera les Antilles.
La situation en Haïti est critique (euphémisme!), avec une escalade de la violence des gangs depuis mars, mettant en péril l’aide alimentaire du Programme alimentaire mondial (PAM). Alors que le PAM a intensifié ses efforts pour fournir de la nourriture à plus de 500 000 personnes, ses stocks risquent d’être épuisés d’ici fin avril. La fermeture du principal port et de l’aéroport de Port-au-Prince a entravé l’acheminement de l’aide humanitaire. Le pays ne dispose que de suffisamment de nourriture pour nourrir 175 000 personnes pendant un mois, selon le PAM.