— de Olivier Ernest JEAN-MARIE —
Qui étaient les candidats à Kourou lors des élections municipales de 2008 ? Quels étaient les scores des candidats au premier tour des élections législatives de la 2ème circonscription en 2012? Quel était le taux de participation aux élections européennes de 2009 en Guyane? Combien ont dépensé les listes ayant participé aux élections régionales de 2010? Quelles ont été les dépenses électorales des candidats dans la 1ère circonscription lors des élections législatives de 2017? Quel est le montant des indemnités des conseillers à l’Assemblée de Guyane? Qui sont les conseillers communautaires de la CACL ou de la CCEG? Quel est le montant de l’aide publique versée au Parti Socialiste Guyanais ou au mouvement Walwari de 2008 à 2017? Si ces questions vous intéressent, vous trouverez toutes les réponses à l’intérieur de ce mémento qui s’inscrit dans une double démarche de promotion de la culture de la transparence démocratique et de contribution à la connaissance des institutions, des femmes et des hommes qui animent la vie politique Guyanaise.
Olivier Ernest Jean-Marie est un citoyen ordinaire cultivant liberté et bienveillance.

— Par Nelly Didelot —
Attac France, en partenariat avec l’Observatoire des multinationales,
Depuis ce printemps 2018, les personnels des hôpitaux psychiatriques se mobilisent un peu partout en France. Leurs revendications se rejoignent : avoir les moyens d’accueillir et de soigner dignement les patients, l’amélioration des conditions de soins devant entraîner l’amélioration des conditions de travail.
Équinoxe : réseau d’entraide des familles de personnes souffrant de troubles psychiques en Martinique
Trente-et-un artistes (écrivain.e.s, dessinateur.trice.s, peintres, plasticien.ne.s, musicien.ne.s, dramaturges, traducteur.trice.s, créateur.trice.s culinaires, réalisateur.trice.s…) prennent la parole pour évoquer leurs conditions (matérielles, financières et intellectuelles) de vie et de création. Ce sont des hommes et des femmes qui vivent les joies et les difficultés d’un quotidien fait de débrouille et d’acharnement.
Un nouveau drame conjugal hier, vient faire la une des médias.
Votre vie est encombrée d’une ou plusieurs créatures malfaisantes?
La nouvelle campagne de recensement commence le 17 janvier 2019. Vous serez des millions à être interrogés. Comment cela va-t-il se passer ?
La lettre d’appel à la discussion que Macron a dû écrire en réponse aux exigences du mouvement des Gilets jaunes n’est rien d’autre que de l’enfumage visant à enliser ce dernier, en cherchant à déplacer le curseur de la lutte sociale vers un terrain plus institutionnel.
Si nous profitions de cette année nouvelle pour nous interroger un peu sur le monde dans lequel nous vivons ? Si nous pouvions accepter de dire adieu 2018, et son lot de tristesses, adieu l’indifférence, adieu l’égoïsme, l’égocentrisme, vive la prévenance et la solidarité ? Et si nous nous mettions ainsi à regarder ceux qui nous entourent avec des yeux de personnes prévenantes ? Et si nous pouvions arrêter vraiment d’être indifférents à ce qui nous environne ? Si les devoirs envers notre prochain, le devenir de la planète, toutes choses qui semblent nous laisser blasés, froids comme si une partie de notre âme était morte, si le désintérêt pour tout cela pouvait être surmonté, disparaître, au profit de fermes résolutions ? Si nous pouvions être enfin solidaires ? L’homme, on semble l’oublier parfois, a pour lui d’avoir une conscience, ce qui le différencie des autres êtres vivants. Et si celle-ci pouvait permettre à chacun de voir le monde avec des yeux où l’Indifférence, qui de plus en plus veut s’installer en ce bas monde, n’aurait plus sa place ?
Ce débat sur les Gilets jaunes, dans l’Hexagone, je le suis, comme nombre d’entre nous ici, avec beaucoup de distanciation et de circonspection. C’est assez pratique pour – comment dire ? –, jouer sur les perspectives et jauger les comparaisons avec la Guyane.
Nous avons relevé dans la revue FUTURA PLANETE que selon
En supprimant l’emblème aux 4 serpents, le président de la République n’a pas entendu invalider un drapeau et encore moins un drapeau national. L’objectif avéré de la Collectivité territoriale de Martinique (CTM) est de faire reconnaître la Martinique lors des rencontres sportives dans les Caraïbes, autrement que par le fanion retiré ou le drapeau français. La requête est réputée émaner des ligues sportives qui sont des organismes non politiques. Cependant, pour ceux qui voulaient la suppression de l’emblème il ne s’agit pas d’y substituer un autre, d’égale signification politique. Pour ces derniers, l’objectif est d’adopter une fois pour toutes le drapeau national martiniquais. Le drapeau de l’indépendance avant l’indépendance, en quelque sorte. Mais les porteurs dudit « drapeau de MALSA » ont été pris de court par la soudaineté de la décision présidentielle à laquelle ils n’étaient pas préparés.
La rédaction ambiguë de l’article 1 de la future loi Blanquer ouvre la possibilité de museler toute contestation des enseignants. Face à l’inquiétude grandissante de la profession, le ministre de l’Éducation nationale promet de réécrire son texte. Sans vraiment convaincre.
Le renforcement du contrôle technique sur les émissions polluantes des voitures roulant au diesel est repoussé au 1er juillet 2019. C’est ce qu’indique un arrêté publié au 
Dans un numéro commémoratif en kiosques ce samedi, Charlie Hebdo dresse quatre ans après l’attentat le portrait sombre d’une société française « anti-Lumières ».

Existe-t-il un système politique martiniquais ? Certes non, puisque celui-ci prend place dans un ensemble français et européen, qui le déborde, de toutes parts, par des traits spécifiques, depuis l’héritage post-esclavagiste. Aujourd’hui, en dépit de la décentralisation, affichée en Collectivité Territoriale, il y a persistance du centralisme rationaliste, et même du centralisme politique, qui se manifestent, l’un et l’autre, par le rejet des autres forces idéologiques, pouvant prétendre à une organisation à base étatique, par l’autonomie, ou par l’indépendance.
L’insatisfaction institutionnelle de la France étant permanente, on parle de plus en plus de la venue de la 6ème République. C’est même une curiosité française, après le béret, le pain et la bouteille de vin. Mais personne ne dit ce qu’il faudra mettre à l’intérieur de la nouvelle constitution. Sans doute par crainte que sitôt fait le projet ne soit soumis à la critique.