Plus de 750 tombes ont été découvertes lors de fouilles près d’un pensionnat pour autochtones géré par l’Église catholique, moins d’un mois après la découverte des restes de 215 enfants à proximité d’un établissement similaire. Cette annonce, jeudi, témoigne des abus et mauvais traitements subis par des dizaines de milliers d’enfants indigènes victimes d’assimilation forcée à la culture occidentale.
Une nouvelle découverte macabre oblige le Canada à plonger dans l’un des pans les plus sombres de son histoire. Une communauté autochtone a annoncé, jeudi 24 juin, la découverte de plus de 750 tombes anonymes sur le site d’un pensionnat pour enfants indigènes dans l’ouest du pays. Cette découverte, qui intervient un mois après l’identification des restes de 215 d’écoliers près d’un autre établissement autochtone géré par l’Église catholique, illustre le calvaire vécu par des milliers d’enfants indigènes.
« Nous avons repéré 751 tombes non marquées », sur le site d’un ancien pensionnat hébergeant des enfants autochtones à Marieval, en Saskatchewan, dans l’ouest du Canada, a déclaré jeudi le chef de la nation Cowessess, Cadmus Delorme.
« Ce n’est pas une fosse commune, ce sont des tombes non-identifiées », a-t-il ajouté.

L’espérance trahie
Les gangs, en majorité du G-9, ont conquis et renforcé leurs positions depuis plus de deux semaines. Ce week-end, ni les menaces du directeur a.i. de la police Léon Charles, ni les envolées du Premier ministre a.i. Claude Joseph, ni la prise de parole du président Jovenel Moïse n’ont empêché le pillage systématique de trois entrepôts sur la nationale numéro un, à proximité des principaux ports commerciaux et du terminal pétrolier de Varreux.
La liste RÈSPÉ félicite chaleureusement les 658 électrices et électeurs courageux et lucides qui l’ont choisie parmi les 14 listes de ce scrutin.
Une centaine de femmes étaient ce lundi matin 21 juin devant le Palais de justice à Ndjamena pour protester contre les violences faites aux femmes et l’impunité dont bénéficient les auteurs de ces crimes. Les manifestantes étaient furieuses après une nouvelle affaire de viol collectif.
1-Nous remercions les 565 électeurs qui ont porté leurs suffrages sur notre liste COMBAT OUVRIER – FAIRE ENTENDRE LE CAMP DES TRAVAILLEURS conduite par Gabriel JEAN-MARIE.
La liste Allians pour Matinik obtient 31,66% des suffrages, devant la liste du président sortant, qui comptabilise 25,80% des voix. Au total, quatre listes sont en mesure de se maintenir au second tour.
L’ordre règne à la tour Lumina!
— Par les miltantes de Culture Égalité —
Le 18 Juin 2021 (oui c’est aussi un appel)
Par ces temps d’élections, il est commode pour les élus de savonner la pente du populisme. L’arrivée de Marocains en Guyane se prête bien à l’expression d’une xénophobie facile et sans risque de conflit intérieur et de voisinage. Les déclarations d’élu(e)s qui disent s’appuyer sur la population laissent sans voix. Les incidents qui opposent ces derniers aux immigrants, phénomène qui fait davantage que montrer le bout du nez en Martinique, sont la preuve que le lepénisme n’est pas l’apanage de la famille Le Pen. Le réflexe se retrouve à des degrés divers jusque chez les plus chatouilleux des progressistes. Lesquels ne s’expriment guère ces jours-ci en Guyane, alors que les discours d’ostracisme vont plutôt bon train. On aimerait bien entendre sur la xénophobie en terre amazonienne celle qui a pu expérimenter l’ostracisme sous d’autres cieux et à ses dépens, Mme Christiane Taubira.
Le rappeur Moha La Squale a été mis en examen mercredi pour « agression sexuelle » et « violences » par conjoint ainsi que pour « séquestration » après les accusations de plusieurs femmes, a indiqué à l’AFP une source judiciaire, confirmant une information du
Jour après jour, matin, midi et soir, les martiniquais sont soumis à un lavage de cerveau intensif concernant la période de l’esclavage et de la traite négrière; le pays baigne littéralement dans l’ évocation obsessionnelle de ce passé révolu. Cette opération de “zombification”de la population, parfaitement orchestrée par l’intelligentsia de gauche politique et médiatique, s’inscrit dans un vaste mouvement ( “la pensée décoloniale”), parti des universités américaines (woke culture des éveillés) pour se répandre ensuite en Europe puis en France. Il s’agit d’analyser et de réinterpréter les faits historiques, économiques et sociaux à travers le prisme de la race ( noirs, minorités ethniques), du genre (féminisme-LGBT) et de la catégorie (roms, musulmans handicapés…). Cette déconstruction-reconstruction dite “décoloniale” peut prendre plusieurs formes : celle du panafricanisme illustré chez nous par l’action des activistes «rouge-vert-noir» qui cherchent à faire disparaître de la mémoire collective et de l’espace public tous les signes et symboles évocateurs de visages d’hommes ( ou de femmes) blancs, y compris de ceux à l’esprit éclairé, ayant contribué par leur engagement sans faille à mettre fin à l’abomination esclavagiste, ou celle de l’islamo-gauchisme, complaisant à l’égard de l’islamisme radical,visant à remplacer les démocraties traditionnelles construites sur la tradition judéo-chrétienne par le règne du Califat et de la Charia ( les graffitis et profanations, touchant épisodiquement les monuments et édifices religieux et les attaques répétées contre la liberté de consciencence et la laîcité, en sont les manifestations les plus visibles).Ce
« L’engagement est ce qui transforme une promesse en réalité »
Chemin de Desbrosse la Vallée, Fort-de-France.
Drépaction 2021

Nikita Mandryka, dit Mandryka (pseudonyme Kalkus à ses débuts), né le 20 octobre 1940 à Bizerte et mort le 13 juin 2021 à Genève[1], est un auteur de bande dessinée français d’ascendance russe.
Information
L’Association des Consommateurs et des Citoyens de la Caraïbe, a participé indirectement à une entrevue avec le syndicat UGTM Santé, en grève depuis septembre 2020 pour revendiquer des moyens lutter contre la montée rapide d’un désert de santé en Martinique.
Ah la nouvelle tarte à la crème ! Sauf que cette tarte là est purement verbale. Et vivent les élections qui nous permettent de développer des idées en rapport avec au moins des palliatifs aux misères du monde. Et d’inciter d’autres à reprendre les mots, sinon la substance de ces remédiations minimum !