— Par Catherine Lalonde —
L’entrée du pronom neutre de troisième personne « iel » dans l’édition en ligne du dictionnaire Le Robert provoque depuis mardi des débats très binaires en France. On y est radicalement contre, ou radicalement pour. Et ici ? Des discussions aussi, mais bien moins clivées. Certains lexicographes estiment que Le Robert sort de sa fonction, en précédant l’usage plutôt qu’en le suivant. Petit tour de piste des réactions à ce « iel » au Québec.
« Nommer une chose, c’est la faire exister », nomme l’autrice et professeure à l’UQAM Lori Saint-Martin, pour saluer l’importance à ses yeux du choix du Robert de suivre les mouvements très rapides qui agitent, depuis deux ou trois ans, la langue et ses réflexions entourant la diversité raciale et d’identité sexuelle.
Or, pour de nombreux lexicographes québécois, le travail d’un dictionnaire, c’est de « nommer ce qui existe » plutôt que « de nommer pour faire exister ». « Ce n’est pas à un dictionnaire d’être le premier sur la ligne de front, estime la lexicographe Nadine Vincent. Quand j’étudiais, on disait que le dictionnaire était toujours dix ans en retard sur l’usage ; maintenant, les entrées sont plus rapides.

Les quatre policiers impliqués dans l’interpellation de Michel Zecler, un producteur de musique noir, sont toujours sous contrôle judiciaire
Jamais la France n’a connu un nombre de seniors aussi important et le vieillissement de la population est loin de s’arrêter : les plus de 65 ans seront plus nombreux que les moins de 20 ans avant 2030 (Insee Première, no 1619, novembre 2016). Une réflexion sur l’économie de la longévité suppose d’appréhender la situation des seniors sous ses multiples aspects : enjeux économiques, sociaux, mode de vie… Les évolutions supposent une anticipation des besoins et de saisir leurs usages.
Restaurants du cœur, Croix-Rouge, Secours catholique, Secours populaire… Vous faites des dons à des associations venant en aide à des personnes en difficulté (dispositif « 
Cayenne – Le confinement dominical en vigueur depuis trois mois en Guyane est levé, a annoncé le préfet Thierry Queffelec, alors que la quatrième vague de Covid-19 s’estompe dans le département.
« Dans le monde, 35% des femmes sont victimes de violences.
L’Assurance maladie s’est félicitée du taux de vaccination « considérable », insistant sur le faible nombre d’interdictions d’exercer. Au total, 1 350 professionnels de santé libéraux sont concernés.
Monsieur le Président de la République,
— Par Delphine Roucaute—
Le CREPSS, association loi 1901 est une plateforme de coordination des actions de promotion et de prévention dans le domaine de la vie affective, sexuelle et reproductive.
Projet ambitieux, porté par Mélanie Pain une jeune maman Martiniquaise soucieuse du « bien grandir des enfants », Wopso continue.
Les chants de Noël, pratiques intégrées au patrimoine culturel de la Guadeloupe, rythment chaque année, la vie des Guadeloupéens du 1er au 25 décembre.
La « People’s Vaccine Alliance », qui compte parmi ses 80 membres l’association Oxfam et le programme Onusida, exhorte les géants pharmaceutiques à lever immédiatement les brevets protégeant les vaccins anti-Covid. La coalition dénonce les bénéfices faramineux engrangés par les grands laboratoires, alors que seulement 2% de la population des pays à faibles revenus sont vaccinés. 
1) Iles Caïmans 84,5 %
Les mesures fiscales du quinquennat ont profité à une très large majorité des Français. Mais ce sont les plus aisés qui ont en le plus le plus bénéficié, d’après une étude de l’Institut des politiques publiques publiée mardi 16 novembre.
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Il faut « écarter les auteurs de violences sexuelles et sexistes » de la vie politique, réclament 285 femmes travaillant dans le milieu politique et universitaire, dont les députées Karima Delli (EELV) et Danièle Obono (LFI) et la vice-présidente du Sénat (PS) Laurence Rossignol, dans une tribune au « Monde ».
Exceptionnellement, pendant la pandémie de la Covid-19, l’Insee diffuse régulièrement le nombre de décès (toutes causes confondues) par jour et par région et département. Les décès sont enregistrés dans la commune où ils ont eu lieu (et non au lieu de résidence). Les statistiques diffusées sont provisoires (se référer à la note méthodologique).
La crise financière et économique des collectivités locales de Martinique et Guadeloupe va bientôt s’aggraver dangereusement.
L’OMS a classé en 2019 « la méfiance vis-à-vis de la vaccination » comme une des
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On le sait, la liberté de la presse locale est totale à l’égard du pouvoir national français. Il est possible, en effet sans encourir le moindre risque, de dire ou écrire pis que pendre sur le préfet ou le président de la République et, d’une manière générale, sur la politique du gouvernement. Cette liberté s’observe y compris sur les antennes de la station publique. En revanche écrire ou proférer un jugement négatif sur le politique martiniquais expose le média à des sanctions immédiates. « Mettre la presse au diapason », telle avait été l’ambition souvent rappelée de l’un de nos princes. De sorte que lorsqu’on s’interroge sur le lieu du véritable pouvoir politique (hors budgétaire), il est permis à bien des égards de le domicilier en Martinique où la crainte de l’élu pèse de tout son poids sur les médias locaux. Ainsi, foin des articles 73 ou 74, en matière médiatique la liberté c’est l’autonomie voire l’indépendance à l’égard de Paris.