Paris (AFP) – Phénomène mondial, la désinformation anti-vaccinale sur internet alimente la méfiance des citoyens, contribuant ainsi à peser sur les campagnes de vaccination. L’axe principal des infox: exagérer ou inventer les effets indésirables pour faire croire que les vaccins sont plus dangereux que le Covid.
– Effets indésirables: les chiffres mal interprétés –
Les chiffres de pharmacovigilance servent de terreau inépuisable à la désinformation. Ces registres -publics en général- recensent des effets indésirables survenus chez des personnes vaccinées mais sans que soit établi de lien de cause à effet.
Dans la plupart des pays, simples citoyens ou personnels de santé peuvent les signaler: à charge aux autorités de santé de déterminer si les vaccins sont en cause. Ainsi le décès d’une personne vaccinée peut être signalé sans qu’il n’y ait de lien autre que chronologique.
De fait, seulement dans de très rares cas -sur des milliards de doses injectées- les autorités sanitaires ont estimé possible un lien de cause à effet (myocardites et péricardites, thromboses atypiques par exemple) mais le bénéfice/risque reste très largement favorable aux vaccins.
Malgré cela, d’innombrables publications très partagées sur les réseaux sociaux affirment régulièrement que les vaccins ont fait « des milliers de morts », captures d’écran de registres de pharmacovigilance à l’appui.

Le SINAbécédaire que l’on pourrait littéralement nommer l’abécédaire de Sinamal, (Sinaray dans ses caricatures), vient de paraitre. Comme son nom l’indique, il est le fruit de l’imagination au service de la plume de feu Raymond Sinamal. Cet artiste caricaturiste a conçu la matière première si l’on peut dire, mais, trop tôt disparu, il n’a pas vu naitre l’ouvrage. 
Du 21 novembre au 3 décembre 1831 s’est produit le premier soulèvement d’ouvrières et ouvriers de la soie et des métiers rattachés au tissage, très implantés sur les pentes de la Croix-Rousse, à Lyon. L’historienne Michèle Riot-Sarcey nous raconte cette lutte contre l’exploitation et l’asservissement qui règnent dans les ateliers.
Sainte-Rose (France) – Les voitures sont garées par centaines sur le bas-côté en amont, les habitants passent à pied, pour se ravitailler, aller travailler ou toute autre activité. Impossible de traverser l’épais barrage du pont de La Boucan, bastion de la contestation qui secoue la Guadeloupe depuis deux semaines.
La Martinique traverse depuis mars 2020 une crise sanitaire, comme le reste du monde. La Martinique est entrée le 22 novembre dans une grève générale à l’appel d’une intersyndicale.
Le corps de l’homme est le nœud : il est l’originaire, le lieu natif d’où tout se met en mouvement et se propulse. Il est le support sur lequel tout vient se nouer. Traversé par la parole, il est la matrice en laquelle s’articule son rapport au temps, à l’espace et à la terre. Il est l’ultime où tout se joue. Il ne faut donc pas s’étonner qu’à chaque phase importante de l’évolution du monde, le corps constituât l’enjeu majeur, la mise décisive. 
À RETENIR :
À travers son ouvrage, l’auteure Yvette FARRAUDIÈRE nous relate l’histoire de l’école à la Martinique. Cette institution qui a formé à la lecture, l’écriture et au calcul, les citoyens que nos ancêtres et nous sommes devenus. L’histoire de l’école, en Martinique nous est ici retransmise, sous l’angle de ceux qui « font l’école », comme on aimait à le dire, comprendre le maitre d’école. 
Paris – Omicron, un tournant dans la crise du Covid-19 ? Trop tôt pour le dire, insistent nombre de chercheurs, après plusieurs de jours de spéculations hasardeuses sur les risques réels de ce nouveau variant au profil certes inquiétant.
Matamoros (Mexique) – « Je voudrais juste un os. » Désespérée, une mère supplie un soldat pour qu’il lui laisse une chance de retrouver les restes de son fils, un parmi les quelque 94.000 disparus qui hantent le Mexique.
Amenez vos cantiques pour le Chanté nwel du groupe SIWO GWOSEY !
Notre île est touchée depuis une semaine, par une crise sociale d’une ampleur inouïe, qui met en évidence, un profond malaise d’une partie de sa jeunesse. 


Tegucigalpa – Depuis l’âge de 14 ans, Marlon Escoto vit dans la pestilence de la décharge de Tegucigalpa, au Honduras, où il dispute les ordures aux vautours et ramasse plastique et métal à revendre, sans rien attendre des politiques à quelques jours de la présidentielle de dimanche.
Ce proverbe existe probablement dans notre langue créole bien que le temps m’ait manqué pour le retrouver.
D’Hervé Mazurel
Pour les habitants, la proposition du gouvernement d’évoquer la question de l’autonomie de la Guadeloupe n’est pas celle qu’il faut se poser maintenant. Pour eux, il y a d’autres priorités et des problèmes bien plus profonds que le retrait de l’obligation vaccinale pour les soignants et pompiers, ainsi que du pass sanitaire, éléments déclencheurs de la crise dans l’Ile.
En cette Journée internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes, l’ONG Oxfam publie un rapport mesurant l’impact de la crise sur ce problème de société à l’échelle mondiale. Avec des violences qui ont augmenté de 25 % à 111 % en fonction des pays.