— Par Emmanuel de Reynal et publié depuis Overblog —
Le scrutin organisé par la CTM a rendu son verdict. 26.633 martiniquais ont voté pour choisir leur pavillon. Ils avaient le choix entre deux variations rouge-vert-noir issues d’un premier tour rocambolesque. D’un côté le symbole originel des mouvements activistes popularisé notamment par Garcin Malsa, de l’autre un colibri noir sur trois bandes obliques. Et c’est cette dernière version qui a remporté les suffrages.
Avec cette nouvelle interprétation graphique des couleurs de l’OJAM, la Martinique dispose désormais d’un pavillon officiel qui flottera fièrement lors des manifestations sportives et culturelles auxquelles participeront nos compatriotes. Ses couleurs sont devenues aujourd’hui « le symbole de l’identité collective martiniquaise, qui transcendent les intérêts personnels et sont le reflet de nos valeurs communes ».
Je n’avais pas choisi ces couleurs lors du premier tour, car je les estimais clivantes et en contradiction avec les valeurs républicaines auxquelles je suis attaché. Mais je les ferai miennes, et m’attacherai à les défendre désormais, puisqu’elles représentent aujourd’hui notre identité martiniquaise. Je les défendrai, car en devenant les couleurs de la Martinique, elles ne sont plus les couleurs du séparatisme.

La CTM a validé « son » drapeau dans une apparente indifférence au regard du peu de participants au vote dans la tradition du bourrage d’urne version revisitée. Seuls quelques courageux contestent timidement. Qui les couleurs qui ne sont pas une surprise dès lors qu’elles étaient dans le cahier des charges, qui l’absence de génie créatif de par la récupération d’un colibri dans une banque de données graphiques et qui la symbolique dans laquelle certains voient une capacité de notre colibri à faire du sur place, voire à faire marche arrière.
Avec un écart de 24 % entre la retraite moyenne d’une femme et celle d’un homme, l’inégalité est claire à l’heure actuelle. Et elle pourrait empirer avec la réforme des retraites à venir.
Il suffit d’avoir été au moins une fois, une seule, en présence d’une œuvre qui nous a marqués ou bouleversés pour nous être posé la question : l’art change-t-il la vie ? Le livre de 
C’était l’une des légendes du rock. Le guitariste Jeff Beck, devenu célèbre avec The Yardbirds, groupe de rock des années 1960, est mort mardi 10 janvier à l’âge de 78 ans, a annoncé sa famille mercredi soir dans un communiqué. « Après avoir soudainement contracté une méningite bactérienne, il est décédé paisiblement », est-il également expliqué sur le compte Twitter du musicien.
Inutile de feindre la surprise 
Les multiples plaintes pour
Atouts indéniables pour le contrôle des routes commerciales et les jeux de pouvoirs qui leur sont corollaires, les outre-mer restent perçus comme des étrangetés périphériques, plus ou moins éloignées et exotiques.
« Certes, la responsabilité relève de ceux qui exercent un pouvoir. Mais elle est aussi la nôtre, quel que soit notre degré d’insertion sociale et plus encore, si, hommes de culture, nous avons pour vocation la formation d’une conscience et d’une volonté publiques pour que les pouvoirs soient mis en condition de servir l’intérêt général, de défendre le bien commun et d’affirmer le rayonnement international de l’Algérie »
L’Église d’Angleterre a présenté mardi ses excuses pour les liens passés avec l’esclavage d’un organisme financier qui lui est lié, aujourd’hui engagé dans un vaste processus de dédommagement des communautés victimes. «Je suis profondément désolé», a réagi l’archevêque de Canterbury Justin Welby, le chef spirituel de l’Église anglicane. «Le temps est venu de prendre des mesures en réponse à ce passé honteux».
Santé, énergie, enthousiasme : dans notre belle île de Martinique, voilà bien-sûr les souhaits personnels à adresser à chacune et à chacun pour cette année nouvelle.
Encore une fois, l’association Culture Égalité est présente devant le tribunal où se tient à huis clos un procès pour
Un jour, Albert EINSTEIN a dit que « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire ». Alors, Mesdames et Messieurs nos élu.e.s. de la Martinique : quand allez-vous cesser d’illustrer cette citation comme vous le faites ? Car, au-delà du discours, notre pays a besoin de bâtisseurs qui passent à l’acte et non d’ouvrier.e.s de la ‘’parolite’’.
Ainsi défilent les années depuis les siècles des siècles.
Ainsi donc, une décision essentielle appelée à s’inscrire dans l’histoire martiniquaise sera écrite par la volonté et le pouvoir d’un homme. Après qu’il aura eu le premier mot, le président de la collectivité aura le dernier mot : d’abord, « je suis pour le drapeau rouge-vert-noir », ensuite, « le président du conseil exécutif procédera librement au choix final ». Dès le départ, le président avait dit sa préférence, il a écrit la règle du jeu qui devra l’y conduire et prononcera la sanction finale. Dans plusieurs tribunes j’ai tenté de démontrer combien, en Martinique, le politique tient la main de l’historien. Le choix et le
— Communiqué du Groupe Révolution Socialiste (GRS) —
Figure incontournable de la littérature américaine contemporaine et fin observateur de l’Amérique des déclassés, le romancier Russell Banks, né le 28 mars 1940 à Newton dans le Massachusetts est mort le 7 janvier 2023 à Saratoga Springs (État de New York). Il avait 82 ans. Son œuvre est traduite en vingt langues.
La loi de finances pour 2023 publiée au
Le Syndicat CGTM des Ouvriers Agricoles de Martinique, dénonce la mascarade judiciaire du « Non-Lieu » et se prépare à l’action collective !
— Communiqué de l’U.P.L.G. —