Mardi 17 décembre 2019. Tropiques-Atrium
18h – Ciné Goûter – Case A Vent
18h30 – Salle Frantz Fanon
Théâtre d’objets
A partir de 6 ans
Voici une famille bizarre qui a la bougeotte et l’histoire d’une errance insolite… Une famille touchante à la poursuite d’un rêve, en quête de l’endroit idéal pour se poser, qui cherche son bonheur sous chaque feuille, en haut, en bas, sous la pluie ou nulle-part. A travers un univers plastique en mutation permanente, ce carnet de voyage contemporain passe par des lieux tantôt burlesques ou inattendus, mais aussi parfois tragiques. Sur un ton sensible et poétique, les espaces se succèdent, plus surprenants les uns que les autres. En cherchant partout le bonheur, on finit bien par le trouver ! Mais peut-être là où on ne l’attendait pas, loin de l’extraordinaire ou de l’extravagant.
Le spectacle
Des scènes comme des épisodes composent cette histoire : l’errance insolite et touchante d’une famille qui traverse des lieux d’habitation plus surprenants les uns que les autres. Les espaces se succèdent sur un ton à la fois léger et poétique comme autant de lieux de vie possibles.

Festival Jeune Public
Cet été, j’ai l’occasion de visiter l’exposition Banksy, superbe, dans les locaux de la l’ancienne Corderie de Lisbonne. Ce matin de décembre, je choisis de porter mon tee-shirt gris acheté à cette occasion, illustré d’un dessin noir de l’artiste susnommé, celui qui montre, comme tombant du ciel, le caddie auquel s’accroche la célèbre petite fille, et dont jaillissent quelques produits de supermarché. Mais l’étiquette du vêtement me gênant, je décide de la découper et d’en prendre connaissance. C’est alors que j’y découvre la mention « Made in Bangladesh » : hasard ou coïncidence ? Récemment je me suis rendue à Madiana voir en version originale le film éponyme, où si on ne le savait pas encore, on peut découvrir comment et à quel point les femmes là-bas — dans ce pays que dirige cependant une des leurs — sont exploitées, humiliées, infériorisées, soumises à la dictature des patrons, des époux, des conventions sociales et religieuses, victimes innocentes, dans notre monde capitaliste, de la mondialisation et du libéralisme économique.
La captation du spectacle vivant (opéra, ballet, concert, représentation théâtrale) est une démarche désormais fréquente et de plus en plus prisée, en dépit des débats qu’elle continue de susciter. C’est une entreprise singulière, qui consiste à filmer un spectacle un soir de représentation. Parce qu’elle a lieu en présence du public, elle témoigne de la relation dans l’instant de la scène et de la salle. Les moyens de diffusion actuels des captations sont le DVD, la télévision, Internet et le cinéma.
Où se trouvent les meilleures places dans une salle de cinéma, celles qui permettent de profiter le mieux du son et de l’image d’un film ? Plusieurs experts interrogés par des médias américains répondent.
Genre Documentaire
De Pietro Marcello
Avec Elia Suleiman, Gael García Bernal, Tarik Kopty
Radyo Siwèl
De Rubaiyat Hossain

Prix de la Révélation de l’année des Victoires du Jazz en 2013, Django d’Or et 3e Prix au Concours international de Piano Jazz Martial Solal en 2012, Thomas Enhco est une révélation du jazz français. Né à Paris en septembre 1988, Thomas Enhco est un pianiste et compositeur de jazz et de musique classique. À l’âge de 3 ans, il apprend le violon et le piano, donne ses premiers concerts à 6 ans et écrit ses premières compositions. À l’âge de 9 ans, Didier Lockwood l’invite à jouer dans ses concerts aux festivals de jazz d’Antibes Juan-les-Pins, Vienne et Marciac. Il étudie ensuite le jazz au CMDL et le piano classique avec Gisèle Magnan. À 16 ans, il entre au CNSM de Paris et en est renvoyé deux ans plus tard.
Une pièce de théâtre tirée d’un conte de Régine Féline
Depuis un siècle, certains pensent que Corneille aurait écrit les pièces de Molière. Une étude scientifique de leurs tics de langage tord le cou à cette idée.
L’ensemble vocal aKapela et le chœur Harmon’îles proposent ensemble trois concerts les 6, 7 et 8 décembre 2019 au profit d’œuvres caritatives.
Ce premier concert a été pour beaucoup, et j’en suis, une découverte, celle d’une pianiste qui balance avec audace, autorité et beaucoup d’aplomb, entre puissance, finesse, élégance et des pointes de fulgurance qui émanent de l’obéissance de l’instrument à ses moindres gestes. Marialy Pacheco, c’est elle, réécrit les codes de son univers pianistique, bouscule les habitudes, et rappelle à tout un chacun, qu’elle ne tolérera aucun accommodement avec ce qui pourrait porter ombrage à l’épanouissement de son art musical. Et cela avec fermeté et délicatesse dans une célébration de l’exigence et du divertissement. Il faut dire qu’elle est allée à bonne école.
Sélène Saint-Aimé
Comédie itinérante de Valence, novembre 2019