« Le photographe », un film de Ritesh Batra

Lundi 3, Mardi 4, Lundi 10,  Jeudi 13  Madiana à 19h30

Avec Nawazuddin Siddiqui, Sanya Malhotra, Farrukh Jaffar
Nationalités Indienne, Allemande, Américaine
22 janvier 2020 / 1h 50min / Romance, Drame

Synopsis :
Raphi, modeste photographe, fait la rencontre d’une muse improbable, Miloni, jeune femme issue de la classe moyenne de Bombay. Quand la grand-mère du garçon débarque, en pressant son petit-fils de se marier, Miloni accepte de se faire passer pour la petite amie de Rafi. Peu à peu, ce qui n’était jusque-là qu’un jeu se confond avec la réalité…

La presse en parle :
20 Minutes par Caroline Vié
Une « rom-com » délicate autour d’un couple improbable.

aVoir-aLire.com par Jérémy Gallet
Dans une veine à la fois sociale et sentimentale, à laquelle il nous a habitués, le réalisateur de The lunchbox signe une romance subtile et feutrée.

Bande à part par Olivier Bombarda
Loin des sucreries bollywoodiennes et jusqu’au dénouement final, ce regard cocasse sur une part d’humanité souvent considérée comme dérisoire est sans conteste celui d’un auteur authentique.

La Croix par Marianne Meunier
Pour son quatrième long métrage, le réalisateur de The Lunchbox met en scène avec une grande délicatesse la rencontre de deux habitants de la métropole indienne, Miloni et Rafi, tiraillés entre leurs appartenances et leurs aspirations intimes.

Le Journal du Dimanche par Barbara Théate
Après le très réussi « The Lunchbox », Ritesh Batra continue d’analyser avec délicatesse les inégalités sociales qui n’en finissent pas de pervertir les relations amoureuses dans son pays.

Le Parisien par La Rédaction
Réalisateur de « The Lunchbox », Ritesh Batra ne raconte rien d’autre que le rapprochement (impossible ?) entre deux Indiens qui appartiennent à des castes différentes. Mais l’histoire est racontée avec tellement de sobriété, de subtilité et de délicatesse qu’elle en devient très romantique.

L’Humanité par Vincent Ostria
Délicate romance en pointillé d’un preneur de vues dans les rues de Bombay avec une étudiante. Le cinéma indien amorce en finesse sa mixité sociale.