Programme samedi 6 mai 2023, le kolectif13 vous invite à sa restitution Mondes Nouveaux « Tiers-lieu chorégraphique : vers une écologie de la danse » au Domaine de Fonds Saint-Jacques à Sainte-Marie
Programme samedi 6 mai 2023, le kolectif13 vous invite à sa restitution Mondes Nouveaux « Tiers-lieu chorégraphique : vers une écologie de la danse » au Domaine de Fonds Saint-Jacques à Sainte-Marie
10h, ouverture des portes
11h, atelier danse bèlè / contemporain à la purgerie, suivi d’une performance participative en extérieur
13h, déjeuner sur l’herbe sous le manguier
14h, sieste performative sous le manguier
15h, visite guidée de l’exposition sous forme de performance entre le ti-salon & la salle à manger
16h30, performance en extérieur « Le Banc », suivie d’une 1re conférence par la chercheuse Jésika Orsinet
19h, projection du film « Tombolo », suivi d’une 2de conférence par le chercheur Lazaro Benitez Dias (la purgerie)
20h, performance « Arches » sous les arches, suivie d’une Djing Party
Les membres du kolectif13 sont : Marlène Myrtil, Annabel Gueredrat, Chantal Thine, Jean Hugues Miredin, Laurent Troudart, Lindy Callegari, Rita Ravier, Véronique Defranoux, Jean Félix Zaïre et nos invités sont : Jésika Orsinet, Lazaro Benítez Dias, Fred Lagnau

« La colonisation est la tête de pont de la barbarie d’où, à n’importe quel moment, peut déboucher la négation pure et simple de la civilisation…

— Par Emile Leauthier —
De Florian Heinzen-Ziob
Titre original The Shout
(New York) Voix envoûtante et physique charmeur, Harry Belafonte, surnommé « le roi du calypso », a connu la gloire dès les années 1950 et marqué son époque par ses convictions humanitaires et sa lutte pour les droits civiques aux États-Unis.
NOUS N’AVONS RIEN NOUS AVONS TOUT
Molière du spectacle de théâtre public
La 34e édition de la grande cérémonie du théâtre français se tiendra le 24 avril sous la houlette d’Alexis Michalik au Théâtre de Paris.
Nous ferons un voyage culturel en Lecture Expressive !
Le poids du non-dit, des silences, du refoulé l’a fait fuir l’Habitation familiale. Elle s’est réfugiée à New York, s’est consacrée à son besoin de dire ce qui l’étouffe. Par l’écriture. De poèmes. Et d’un livre qui révèle les conditions dans lesquelles s’est constitué le matrimoine familial. La mère qui vient de mourir, voulait le faire interdire. Elle est venue pour l’enterrement. Sa sœur aînée a repris le flambeau maternel et se fait la gardienne de la chape de plomb qui pèse, qui oppresse. L’aînée lui dit : « Pour être sous les projecteurs tu pousses ta famille dans le caniveau » Entre les deux, une sœur d’adoption, une cousine maternelle, une orpheline dont la mère n’a pu supporter le joug du secret et qui s’est tuée dans un accident de voiture. La veillée funéraire est en cours quand elle arrive, elle reste sur le perron de la maison, refuse d’entrer.

Dès maintenant sur Arte.tv et en mai en prime time sur Arte
Participez à l’atelier d’écriture de scénario pour vous lancer dans votre aventure cinématographique
Création
Après deux années de crise sanitaire, de méfiance et de morosité, la troupe de théâtre de l’association l’Art Gonds Tout a choisi de tourner la page et de convoquer le rire en présentant la comédie de Laurent Baffie « TOC TOC » mise en scène par Marie ALBA.
Cette nouvelle édition de « La Nuit du Ramadan », coprésentée par Myriam Seurat et Zohra Ben Miloud, depuis la Petite Halle de la Villette, est placée sous le signe du voyage et de la rencontre des cultures. De l’Asie au Maghreb, en passant par la Libye, la Syrie, l’Irak, le Sénégal ou les Comores, le Ramadan est célébré à travers le monde. Trois chefs, d’Algérie, d’Indonésie et des Comores, partagent leurs meilleures spécialités pour le Ramadan, tandis que sur scène, des artistes aux multiples origines et styles musicaux riches et variés se succèdent.
Ahmad Jamal, né Frederick Russell Jones, est un pianiste et un compositeur de jazz américain né le 2 juillet 1930 à Pittsburgh en Pennsylvanie et mort le 16 avril 2023 dans le Massachusetts.
Entre 1854 et 1864, après l’abolition de l’esclavage, plus de 18 500 femmes, hommes et enfants de plusieurs pays d’Afrique sont envoyés aux Antilles pour y travailler la terre. Appelés « Kongos », ces travailleurs étaient pour la plupart des « captifs rachetés » par des recruteurs qui leur imposaient un contrat de travail, dit « engagement », dans des plantations de canne à sucre en Martinique ou en Guadeloupe. Les travailleurs Kongos furent une main-d’œuvre servile, dont les employeurs s’efforçaient à n’être pas accusés d’esclavagisme, dans le contexte abolitionniste de la première moitié du XIXe siècle. Aujourd’hui, en Martinique et en Guadeloupe, leurs descendants retracent cette mémoire méconnue et revendiquent leurs racines africaines.
Prix Fipresci au Festival de Cannes – Un Certain Regard
Grand Paris