Jeudi 8 février à 18h à la bibliothèque George de Vassoignes Schœlcher

« L’éloquence du corps« , un livre de Catherine Cayol paru aux Editions Experts équilibre
Après des infarctus cérébraux récidivants, Catherine Cayol a exploré, au fil du temps, une autre version d’elle-même. Un vécu qu’elle partage avec le public à travers un roman intitulé « L’éloquence du corps : l’autre version de soi ». Chacun y découvrira les réflexions et les projets qui ont su rendre « bon » tout ce qu’elle vit aujourd’hui, dont la mise en place du concept de sauvegarde du patrimoine musical HSE.
Beaucoup de personnes l’ont contactée pendant la pandémie pour savoir comment elle s’en sortait. Elle leur expliquait que pour elle, le confinement a commencé bien avant, depuis sa sortie du coma. Elle a dû retourner en elle-même, un retour à soi qui n’est pas facile, car cela nécessite le silence intérieur et la quête de la paix intérieure. Catherine a expérimenté l’idée du médicament sauveur, censé faire taire la douleur, mais elle sait qu’aucun d’entre eux ne guérit réellement.
Elle ne prône pas l’abandon des médicaments, car ils ont leur place et leur nécessité (elle-même suit un traitement), mais après avoir survécu à plusieurs infarctus cérébraux et un coma, elle propose d’accueillir par moments la douleur comme une amie inattendue.

Conte
Fanny J, repart à la rencontre de ses fans pour son « Intense tour ». 
Par Léa Domenach, Clémence Dargent
Inspirée librement du film « Un air de famille » de Cédric Klapisch, lui-même, inspiré de la pièce de théâtre « Un air de famille » de Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui,
Mario Masse, artiste aux multiples talents, a parcouru un chemin musical riche et diversifié. Originaire de Martinique, il a débuté en tant que bassiste et guitariste, mais c’est la flûte qui est devenue son instrument de prédilection. Sa formation au conservatoire de musique Alfred Cortot a contribué à affiner ses compétences musicales.
1ère édition du Festival Culturel Rural, organisé par la FMFR (Fédération Martinique des Foyers Ruraux), avec de nombreux invités qui participeront à des actions scolaires et des soirées publiques! À travers ce festival organisé dans le cadre de son projet « Anim’actions culturelles du réseau rural », la Fédération martiniquaise des Foyers ruraux poursuit plusieurs objectifs : fédérer petits et grands autour d’un événement culturel ; promouvoir la pratique du conte ; favoriser le maintien du lien social et les échanges intergénérationnels ; offrir plus de visibilité aux associations du réseau et la fédération. !
Ego sum,
Retrouvez la pour la première fois avec ses musiciens sur la scène de Tropiques Atrium les 28,29 et 30 septembre.
Angélique Kidjo, l’artiste béninoise « 4 étoiles » comme le nombre de ses Grammy Awards, fait danser et chanter la planète depuis plus de trente ans. Classée parmi les 100 femmes les plus influentes du monde, la chanteuse est une activiste internationalement reconnue vivant entre Brooklyn et Paris. Indépendante et féministe, elle revendique l’héritage de la Sud-Africaine Miriam Makeba et de la reine de la salsa cubaine Celia Cruz qui lui ont ouvert la voie et montré comment faire sa place dans un monde d’hommes. La soixantaine énergique, Angélique Kidjo endosse à son tour ce rôle de figure tutélaire pour la nouvelle génération d’artistes africains comme Yemi Alade et Burna Boy. Des Indépendances Africaines qui l’ont vue naître en 1960 à son exil en France en 1983 jusqu’au succès international de sa musique, des routes de l’esclavage à la playlist de Barak Obama, des rythmes traditionnels yoruba de son enfance à l’avènement de ce qu’on a appelé la World Musique dans les années 90, en passant par ses reprises de l’album Remain in Lights des Talking Heads et du Boléro de Ravel, ses duos prestigieux avec Alicia Keys, Ziggy Marley, Bono, Peter Gabriel, ses créations originales avec Philip Glass et Ibrahim Maalouf…Queen Kidjo, le rythme absolu raconte le voyage de l’artiste à travers la vie et ses choix artistiques qui l’ont menée à devenir cette voix puissante et engagée qui brise les murs de l’indifférence et érige des ponts musicaux sur lesquels personne n’a encore marché.

« La Petite », u, film de Guillaume Nicloux
En 2022, Stéphane Lafaille fonde l’ATAMAC, l’Atelier Théâtre Adultes en collaboration avec un petit groupe au sein de l’AMAC (Association de la Météo et de l’Aviation Civile) en Martinique. L’objectif de cette initiative est de stimuler la créativité et d’unir les esprits parmi les membres actifs et retraités de l’AMAC. Chaque mardi après-midi, les apprentis comédiens de l’ATAMAC se rassemblent pour travailler ensemble, embrassant pleinement l’esprit de vie associative qui promeut le dévouement, la générosité et le travail d’équipe.
Un groupe de vingt comédiens bénéficie actuellement d’une formation intensive dans le domaine du cinéma, entièrement financée par l’AFDAS (Opérateur de compétences pour les secteurs culturels, créatifs, médiatiques, etc.) et Pôle emploi. Cette initiative vise à préparer ces comédiens, sélectionnés pour leur engagement à suivre la formation sur une période de onze semaines, à devenir des acteurs et actrices professionnels capables de participer à des séries, des films, des publicités, et bien plus encore.
Melissa Mambo Bangala, lauréate du prix d’écriture théâtrale ETC Caraïbe du meilleur texte francophone, édition 2023


— Rapport critique de Trésor Mbikavu(*)
Dans le cadre des journées européennes du patrimoine 2023 – patrimoine vivant – , l’association Karib’Cultur vous propose de participer à des ateliers artistiques, dans les locaux de sa galerie et atelier Karib’Design.
Christian Lara, le cinéaste guadeloupéen né en 1939 à Basse-Terre, a mené une carrière riche et diversifiée dans le monde du cinéma. Avant de se lancer dans le cinéma, il travaille comme journaliste pour Le Figaro à Paris. Cependant, il trouve rapidement sa vocation dans le cinéma et devient l’un des cinéastes les plus influents et prolifiques de la Guadeloupe et des Antilles.
Par Michel Gondry