A Madiana
Synopsis
L’industriel Bartholomew Bogue règne en maître sur la petite ville de Rose Creek. Pour mettre fin au despotisme de l’homme d’affaires, les habitants, désespérés, engagent sept hors-la-loi, chasseurs de primes, joueurs et tueurs à gages – Sam Chisolm, Josh Farraday, Goodnight Robicheaux, Jack Horne, Billy Rocks, Vasquez, et Red Harvest. Alors qu’ils se préparent pour ce qui s’annonce comme une confrontation sans pitié, ces sept mercenaires prennent conscience qu’ils se battent pour bien autre chose que l’argent…
Le remake d’Antoine Fuqua embarque la fine équipe dans un western qui se contente de dégainer l’artillerie lourde.
Est-ce bien utile? Hollywood manque-t-il à ce point d’inspiration qu’il a pris la (mauvaise) habitude de piocher dans ses catalogues de grands classiques pour les remettre au goût du jour? Après avoir – sacrilège! – massacré le mythique Ben-Hur, c’est au tour d’un autre film culte du cinéma américain de se voir offrir une nouvelle jeunesse. Et Les 7 Mercenaires (en VO, The Magnificent Seven) ne sont plus si magnifiques revus et corrigés par Antoine Fuqua, spécialiste du film d’action.
De la même manière que John Sturges avait, en 1960, pris des libertés en adaptant Les 7 Samouraïs, d’Akira Kurosawa, le réalisateur de Training Day imagine à son tour une histoire bien différente.

La Maison Rouge : Maison des Arts à le plaisir de vous présenter le vendredi 30 septembre 2016 à 19h la pièce « LAGRIMANTE ».
« Des coups de pied, des coups de poing au visage, des gifles, les cheveux tirés, les menaces de mort, les insultes qui pleuvent ». La situation décrite aux policiers du commissariat de Saint-Maur (Val-de-Marne) fait froid dans le dos. Ce lundi, ils ont entendu la femme du rappeur Rohff, venue porter plainte pour des violences conjugales. L’artiste de 38 ans, actuellement sous contrôle judiciaire pour d’autres faits de violences, devrait être convoqué au commissariat pour s’expliquer. Il a de son côté déposé une main courante contre sa femme quand il a su qu’elle allait porter plainte.
Avec l’album The Wrong Kind of War, la chanteuse, ex-mannequin, tresse des odes à la résistanceet des hymnes à l’amour d’une tendresse lucide. En tournée et bientôt à l’Olympia.
FRANCE 3/20H55 – inspiré d’une histoire vraie, le film de Stephen Frears, porté par Judi Dench (Skyfall, Indian Palace), est une œuvre poignante, agrémentée de subtiles touches d’humour et d’une belle réflexion sur la société.
« Je ressens, je crois, avec beaucoup de force, le désir d’un théâtre qui n’en serait plus un... »
M.E.S. et adaptation Mélanie Laurent
Depuis un an, la CinéFabrique accueille à Lyon des élèves de tous horizons, sociaux ou géographiques. Une mixité qui tranche avec la Fémis, sa cousine parisienne
La 17e édition de la manifestation se déroule à Lyon et dans la région Rhône-Alpes jusqu’au 30 septembre. Une édition libre et engagée, à la croisée des danses savantes et populaires.
ELLE est constitutive de notre imaginaire collectif. ELLE est là tapie au fond de nos mémoires, silencieuse quand tout va bien, faisant retour insistante et omniprésente dans les périodes de crises. ELLE a donné au théâtre quelques uns de ses plus beaux monuments : au 19ème siècle Georg Büchner (1813-1837) nous fit don de « La mort de Danton », au 20è siècle le Théâtre du Soleil d’Ariane Mnouchkine nous offrit 1789, en ce début de 21 ème Joël Pommerat nous gratifie de
Tiago Rodrigues, teatro nacional D. Maria II
Nouvelle création, à la fois drôle et corrosive, où les acteurs s’amusent de leurs différences et des clichés de notre société.
CinéMadiana Dans le cadre des séances V.O – 19h30
Il y avait au Faso dans la cour de sa majesté toukguili de Gongonbiligongoni un jeune garçon nommé Candide…
Un simple fauteuil pour tout décor dans cette adaptation fidèle où le comique garde toute sa place… juste le jeu de 7 comédiens-danseurs-musiciens du Burkina Faso et les instruments africains pour donner le rythme des intermèdes voulus par Molière. M. Purgon est féticheur, Argan et Toinette un couple surprise, et tous les personnages sont des notables de la société africaine…
Pour le festival Jazz à la Villette, l’incandescente création en hommage à Coltrane, par l’astre Shepp, célèbre la mémoire et le chant-souffle visionnaire de Trane. Une colère plus que jamais nécessaire.
Sur notre route, il y eut tout d’abord Avignon l’incontournable, son Festival In tout empreint de gravité pour nous parler de notre histoire et de notre humanité, en une programmation éclectique qui fit la part belle aux pièces données en langues originales sur-titrées. Aux nombreux articles déjà parus sur le présent site, je n’ajouterai que notre émerveillement à retrouver la Carrière Boulbon, lieu magique où, à la belle étoile, s’égrenèrent, dans la douceur de la nuit provençale, les cinq heures du Karamazov de Jean Bellorini. Du roman, traité en tragédie, le metteur en scène a choisi de mettre en lumière les questions essentielles qui hantent l’œuvre de Dostoïevski. Sur des rails circulent des cages de verre qui sont le lieu d’affrontements familiaux, et qui donnent à cette adaptation la dimension d’un huis-clos enflammé et cruel.
Qu’elle fut belle, cette dernière après-midi de vacances, quand avant de reprendre, un peu nostalgique, le chemin de l’école, on a pu rêver encore et voguer dans l’imaginaire sous la houlette de Jean l’Océan ! Comme un sursis accordé, comme un dernier voyage immobile au pays des arbres et des sorcières, qui hantent les nuits noires et les forêts profondes.
Il fait beau …..Il fait Bon….. Poursuivons cet esprit de « Bon Vivant » an LAKOU A