Lundi 27 novembre 2023 / 18h / Tropiques-Atrium
Par Michael Roemer, Robert M. Young
Avec Ivan Dixon, Abbey Lincoln, Julius Harris
Date de reprise 15 mars 2023
Nothing But a Man est un drame américain réalisé par Michael Roemer, sorti en 1964.
Il est considéré comme l’un des meilleurs films sur la condition des Afro-Américains.
Nothing but a Man est un film dramatique indépendant américain de 1964 mettant en vedette Ivan Dixon et Abbey Lincoln , et réalisé par Michael Roemer, qui a également co-écrit le film avec Robert M. Young .
Bien qu’il n’ait pas été largement vu lors de sa sortie en raison de difficultés à trouver une distribution, le film est désormais généralement considéré comme un exemple important du cinéma américain néoréaliste. En 1993, il a été sélectionné pour être conservé dans le National Film Registry des États-Unis par la Bibliothèque du Congrès comme étant « culturellement, historiquement ou esthétiquement significatif ».
Synopsis :
Duff Anderson travaille dans une équipe de cheminots près de Birmingham, en Alabama , gagnant un bon salaire et menant une vie itinérante avec ses collègues noirs.

Par Ana Sofia Fonseca
La séance commence à 19h00
Avec Alma Pöysti, Jussi Vatanen, Janne Hyytiäinen
Avec Jean-Paul Rouve, Kim Higelin, Laetitia Casta
L’association les Ponts de l’Espoir (Hope & Bridges), organisatrice du Kréyol International Film Festival, est fière d’annoncer que le week-end d’ouverture du KIFF qui s’est tenu du 8 au 10 septembre 2023, au cinéma Lincoln de Paris, a rencontré un bien joli succès auprès du public et des professionnels du cinéma.
Dans le monde du cinéma, Euzhan Palcy se distingue comme une pionnière déterminée de l’égalité. Originaire de la Martinique, cette cinéaste exceptionnelle a consacré sa carrière à briser les barrières et à donner une voix aux minorités sous-représentées dans l’industrie cinématographique.
Avec Gavril Dartevelle, Soma Santoki, Padrig Vion
Film en Arabe sous-titré Français
Par Marco Bellocchio, Susanna Nicchiarelli
En trois épisodes, cette série documentaire retrace les grandes étapes du capitalisme américain. De Rockefeller aux ploutocrates Elon Musk, Jeff Bezos ou Steve Jobs, en passant par le krach de 1929 et la crise des subprimes de 2007, retour sur l’histoire d’une mythologie nationale.
— Par M’A —
Synopsis :
L’année dernière, 45 000 hommes, femmes et enfants, ont rejoint clandestinement les côtes anglaises depuis les plages du Nord-Pas-de-Calais. On ignore combien sont morts en tentant la traversée. Pour comprendre ce scandale et dénoncer le juteux business qui en découle, le réalisateur Julien Goudichaud a vécu, auprès des réfugiés et des passeurs, sur ce qu’il nomme les « plages de l’embarquement ». Partageant le quotidien des migrants pendant sept ans, il a fini par embarquer sur un de ces canots de fortune pour raconter, de l’intérieur, l’épopée de ces traversées souvent meurtrières. À bord, il vit avec les passagers l’angoisse du départ de nuit, de la mer qui grossit, des super tankers qui secouent l’esquif et le remplissent d’eau. Avec eux, il écope et espère l’arrivée des secours. En tournant ce document exceptionnel, Julien Goudichaud a pu rencontrer les « passeurs ». Petites mains qui organisent la vie quotidienne dans les camps de la « jungle » de Calais ou chefs de réseaux qui s’enrichissent en gérant à distance ce trafic d’êtres humains.
Avec Orson Welles en curé et Gregory Peck en capitaine Achab obsédé par un cachalot géant. Si les effets spéciaux datent un peu, la réflexion psychologique reste intemporelle
Le monde de l’audiovisuel et de la musique en Martinique est en deuil suite au décès soudain de Patrice Aboulicam, plus connu sous le nom de Radix Corporation, à l’âge de 37 ans. L’annonce de sa disparition a provoqué un choc parmi ses collègues, amis et la communauté artistique. Radix était un talent de la vidéo, un producteur, réalisateur et manager, qui avait collaboré avec de nombreux artistes de renom tels que JmaX, Loy Sonjah, Kalash, et bien d’autres.
L’Iran est en deuil suite au double assassinat du célèbre cinéaste Dariush Mehrjui et de son épouse, Vahideh Mohammadifar, dans leur domicile de Karaj, près de Téhéran. Cette tragédie a plongé le pays dans la perplexité, alimentant les spéculations sur les circonstances entourant leur mort. L’enquête est toujours en cours, mais les signes d’un possible meurtre politique ne peuvent être ignorés.
La 18e édition du Cinémartinique Festival, organisée par Tropiques Atrium, se déroulera du vendredi 13 au samedi 21 octobre, offrant une semaine riche en événements cinématographiques.
Par Léa Domenach, Clémence Dargent
Angélique Kidjo, l’artiste béninoise « 4 étoiles » comme le nombre de ses Grammy Awards, fait danser et chanter la planète depuis plus de trente ans. Classée parmi les 100 femmes les plus influentes du monde, la chanteuse est une activiste internationalement reconnue vivant entre Brooklyn et Paris. Indépendante et féministe, elle revendique l’héritage de la Sud-Africaine Miriam Makeba et de la reine de la salsa cubaine Celia Cruz qui lui ont ouvert la voie et montré comment faire sa place dans un monde d’hommes. La soixantaine énergique, Angélique Kidjo endosse à son tour ce rôle de figure tutélaire pour la nouvelle génération d’artistes africains comme Yemi Alade et Burna Boy. Des Indépendances Africaines qui l’ont vue naître en 1960 à son exil en France en 1983 jusqu’au succès international de sa musique, des routes de l’esclavage à la playlist de Barak Obama, des rythmes traditionnels yoruba de son enfance à l’avènement de ce qu’on a appelé la World Musique dans les années 90, en passant par ses reprises de l’album Remain in Lights des Talking Heads et du Boléro de Ravel, ses duos prestigieux avec Alicia Keys, Ziggy Marley, Bono, Peter Gabriel, ses créations originales avec Philip Glass et Ibrahim Maalouf…Queen Kidjo, le rythme absolu raconte le voyage de l’artiste à travers la vie et ses choix artistiques qui l’ont menée à devenir cette voix puissante et engagée qui brise les murs de l’indifférence et érige des ponts musicaux sur lesquels personne n’a encore marché.