Lundi 30 octobre / 20h55 / Arte
Avec Orson Welles en curé et Gregory Peck en capitaine Achab obsédé par un cachalot géant. Si les effets spéciaux datent un peu, la réflexion psychologique reste intemporelle
Moby Dick est un film américano-anglais, réalisé par John Huston d’après le roman homonyme d’Herman Melville, sorti sur les écrans en 1956.
Synopsis :
Ismael, jeune marin qui rêve d’aventure, s’embarque à bord du Péquod, un baleinier. Ce navire est commandé par le capitaine Achab qui est mû par une unique obsession : il veut absolument tuer Moby Dick, un cachalot blanc, qui lui a fait perdre sa jambe. Achab entraînera ainsi son équipage à le suivre à travers toutes les mers, à la poursuite du monstre mais aussi de son propre destin.
Autour du film
John Huston a dit à propos des difficultés rencontrées lors du tournage : « Le film, comme le livre, est donc un blasphème, et on peut admettre que Dieu se soit défendu en déchaînant contre nous ces ouragans et ces vagues énormes ».
On peut voir le folkloriste Bert Lloyd entonner un chant de marin lors de l’appareillage du Pequod.

Le monde de l’audiovisuel et de la musique en Martinique est en deuil suite au décès soudain de Patrice Aboulicam, plus connu sous le nom de Radix Corporation, à l’âge de 37 ans. L’annonce de sa disparition a provoqué un choc parmi ses collègues, amis et la communauté artistique. Radix était un talent de la vidéo, un producteur, réalisateur et manager, qui avait collaboré avec de nombreux artistes de renom tels que JmaX, Loy Sonjah, Kalash, et bien d’autres.
L’Iran est en deuil suite au double assassinat du célèbre cinéaste Dariush Mehrjui et de son épouse, Vahideh Mohammadifar, dans leur domicile de Karaj, près de Téhéran. Cette tragédie a plongé le pays dans la perplexité, alimentant les spéculations sur les circonstances entourant leur mort. L’enquête est toujours en cours, mais les signes d’un possible meurtre politique ne peuvent être ignorés.
La 18e édition du Cinémartinique Festival, organisée par Tropiques Atrium, se déroulera du vendredi 13 au samedi 21 octobre, offrant une semaine riche en événements cinématographiques.
Par Léa Domenach, Clémence Dargent
Angélique Kidjo, l’artiste béninoise « 4 étoiles » comme le nombre de ses Grammy Awards, fait danser et chanter la planète depuis plus de trente ans. Classée parmi les 100 femmes les plus influentes du monde, la chanteuse est une activiste internationalement reconnue vivant entre Brooklyn et Paris. Indépendante et féministe, elle revendique l’héritage de la Sud-Africaine Miriam Makeba et de la reine de la salsa cubaine Celia Cruz qui lui ont ouvert la voie et montré comment faire sa place dans un monde d’hommes. La soixantaine énergique, Angélique Kidjo endosse à son tour ce rôle de figure tutélaire pour la nouvelle génération d’artistes africains comme Yemi Alade et Burna Boy. Des Indépendances Africaines qui l’ont vue naître en 1960 à son exil en France en 1983 jusqu’au succès international de sa musique, des routes de l’esclavage à la playlist de Barak Obama, des rythmes traditionnels yoruba de son enfance à l’avènement de ce qu’on a appelé la World Musique dans les années 90, en passant par ses reprises de l’album Remain in Lights des Talking Heads et du Boléro de Ravel, ses duos prestigieux avec Alicia Keys, Ziggy Marley, Bono, Peter Gabriel, ses créations originales avec Philip Glass et Ibrahim Maalouf…Queen Kidjo, le rythme absolu raconte le voyage de l’artiste à travers la vie et ses choix artistiques qui l’ont menée à devenir cette voix puissante et engagée qui brise les murs de l’indifférence et érige des ponts musicaux sur lesquels personne n’a encore marché.

« La Petite », u, film de Guillaume Nicloux
Un groupe de vingt comédiens bénéficie actuellement d’une formation intensive dans le domaine du cinéma, entièrement financée par l’AFDAS (Opérateur de compétences pour les secteurs culturels, créatifs, médiatiques, etc.) et Pôle emploi. Cette initiative vise à préparer ces comédiens, sélectionnés pour leur engagement à suivre la formation sur une période de onze semaines, à devenir des acteurs et actrices professionnels capables de participer à des séries, des films, des publicités, et bien plus encore.
Christian Lara, le cinéaste guadeloupéen né en 1939 à Basse-Terre, a mené une carrière riche et diversifiée dans le monde du cinéma. Avant de se lancer dans le cinéma, il travaille comme journaliste pour Le Figaro à Paris. Cependant, il trouve rapidement sa vocation dans le cinéma et devient l’un des cinéastes les plus influents et prolifiques de la Guadeloupe et des Antilles.
Par Michel Gondry
Par Quentin Dupieux
Par Aje Brücken
Vendredi 15 septembre – 14h
Lundi 18 septembre – 19h
Mardi 19 septembre – 19h
Déjà programmé sur Martinique 1ère » le 15/03/23. le superbe documentaire de Sonia Medina et Stéphane Krausz est de nouveau à l’affiche sur France 4. Si l’horaire vous semble un peu tardif il est toujours disponible en replay sur
Réalisation : Sam Mendes
Vendredi 1er septembre