— AFP —
La mairie de Paris met à l’honneur l’enfant terrible de l’art contemporain à l’occasion de la 13e édition de la Nuit blanche, qui se tient ce samedi soir.
Paris, « capitale du street art » ? C’est en tout cas l’ambition de la mairie de Paris, qui mettra à l’honneur l’enfant terrible de l’art contemporain à l’occasion de la prochaine Nuit blanche, samedi, en lui ouvrant largement ses murs. L’adjoint de la maire de Paris en charge de la Culture, Bruno Julliard, en a fait la promesse, lors de la conférence de presse de présentation de la Nuit blanche début septembre : « Paris doit devenir la capitale mondiale du street art. »
« On constate vraiment un emballement des Parisiens (…). Il y a un emballement des décideurs, qui apprécient l’image de modernité associée au street art ; un emballement des galeries d’art contemporain parisiennes, où les ‘street artistes’ ont massivement fait leur entrée. C’est devenu un champ majeur de l’art contemporain où Paris a une place importante (…). Nous avons envie d’être dans ce train de la modernité, de l’excellence », a déclaré l’élu à l’AFP.

— Dossier de presse —
Le design va de l’objet fonctionnel à l’objet baroque, en passant par tous les états du flexible, du modulable et du turgescent. Du joli grille pain à l’utopie absolue savoir mettre de la folie dans la matière. Seules comptent la démarche, les traces de la pensée, l’influence cachée du novateur. Yannick Vérrès a en lui du rêve, du temps de la patience, et comme en musique il invente sa propre grammaire. Les épousailles de l’art et de la technique où formes et symboles font écho à l’industrie et la nature, harmonisent des critères esthétiques et fonctionnels. Son travail enchante par sa candeur et sa légèreté. Peut-être parce qu’il est conçu de façon instinctive, directement du dessin à l’objet. Deux en un, objet utile et beau, voilà ce que propose Yannick Verrès⋅ Pour cette exposition, il compose une série de meubles, tables, tabourets, tables basses, bancs qui explore la relation entre le bois et le métal. Bien plus que du mobilier, ces modèles sont en fait des sculptures fonctionnelles, pièces uniques épurées, réalisées dans une recherche de style⋅
Il est des artistes qui pratiquent l’élan total, la créativité lyrique et qui transmettent leur témoignage pictural comme une décharge. C’est le cas d’Alex Vilna.
Tout le monde connaît ses « nanas » aux formes opulentes et aux vêtements multicolores, mais une rétrospective au Grand Palais donne à voir un autre versant de Niki de Saint Phalle : féministe, torturé, engagé, sans concession.
Exposition individuelle
14°N 61°W espace d’art contemporain , rue du Mérite Artisanal -Z.A Dillon 97200 Fort de France Martinique FWI
« Ce que l’on peint est inexplicable. Tout est une question de climat, d’atùmosphère, de lumière, de mystère aussi. » C’est ce que Paul Delvaux, l’un des plus grands peintre figuratifs di XXe siècle, avait dit à mon père, dans l’entretien qu’il lui avait accordé, le 7 septembre 1973, dans sa maison du béguinage de Furnesi. L’artiste avait alors soixante-treize ans. Outre la peinture murale de la salle de jeu du d’Ostende, nous avions découvert ses oeuvres grâce aux aouvrages de Claude Spaak, Maurice Nadeau et Antoine Terrasse. L’exposition qui s’était tenue en 1972, -« Peintre de l’imaginaire, symboliste et surréalistes belges« , avait enrichi notre connaissance de Delvaux. Nous étions, en cet été, 1973, en vacances à Koksijde. C’est là, plus précisément à Saint-Idesbald, qu’en 1980 a été inaugurée la fondation Paul-Devaux et qu’en 1982 un musée lui a été consacré. Depuis, les hommages et rétrospectives se sont multipliés et ses oeuvres sont présentées partout dans le mopnde.
— Par Christian Antourel & Ysa de Saint-Auret —
UNE MEDITATION ATTENTIVE
Benjamin Stora: « L’histoire de l’immigration ne doit pas être reléguée dans les banlieues de l’histoire ».
L’AMOUR MALGRE TOUT
Le monde dans lequel l’art d’Hector Charpentier nous fait pénétrer, n’a rien de commun avec celui de la science. Il n’est pas fait de quantités mesurables et de relations mathématiques, mais de qualités sensibles et de valeurs poétiques. A ce point qu’il parvient dans un même tableau à confondre ce qui est figuré et le reste suggéré, ouvert à l’interprétation.
La p
—Dossier de presse —
Le Musée National des Beaux-arts de La Havane (MNBA) accueille pour la première fois une sélection des œuvres de Salvador Dali. L’exposition « Memorias del Surrealismo » (Mémoires du Surréalisme) a été inaugurée dans l’Édifice d’Art Universel. Une performance à la charge du groupe Danza Retazos a aussi eu lieu.




En empruntant des chemins buissonniers, là où la pensée se tord, est soumise à des forces qui l’obligent à de nouveaux parcours, à rompre avec la ligne droite. Les courbes libres et sensuelles, semblent séduire l’artiste. Ces arabesques ; il les retrouve dans les montagnes de son pays, les vagues de la mer, les nuages dans le ciel. L’univers entier est fait de courbes. Claude Henry est là pour prolonger ces flexuosités qu’il a si bien dessinées.
Martine Baker, présidente de l’association Odis’7, Espace art contemporain, invite Maïté Marque et Stop pour une exposition qui se décline en une panoplie d’œuvres raffinées, dans un décor professionnel mais sans prétention, intimiste distingué, assurément convivial.
Habitation Clément. Jusqu’au 22 juin 2014