— Par Gérald Rossi —
La 8e édition du festival Orbis Pictus a rassemblé plusieurs milliers de spectateurs qui ont découvert le travail de quinze compagnies revendiquant une diversité d’expression artistique présentée dans des formes brèves.
Elles ont envahi le palais du Tau du 28 au 30 avril. Dans des salles vibrant encore (ou peu s’en faut) des cérémonies du sacre de plus de trente rois de France, une quinzaine de compagnies de marionnettes et de théâtre d’objet ont fait escale à Reims du 28 au 30 avril pour la 8e édition du festival Orbis Pictus. Lequel dans son nom rend hommage à la première encyclopédie illustrée due au philosophe tchèque Comenius, au XVIIe siècle. L’association du mot et de l’image était la finalité recherchée alors. Une méthode de pensée et de représentation qui trouve une continuité avec des spectacles de 5 à 30 minutes, « dans des conditions que l’on ne retrouve nulle part ailleurs » reconnaissent les co-directeurs Angelique Friant et David Girondin Moab. En raison de l’exceptionnalité du lieu et de la démarche qui favorise l’émergence de nouvelles expression précisent-ils.

L’appel lancé le 25 avril à Genève par le secrétaire général de l’ONU pour trouver des fonds afin de venir en aide aux millions de personnes victimes de la famine en Afrique n’a guère trouvé d’écho cette semaine dans les médias français. Alors que des millions de tonnes de céréales dorment dans les silos, seuls 15% des fonds attendus par l’ONU depuis son appel de février dernier ont été collectés pour venir en aide à 30 millions d’Africains dont la vie est mise en danger par le manque de nourriture.
Que Marine Le Pen puisse disposer chez nous d’un nombre de voix aussi considérable relève du cauchemar. Cette aberration ne fait pas que nous interpeller : elle signale une carence majeure qui nous concerne tous : politiques, parents, enseignants, éducateurs, responsables de toutes sortes… ! 
Alors que le second tour de l’élection présidentielle française approche, rester muet nous semble impossible.
Le théâtre de marionnette aurait il enfin gagné un nouveau statut ?
Jazz à La Pointe est de retour en 2017 :
( Compte tenu du vote du premier tour des Présidentielles, s’agissant notamment du penchant de certains citoyens pour le racisme et la xénophobie, à l’instar de Marine Le Pen, il convient de se demander s’ils sont encore des captifs rêvant de liberté. Pour les libérer, et pour les purifier, il importe de leur rappeler à la fois leurs origines et leur vocation. )
L’initiative lancée par l’ancienne Première dame visait à instaurer de nouvelles habitudes alimentaires dans les cantines scolaires. Un objectif de repas sain et équilibré qui vient d’être remis en cause par l’actuel locataire de la maison blanche.
Le Club de la presse Martinique organise, jeudi, en partenariat avec la Bibliothèque Universitaire, une conférence sur le thème : « La liberté de la presse est-elle immuable ? » Deux invités sont attendus pour développer ce thème. En premier lieu, Maître Christelle Petit développera les fondements juridiques de la liberté de la presse. Dans un deuxième temps, Olivier Pulvar, maître de conférences en sciences de la communication, parlera des relations avec les réseaux sociaux. La rencontre est ouverte à tous.
Le score réalisé, en Martinique, par Marine Le Pen (10,94 %) à l’occasion du premier tour de cette élection présidentielle, le 22 avril 2017, interpelle même si ses chiffres sont, en valeur absolue, plutôt faibles car l’abstention réellement forte (60,02 %) !
— Présentation par Valère Egouy, directeur artistique —
En 2018, la Cinquième république aura rattrapé en longévité la Troisième, 70 ans. Sans doute, a-t-il fallu apporter des ajustements à la constitution de 1958. A ce titre, la classe politique eut parfois la main lourde, notamment lors de l’instauration du quinquennat. Ainsi, depuis une trentaine d’années, à la veille de chaque élection présidentielle, des projets de changement de république sont annoncés. Et pourtant, née dans la crise de l’Algérie, la loi fondamentale a montré l’étendue de ses ressources à faire face aux crises politiques. Cette revendication récurrente sert souvent aux candidats à masquer leurs insuffisances. Mais jamais les contours d’une nouvelle constitution n’ont jamais été vraiment esquissés.
Cognitis enim pilatorum caesorumque funeribus nemo deinde ad has stationes appulit navem, sed ut Scironis praerupta letalia declinantes litoribus Cypriis contigui navigabant, quae Isauriae scopulis sunt controversa.

— Par Hélène Tirole* —
Depuis quelques temps, le rôle de bouc émissaire de tous nos maux est de plus en plus attribué non plus à un groupe social, religieux ou national, mais à une étrange entité, qu’on appelle « le système » « .
Avec Nelson Rafaell MADEL et Astrid MERCIER
L’écrivain José Robelot sera présent à la BU du campus de Schoelcher vendredi 5 mai à 16h45 pour une rencontre/signature autour de son dernier ouvrage, Une si longue lettre d’amour – Et d’autres paroles (L’Harmattan, 2016).
A côté d’expositions monographiques, la Fondation présente des expositions collectives de scènes moins connues dans leurs développements les plus actuels : après « Bentu, des artistes chinois dans la turbulence des mutations » (janvier/mai 2016), « Art/ Afrique, le nouvel atelier » réunira deux expositions, pensées comme des focus, adossées à un choix d’oeuvres de la Collection de la Fondation :