Communique LDH suite au futur projet de loi sécuritaire du gouvernement pour faire entrer l’état d’urgence dans le droit commun
Si ce que révèle le quotidien Le Monde est exact, le gouvernement entend introduire dans le droit commun des mesures comme l’assignation à résidence, la pose de bracelets électroniques ou les perquisitions administratives, sous la seule décision d’un préfet.
De telles mesures piétineraient les libertés individuelles et collectives et nous feraient basculer dans un autoritarisme d’Etat. A défaut de sortir de l’état d’urgence, la France entrerait durablement dans un régime d’exception.
Loin de ne concerner que les actes de terrorisme, ces mesures s’appliqueraient indifféremment à une large gamme de délits. Chacun pourrait alors être victime de cet arbitraire. Aujourd’hui déjà, nous voyons des dispositions inscrites dans l’état d’urgence utilisées contre des militants associatifs, syndicaux ou politiques.
Que ce délirant cocktail liberticide, qui s’ajoute à une jurisprudence désastreuse et aux lois déjà votées, ait pu s’écrire dans les bureaux d’un ministère et être approuvé par les plus hautes autorités de l’Etat laisse à penser qu’elles entendent pratiquer une démocratie soumise plutôt que de respecter les règles de l’Etat de droit.


Un film de Claudia Sainte-Luce
De Thierry Frémaux
Avec Tahar Rahim, Constance Rousseau, Olivier Gourmet
La catastrophe aérienne qui a fait le plus grand nombre de victimes françaises a eu lieu le 16 août 2005, au Venezuela. C’était un vol charter. Cela rime-t-il avec avion poubelle ? Peut-on se reconstruire après un tel traumatisme ? Les indemnisations sont-elles à la hauteur du préjudice subi ? L’enquête judiciaire a-t-elle répondu à l’attente des familles ? Autant de questions auxquelles cet ouvrage tente d’apporter une réponse. Il s’adresse, certes, à toute victime, mais aussi à tous ceux qui, en raison de leurs liens avec l’aérien, veulent comprendre comment et pourquoi la faute des pilotes est systématiquement mise en avant. Enfin, les enfants et petitsenfants qui grandiront sans parents et grands-parents trouveront la mémoire des faits dans ce livre.
Gravures, installations et céramiques contre statistiques globalisantes,réseaux (a)sociaux et paroles asséchées!
Après le retrait américain de l’Accord de Paris, un collectif de chercheurs, dans une tribune au « Monde », explique que la lutte de l’humanité contre le dérèglement climatique dépend désormais aujourd’hui du volontarisme européen.
Ensemble instrumental Rolant Jolet
Il n’y a pas qu’en Alsace-Moselle que le culte catholique est financé sur fonds publics. La Collectivité territoriale de Guyane doit aussi rémunérer son évêque et ses curés comme des fonctionnaires. Et cet héritage colonial vient d’être jugé conforme par le Conseil constitutionnel.
Frantz Laurac (Piano) et Gabriel Cibrélis (Balafon / percussions), présentent un duo inédit en toute intimité.
Centre Culturel, Ancienne Ecole de l’Îlet Sixtain
Centre Culturel
— Par
L’histoire des jardins de la Martinique a débuté bien avant la colonisation européenne de l’île et a été alimentée au fil des siècles par la venue, volontaire ou forcée, d’hommes et de femmes (et avec eux de plantes) originaires de différents continents. Pendant longtemps, ces jardins ont permis à la population de survivre et d’entretenir ses racines, et ces facteurs ont marqué durablement la culture martiniquaise.
« Ou sé an piékoko a lanmou
Terrain n°67, Jouir ?
Du 9 au 17 Juin 2017 à Madiana & « Hors les murs »
Dominique Berthet, Laurette Célestine, Hugues Henri, Frédéric Lefrançois et Sentier.
À Bois-Debout, dix jours de grève ont permis aux ouvriers d’obtenir leur dû. Leur exemple s’est étendu à une douzaine de plantations Depuis le 18 mai, ils sont 200 à avoir cessé le travail pour obtenir une convention collective et en finir avec des conditions d’emploi proches de l’esclavage.