« Lumière! L’aventure commence » de Thierry Frémeaux

Mardi 13 juin 2017 19h 30 Madiana VO

De Thierry Frémaux
Avec Thierry Frémaux, Auguste Lumière, Louis Lumière
Synopsis :
En 1895, les frères Lumière inventent le Cinématographe et tournent parmi les tout-premiers films de l’histoire du cinéma. Mise en scène, travelling, trucage ou remake, ils inventent aussi l’art de filmer. Chefs-d’œuvre mondialement célèbres ou pépites méconnues, cette sélection de films restaurés offre un voyage aux origines du cinéma. Ces images inoubliables sont un regard unique sur la France et le Monde qui s’ouvrent au 20e siècle. Lumière, l’aventure du cinéma commence! 
La presse en parle :
L’Express par Eric Libiot
Voir ces moments si fugaces et si prégnants, à l’heure où les chaînes d’info en flux tendu obligent d’alimenter l’abreuvoir, est bouleversant.

Culturebox – France Télévisions par Jacky Bornet
Chaque film de 50 secondes rassemblé dans « Lumière ! L’Aventure commence » démontre cette aspiration à élever une invention technique déduite de la science, à un art. Un trésor inépuisable. Un film d’histoires dans l’Histoire.

.Le Figaroscope par Marie-Noëlle Tranchant
Le commentaire de Thierry Frémaux guide le regard avec autant de sûreté que de légèreté pour faire remarquer un cadrage, un effet de perspective ou d’éclairage, un travelling, un gros plan… Et devant ce spectacle plein de surprises, l’enfance de l’art nous rend le regard de l’enfance.

Bande à part par Jo Fishley
En voix off, posée à juste distance, tour à tour didactique, précis et drôle, Thierry Frémaux éclaire d’une intelligence accessible les images muettes, parlantes, au burlesque irrésistible, des premiers films, un assemblage de 108 courts-métrages des Lumière, avec Camille Saint-Saëns en BO.

Le Figaro par Marie-Noëlle Tranchant
Le spectacle est éblouissant. On a l’impression d’ouvrir une malle aux trésors pleine de surprises amusantes, émouvantes, captivantes. Et comme la restauration des films se poursuit (à la fois en numérique et sur pellicule), il y aura une suite. Chance !

Studio Ciné Live par Thomas Baurez
Un complet ravissement.

LCI par Marilyne Letertre
Un enchantement.

VSD par Olivier Bousquet
L’oeuvre immense des premiers cinéastes dans un montage érudit et splendide.

Le Journal du Dimanche par Danielle Attali
Passionnant, émouvant, indispensable.

Voici par La Rédaction
La sélection présentée est passionnante, dévoilant le génie précurseur, l’ingéniosité et l’incroyable curiosité des deux frangins.

L’Humanité par Jean Roy
Le film stupéfiant de la semaine est un montage d’archives. Oui, mais quelles archives et quel art du montage !

La Croix par Jean-Claude Raspiengeas
Ce montage de films Lumière (restaurés dans leur splendeur) est un pur ravissement. La mise en perspective, précise, argumentée, mélancolique et admirative, de Thierry Frémaux ajoute à la féerie de ce spectacle émouvant, au cœur de l’origine du cinéma.

Le Monde par Jacques Mandelbaum
Ce qui frappe avant toute chose, et contribue à rendre ce film si émouvant, c’est le sentiment de l’absolue nouveauté. Les « premières fois » sont ici innombrables. Premier film, premier travelling, premier gros plan, première comédie, premier documentaire.

Le Nouvel Observateur par Pascal Mérigeau
C’est captivant, passionnant, électrisant, profondément vrai et, pourtant, définitivement fantastique, pour reprendre le mot de Pialat. Comme le cinéma qu’on aime. On souhaiterait que cela dure quelques heures de plus. Tous les films Lumière enchaînés, ça peut se faire, non ?

Télérama par Guillemette Odicino
C’est souvent très drôle, et il faut entendre Thierry Frémaux, conteur au timbre éraillé, agrémenter ces archives de détails historiques, donner à sa voix des inflexions de comédien comique. Inutile de se ruer sur le dernier blockbuster : tout l’effet spécial que procure le cinéma est dans ce film.

Le Dauphiné Libéré par Jean Serroy
En choisissant de montrer 108 des 1422 petits films Lumière tournés entre 1895 et 1905, Thierry Frémaux, par les choix opérés et par les commentaires éclairés et éclairants dont il les accompagne, montre bien que Louis Lumière fut plus qu’un inventeur : un cinéaste. Et ses films ont la grâce de l’innocence.