— Par Laurence Mauriaucourt —
Le chef d’orchestre et trompettiste virtuose cubain Ernesto « Tito » Puentes, âgé de 88 ans, est décédé ce jeudi matin à Montpellier, où il s’était installé, a annoncé son manager, Jean-Louis Perrier. La Fête de l’Humanité perd un ami.
Né le 7 novembre 1928 à La Havane, « Tito » avait débuté avec ses deux oncles trompettistes en soufflant dans un cornet bricolé. Musicien surdoué, il se fait connaître dans le Cuba des années 1940 avant d’acquérir une renommée internationale, avec plus de 200 albums à son actif comme artiste interprète ou soliste, nourri de multiples influences.
« Quand j’ai fait du jazz, mes compatriotes me disaient que je n’étais plus cubain, mais jazzman. Aujourd’hui on me dit salsero… Et je préfère le terme musique afro-cubaine plutôt que salsa qui me semble quelque peu impropre mais surtout qui est un terme inventé par les Américains… […] Moi, je dis que je suis musicien. J’essaie d’intégrer dans ma musique des influences européennes et africaines… Ma musique est plurielle », disait-il.
Ernesto Tito Puentes avait quitté son pays natal au début des années 1950 pour une tournée d’un an en Europe, au Moyen Orient et au Liban.

Communique LDH suite au futur projet de loi sécuritaire du gouvernement pour faire entrer l’état d’urgence dans le droit commun
Un film de Claudia Sainte-Luce
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La catastrophe aérienne qui a fait le plus grand nombre de victimes françaises a eu lieu le 16 août 2005, au Venezuela. C’était un vol charter. Cela rime-t-il avec avion poubelle ? Peut-on se reconstruire après un tel traumatisme ? Les indemnisations sont-elles à la hauteur du préjudice subi ? L’enquête judiciaire a-t-elle répondu à l’attente des familles ? Autant de questions auxquelles cet ouvrage tente d’apporter une réponse. Il s’adresse, certes, à toute victime, mais aussi à tous ceux qui, en raison de leurs liens avec l’aérien, veulent comprendre comment et pourquoi la faute des pilotes est systématiquement mise en avant. Enfin, les enfants et petitsenfants qui grandiront sans parents et grands-parents trouveront la mémoire des faits dans ce livre.
Gravures, installations et céramiques contre statistiques globalisantes,réseaux (a)sociaux et paroles asséchées!
Après le retrait américain de l’Accord de Paris, un collectif de chercheurs, dans une tribune au « Monde », explique que la lutte de l’humanité contre le dérèglement climatique dépend désormais aujourd’hui du volontarisme européen.
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Il n’y a pas qu’en Alsace-Moselle que le culte catholique est financé sur fonds publics. La Collectivité territoriale de Guyane doit aussi rémunérer son évêque et ses curés comme des fonctionnaires. Et cet héritage colonial vient d’être jugé conforme par le Conseil constitutionnel.
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Centre Culturel
— Par
L’histoire des jardins de la Martinique a débuté bien avant la colonisation européenne de l’île et a été alimentée au fil des siècles par la venue, volontaire ou forcée, d’hommes et de femmes (et avec eux de plantes) originaires de différents continents. Pendant longtemps, ces jardins ont permis à la population de survivre et d’entretenir ses racines, et ces facteurs ont marqué durablement la culture martiniquaise.
« Ou sé an piékoko a lanmou
Terrain n°67, Jouir ?
Du 9 au 17 Juin 2017 à Madiana & « Hors les murs »
Dominique Berthet, Laurette Célestine, Hugues Henri, Frédéric Lefrançois et Sentier.