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obert Lepage est aujourd’hui l’une des grandes figures de la mise en scène internationale. Né en 1957 à Québec, il entre au Conservatoire d’art dramatique de la ville avant un séjour à Paris, où il suivra un atelier dirigé par Alain Knapp et découvrira les spectacles du Théâtre du Soleil. Très vite, il développe un théâtre visuel, inspiré à la fois par le théâtre d’objets, l’univers des marionnettes et la culture orientale. Ses “rêveries”, comme Robert Lepage aime à nommer son théâtre, sont reconnaissables par des explorations technologiques (citant le cinéma, le multimédia, les arts visuels) qui proposent une écriture scénique singulière et collective, avec sa compagnie Ex Machina. Par le biais d’entretiens avec Ludovic Fouquet, Robert Lepage retrace dans ce livre son parcours (du théâtre à l’opéra, en passant par le cirque, la danse, les concerts, etc.) et permet au lecteur d’approcher au plus près de son esthétique et du processus de création.
“J’étais très intéressé par le théâtre, par l’idée que le théâtre, c’était « the Great Mother art » comme diraient les Américains, une forme d’art qui invite les autres disciplines.

Dans une tribune datant de quelques bonnes années (Service public ou délégation de service public !), nous exprimions clairement à la fois notre opposition à la délégation de service public passée entre la Région dirigée par S. Letchimy et une société privée de transport maritime, et notre parti-pris total au service public, dans le transport comme ailleurs. 
Treize chanteurs de talent et de toutes générations rendent hommage dans l’album Ces Gens-là au poète du Plat Pays, qui aurait fêté ce vendredi, son 90e anniversaire.
Comment était-il arrivé là, enfermé dans cette cage plongée dans la pénombre? A peine sorti de la brume du sommeil, encore tout accablé de fatigue, il avait froid malgré la chaleur ambiante. On l’avait jeté là, sans même une couverture, sa chemise en lambeaux et son short déchiré pour tout vêtement. Quelques images lui revenaient à l’esprit et tournaient en boucle, le rafiot pourri qui tanguait dangereusement, et puis les plaintes des femmes. La mer démontée qui s ‘était brusquement fâchée au lever du jour et ensuite le grand trou noir. Sur quelle terre étaient ils arrivés, lui et ses compagnons? Une terre qui offre l’oubli? Ou bien une île? Bienveillante et amnésique comme celle des Lotophages?
— Par Christian Antourel & Ysa de Saint-Auret —
Le mot littérature, issu du latin litteratura dérivé de littera (la lettre), apparaît au début du xiie siècle avec un sens technique de « chose écrite » puis évolue à la fin du Moyen Âge vers le sens de « savoir tiré des livres », avant d’atteindre aux xviie – xviiie siècles son sens principal actuel : ensemble des œuvres écrites ou orales comportant une dimension esthétique (ex. : « C’est avec les beaux sentiments que l’on fait de la mauvaise littérature » André Gide) ou activité participant à leur élaboration (ex. : « Se consacrer à la littérature »).

Est-ce le sous titre « D’après « Le gouvernement de soi et des autres. Le courage de la vérité » de Michel Foucault » qui dissuadé le public de venir goûter et apprécier le cadeau qu’offrait vendredi soir Michel Richard avec son spectacle « L’artiste et le dire vrais » ? Était-ce d’autres programmations, de danse, de cinéma ? Toujours est-il que le public était peu nombreux dans la petite et sympathique salle de l’A’zwell, le théâtre que dirige Lucette Salibur aux Terrevilles de Schoelcher. Tant pis pour les absents. Le montage de texte retenus par Michel Richard est issu dans sa très grande partie des toutes dernières leçons de Michel Foucault entre janvier et mars 1984 avant sa mort, victime du Sida le 25 juin de la même année. Il avait 58 ans. On peut avoir une première idée de la perte en songeant que c’est à cet âge là que Lacan commence à tenir son séminaire. 
| Andrea Dorfman| 2018 | 1 h 27 min
Les idéaux de progrès, de raison et d’universel sont-ils devenus obsolètes ? La philosophie du XVIIIe siècle, ennemie de toujours des intégristes religieux et de l’extrême droite, est aussi mise en cause par certains groupes militants à gauche.
— Par Sabine Cessou —
— Par Roland Sabra —
Mise en scène et scénographie Nelson-Rafaell Madel
En 2003, il jouait le rôle de Morgan dans « Moi César, 10 ans 1/2, 1,39 m ». TFM Distribution
Nous parlons de la ‘’Chlordécone’’ en Martinique depuis 61 ans déjà, pour certains c’était l’un des meilleurs produits connus pour traiter les maladies tropicales de notre production agricole ; on avait donc en main l’arme qu’il fallait pour faire reculer la forêt et avancer la culture afin d’alimenter la planète.
« Marie Tudor, God save the Queen », un « drame comique historique romantique punk », revisite un classique au son des Sex Pistols.
Pour fêter son anniversaire, du 2 au 14 Avril, l’Office Municipal Lucéen en partenariat avec Tropiques Atrium scène nationale, vous invite à partager tout un programme d’animations, dans la salle mobile de l’Atrium qui sera positionnée sur le terrain de football, à l’Esplanade des fêtes de Sainte Luce.