par Daniel Marie-Sainte
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Invitée du journal télévisé de Martinique 1ère, le 18 janvier 2013, la directrice du PARM (Pôle Agroalimentaire Régional de Martinique) reprenant à son compte une contre-vérité qui avait été dite par la nouvelle présidente du PARM lors d’une séance plénière de l’Assemblée Régionale, a affirmé que :
« Les recherches sur les plantes médicinales avaient commencé au PARM grâce au vote de l’amendement Letchimy ».
J ‘avais immédiatement dénoncé cette contre-vérité, lors de la séance plénière régionale !
C’est pour cela que j’ai été choqué par ces propos mensongers, repris publiquement par un cadre de direction pourtant présent au PARM depuis son inauguration.
En effet, cet amendement qui a été repris à l’article 97 de la LOI n° 2010-788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l’environnement, dispose que :
« Six mois après la publication de la présente loi, le Gouvernement transmet au Parlement un rapport relatif aux méthodes d’encouragement et de développement de la recherche en matière de valorisation et d’exploitation de la pharmacopée des territoires ultramarins. »
Il date de juillet 2010 !















Il y a au moins deux manières de concevoir l’esthétique. D’un côté on peut voir dans l’esthétique une théorie de l’art, un domaine du savoir s’interrogeant sur les conditions de production et de réception de l’œuvre d’art. D’un autre côté, la notion d’esthétique peut renvoyer à l’ensemble des idées à partir desquels un artiste ou un groupe d’artistes exprime leur conception de l’art.
Les résultats provisoires de l’étude sur le recensement de 2008 menée par Maks Banens et Éric Le Penven montrent une concentration des couples de même sexe dans les villes ; plus celles-ci sont importantes, plus le pourcentage de couples homosexuels est élevé. Dans l’agglomération parisienne, 7,4 couples sur 1.000 sont de même sexe, soit 19.000 couples. À Paris intra-muros, 2,4 % des couples sont homosexuels. Plus la ville est petite et moins le pourcentage de couples homosexuels est élevé. Avec des exceptions. Comme à Montpellier où, pour 1.000 couples, 6,8 sont de même sexe. « Pour les couples de lesbiennes, Montpellier est la première ville de France », relève Maks Banens, avec 2,7 couples de femmes pour 1.000, contre 2,4 pour 1.000 à Paris.






