| — |
L’illustre artiste photographe étasunien John Michael Rusnak, visite […] Cuba. Cette fois pour offrir sa collection intitulée « Peur de la Nostalgie », le dimanche 27 janvier dans la Photothèque de Cuba, une exposition avec laquelle commencera la 3e Conférence internationale « Pour l’équilibre du monde », qui se déroulera jusqu´au 30 de ce mois.
Lors d’une conférence dans le Centre de Estudios Martianos (CEM) de La Havane, John Michael Rusnak a déclaré que cette collection s´inspire d´un projet qu’il a conçu il y a deux ans afin d’aborder la vie et l’œuvre de José Martí « spécialement quant à ses valeurs éthiques et humaines transmises à Cuba, en Amérique Latine et dans le monde ».
L’exposition comprend dix-huit photographies disposées sur des triptyques de 3,80m de long par 1m de haut, prises avec des négatifs Polaroid et imprimées sur papier photographique, traitées avec des peintures et nouvellement photographiées, afin de promouvoir l´unité, la fraternité et la foi chez les êtres humains de n´importe quelle partie de la planète. Nous pouvons dire que c’est un projet intéressant, et à la fois inhabituel, car il met l´accent sur le pouvoir de l´abstraction humaine en rehaussant des faits et des personnes qui, comme dans la spirale historique, pourraient se répéter et se renouveler, nonobstant l´invariance dans le temps et l´espace.





















Il y a au moins deux manières de concevoir l’esthétique. D’un côté on peut voir dans l’esthétique une théorie de l’art, un domaine du savoir s’interrogeant sur les conditions de production et de réception de l’œuvre d’art. D’un autre côté, la notion d’esthétique peut renvoyer à l’ensemble des idées à partir desquels un artiste ou un groupe d’artistes exprime leur conception de l’art.
Les résultats provisoires de l’étude sur le recensement de 2008 menée par Maks Banens et Éric Le Penven montrent une concentration des couples de même sexe dans les villes ; plus celles-ci sont importantes, plus le pourcentage de couples homosexuels est élevé. Dans l’agglomération parisienne, 7,4 couples sur 1.000 sont de même sexe, soit 19.000 couples. À Paris intra-muros, 2,4 % des couples sont homosexuels. Plus la ville est petite et moins le pourcentage de couples homosexuels est élevé. Avec des exceptions. Comme à Montpellier où, pour 1.000 couples, 6,8 sont de même sexe. « Pour les couples de lesbiennes, Montpellier est la première ville de France », relève Maks Banens, avec 2,7 couples de femmes pour 1.000, contre 2,4 pour 1.000 à Paris.


