La Journée mondiale de l’Enfance, célébrée chaque 20 novembre, commémore deux événements fondamentaux :
- 1959 : adoption par l’Assemblée générale des Nations Unies de la Déclaration des droits de l’enfant.
- 1989 : adoption de la Convention relative aux droits de l’enfant (CIDE), traité international le plus ratifié au monde, qui reconnaît des droits fondamentaux à tous les enfants.
Depuis 1990, le 20 novembre marque officiellement la Journée mondiale de l’enfance.
Elle constitue :
✔️ Une journée de sensibilisation
Parents, enseignants, professionnels de santé, éducateurs, élus, associations, médias, jeunes et enfants y participent pour faire connaître les droits de l’enfant, les promouvoir et encourager leur respect partout dans le monde.
✔️ Une journée d’engagement
Elle invite chacun à transformer les principes de la CIDE en actions concrètes : lutte contre la violence, accès à l’éducation, protection, bien-être, santé, participation des enfants…
✔️ Un moment éducatif
Dans les écoles, collèges et lycées, la date permet de :
- mettre en valeur les actions pédagogiques réalisées toute l’année ;
- rappeler l’obligation d’une séance annuelle de sensibilisation à la maltraitance (article L.542-3 du Code de l’éducation) ;
- proposer ateliers, concours, projets citoyens, ressources (Eduscol).

— Par Jean Samblé —
— RS n° 421 lundi 17 novembre 2025 —
— Par Jean Samblé —
Quid de la crédibilité de l’indépendance de la Martinique et de la Guadeloupe en question vu la nouvelle donne géopolitique et économique mondiale ?
Avec sa voix de contre-ténor qui transperce l’air comme un cri de liberté, Jimmy Somerville a débarqué dans le paysage musical des années 1980 tel un ovni venu électriser les pistes de danse. Mais derrière l’énergie contagieuse de sa pop électronique se cache une trajectoire forgée dans la lutte. Enfant des quartiers ouvriers de Glasgow, Somerville comprend très tôt que son homosexualité n’a pas sa place dans l’ordre social brutal qui l’entoure. À 17 ans, il quitte sa ville natale avec pour seule arme son désir d’émancipation, direction Londres et ses possibles.

— Par Sarha Fauré —
Une affaire administrative vieille de plus de vingt ans revient aujourd’hui au premier plan de la scène judiciaire et politique. À partir du 17 novembre, quatre personnalités majeures de la vie publique martiniquaise – Serge Letchimy, président du Conseil exécutif de la Collectivité territoriale de Martinique (CTM), le maire de Fort-de-France Didier Laguerre, son premier adjoint Yvon Pacquit, ainsi que l’ancien directeur général des services municipaux Max Bunod – sont appelées à comparaître devant la 32ᵉ chambre correctionnelle du tribunal judiciaire de Paris. Ils sont poursuivis pour détournement de fonds publics, recel ou complicité, dans une affaire complexe mêlant règles statutaires, principes constitutionnels et décisions administratives contestées.
— Par Nicolas Da Silva —
Crise de trésorerie : gare à la reproduction des erreurs du passé ?
Par Hong Sang-Soo Avec Seong-guk Ha, Yoon So-yi, Hae-hyo Kwon
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— Par M’A —
— Par Jean Samblé —
Alors que le débat public français s’enferme dans le pessimisme et les extrêmes, une autre dynamique se dessine ailleurs : celle de la génération Z, qui se mobilise pour la justice sociale et la démocratie. De Hong Kong à Paris, son énergie rappelle celle de Mai 68 – et invite à repenser le changement par le bas.
— Par Sarha Fauré —