Genève – L’OMS appelle désormais à une vaccination dans tous les pays « dans les 100 prochains jours » pour faire face à la pandémie qui a fait plus de deux millions de morts dans le monde.
Au total, 2.000.066 décès ont été recensés, pour 93.321.070 cas déclarés, selon un comptage réalisé par l’AFP à partir de bilans officiels fournis par les autorités vendredi à 18h25 GMT.
L’Europe, avec 650.560 morts, est la région la plus touchée, devant l’Amérique latine/Caraïbes (542.410) et les Etats-Unis/Canada (407.090).
« Je veux voir la vaccination commencer dans tous les pays dans les 100 prochains jours« , a dit le directeur général de l’agence Tedros Adhanom Ghebreyesus au cours d’une conférence de presse à Genève, les campagnes n’ayant débuté pour l’instant que quasi exclusivement dans les pays riches.
Le comité d’urgence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS)a de son côté appelé vendredi à étendre le séquençage du génome des variants du nouveau coronavirus, plus contagieux et qui font craindre une résurgence de la pandémie.
Il s’est toutefois dit opposé « pour le moment » à l’instauration de certificats de vaccination contre le Covid-19 en tant que condition pour permettre l’entrée d’un pays à des voyageurs internationaux.

Alerté, le premier magistrat de la ville est venu, s’est entretenu avec les touristes, lesquels lui auraient dit qu’il n’y avait rien de grave. C’est le propos du maire. Ces Européens venaient de voir d’autres usagers de la plage jeter leurs bagages à la mer. Pourtant, aucun reproche ne leur avait été fait à leur arrivée en Martinique. De gentils hôtes les avaient accueillis : responsables du tourisme, employés d’hôtel, loueurs de voitures, restaurateurs et autres prestataires de service. Y compris les élus qui, cependant, n’ont pas été interpelés par les faits qui se sont déroulés sur cette plage du nord-caraïbe par une matinée ensoleillée du début de ce mois de janvier. Gauche et droite : motus et bouches cousues.
À rebours de la « démographie galopante » des années cinquante-soixante, la baisse de la population en Martinique de ce début de siècle revient à l’ordre du jour. En découlent toujours les mêmes analyses et le même sentiment fataliste et d’impuissance. J’ignore si des études démontrent que le salut de la Martinique tient à la hausse de sa démographie. Si cette hypothèse est confirmée, la problématique n’est pas sur le point d’être résolue car elle se heurte à des obstacles quasi-infranchissables. La collectivité est frontalement concernée par un handicap de riches : la chute des naissances et la prolongation de la durée de vie, bref, le vieillissement de la population. Ces réalités sont aggravées en Martinique par le fait que ce territoire est à la fois riche et pauvre : riche par son niveau de vie, pauvre par son économie. Sa population vit mieux et plus longtemps, mais grâce à une économie qui n’en est pas une, une économie sous perfusion. Plus généralement, c’est toute la population mondiale qui a cessé de progresser et il est aujourd’hui admis que sa diminution à bref délai est inéluctable.
Hier matin, des citoyen·ne·s ont affiché sur 3m sur 30m ce message, en soutien à l’Affaire du Siècle : « Nous sommes 2,3 millions », sur la voie Georges Pompidou, à deux pas du tribunal administratif de Paris. L’objectif ? Rappeler à l’Etat qu’il répondait aux 2 312 550 personnes qui ont signé notre pétition.
C’est une icône rock des sixties qui se trouve en danger après avoir contracté le coronavirus. La chanteuse britannique Marianne Faithfull, qui a souffert d’une forme grave du Covid-19 en avril 2020, a confié au journal The Guardian qu’elle ne pourrait sans doute plus jamais chanter à cause des séquelles liées à la maladie. Après avoir passé plus de trois semaines à l’hôpital au mois d’avril et avoir craint le pire pour sa vie, la chanteuse, aujourd’hui âgée de 74 ans, explique que ses « poumons ne vont toujours pas bien » et qu’elle doit prendre régulièrement de l’oxygène, confiant ne plus pouvoir actuellement chanter.
Créé au début des années 1990, le parc qui est devenu le Jardin des sculptures de l’Habitation Clément ; a reçu en 2012, Blood de Thierry Alet, la première des vingt et une œuvres qui forment le jardin tel qu’il est aujourd’hui. En 2019, afin de préparer l’ouvrage sur le jardin, publié finalement en février 2020, j’avais mené une série d’entretiens avec les créateurs des œuvres du parc. Thierry Alet, qui expose en ce moment* à la Fondation Clément en tant que curateur et artiste, avait répondu alors par écrit et à l’oral à un court questionnaire sur son œuvre Blood. Ses réponses sont comme l’artiste, souvent sensibles et intimes, parfois drôles et insolentes.
Sur l’île aux belles eaux, on préfère choyer les plages plutôt que les vieilles pierres. Les bâtiments de valeur s’abîment, dans une indifférence qui a longtemps été quasi générale.
Man konvotjé kò-mwen
Les relations internationales sont aussi appelées études internationales (en anglais International Studies (IS)). Les sujets principaux d’études y sont le droit international, la politique internationale, l’économie internationale, et l’histoire des relations internationales. Sous ces vocables, sont en général désignés l’étude des affaires étrangères et des grandes questions du système international : rôle des États, des organisations internationales, des organisations non gouvernementales (ONG) ainsi que des entreprises multinationales. Les relations internationales appartiennent à la fois au domaine académique et au domaine politique. Elles peuvent être étudiées soit dans une optique positiviste soit dans une optique normative, toutes deux cherchant tant à analyser qu’à formuler les politiques internationales des pays.
Le projet est une tentative expérimentale de présenter quelque chose de nouveau. Une présentation de la créativité guadeloupéenne avec deux expositions distinctes. Une exposition numérique J-Expose et une exposition à la Fondation Clément Numéris Clausus. Chacune répondra aux normes du monde auquel elles appartiennent ; le numérique ou le réel, avec des composantes communes.
Mise en espace théâtrale
Besançon – Stéphane Ravacley, le boulanger de Besançon en grève de la faim depuis plus d’une semaine pour protester contre l’expulsion de son apprenti guinéen, s’est réjoui auprès de l’AFP de l’annonce jeudi de la régularisation du jeune homme par la préfecture de la Haute-Saône.
Paris – Il va falloir trancher: un rapport parlementaire présenté mercredi recommande le bannissement progressif d’ici à 2025 des nitrites, ces additifs controversés utilisés dans les charcuteries pour allonger leur durée de conservation, mais soupçonnés de favoriser l’apparition de certains cancers.
En cette fin d’année 2020 qui fut la mère des souffrances pour beaucoup et alors qu’un nouveau soleil vient se lever sur nos espoirs, il serait pertinent de nous demander s’il est encore permis de rêver et donc de souhaiter.
L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.
C’est avec beaucoup d’émotion et de tristesse que nous avons appris le décès subit de notre ancienne vice-présidente, Colette Janvion, survenu le samedi 9 janvier dernier à Paris.
Nationalités Belge, Français
Avec Bukky Bakray, Kosar Ali, D’angelou Osei Kissiedu
Le film est présenté en compétition officielle au Festival de Cannes 2020 et à la sélection ACID 2020. C’est le seul film dans l’histoire du festival de Cannes à avoir eu cette double sélection. Wikipédia
France | 2018 | 80 minutes | HD
Le romancier et poète Louis-Philippe Dalembert, que les lecteurs du National avaient (re)découvert dans l’entretien qu’il a accordé le 8 septembre 2020 à notre collaborateur Robert Berrouët-Oriol (« 
Au fond, nous le savons tous, les problèmes de l’économie locale en Martinique et Guadeloupe ne vont pas s’arrêter avec la crise du coronavirus. L’idée d’une autre société autre que celle de la départementalisation est devenue presque impossible à penser, et d’ailleurs personne n’avance sur le sujet, dans les DROM d’aujourd’hui, même pas l’esquisse d’un concept neuf de nouveau modèle économique et social .
Nous, médecins, scientifiques, professionnels de la santé, nous appelons nos populations à nous protéger collectivement contre la Covid-19 en se faisant vacciner dès lors que les différents vaccins autorisés par l’Agence européenne du médicament (EMA) sont proposés et disponibles sur nos territoires.