Restitution Residence Homo-Sargassum le 26 juin 2021
La TOUT-MONDE Art FOUNDATION présente des productions artistiques de la résidence d’artistes HOMO-SARGASSUM dans un site alternatif et industriel à HOLDEX ENVIRONNEMENT en Martinique.
À la suite d’un programme de résidence artistique de deux mois au cours duquel cinq artistes martiniquais (Nicolas Derné, Annabel Guérédrat, Gwladys Gambie, Ricardo Ozier-Lafontaine and Henri Tauliaut) et quatre artistes jamaïcains (Camille Chedda, Oneika Russell, Jordan Harrisson and Sheldon Green) ont créé des photographies, des installations spécifiques, des recherches esthétiques, des performances, des peintures, ou des œuvres vidéo reflétant les liens qu’ils imaginent entre art, technologie et science, une restitution temporaire des travaux finaux ou en cours, organisée par Matilde dos Santos, sera présentée Martinique sur le site de la société HOLDEX ENVIRONNEMENT le 26 juin (visite sous inscription auprès de ab@holdexenvironment.com).
Holdex Environnement – route Perriolat, 97240 le François
Le programme de résidence d’artiste fait partie du projet d’exposition-vidéo HOMO SARGASSUM de la Fondation, dédié à la prolifération de l’algue sargasse, et lancé le 10 novembre 2020 avec un court métrage de 8 minutes disponible ici. Le projet a été initié en 2019 par l’artiste française Louisa Marajo et la directrice artistique Vanessa Selk, avec le soutien curatorial de la commissaire artistique et Présidente de la Fondation, Dr.


L’ordre règne à la tour Lumina!
— Par les miltantes de Culture Égalité —
Le 18 Juin 2021 (oui c’est aussi un appel)
Par ces temps d’élections, il est commode pour les élus de savonner la pente du populisme. L’arrivée de Marocains en Guyane se prête bien à l’expression d’une xénophobie facile et sans risque de conflit intérieur et de voisinage. Les déclarations d’élu(e)s qui disent s’appuyer sur la population laissent sans voix. Les incidents qui opposent ces derniers aux immigrants, phénomène qui fait davantage que montrer le bout du nez en Martinique, sont la preuve que le lepénisme n’est pas l’apanage de la famille Le Pen. Le réflexe se retrouve à des degrés divers jusque chez les plus chatouilleux des progressistes. Lesquels ne s’expriment guère ces jours-ci en Guyane, alors que les discours d’ostracisme vont plutôt bon train. On aimerait bien entendre sur la xénophobie en terre amazonienne celle qui a pu expérimenter l’ostracisme sous d’autres cieux et à ses dépens, Mme Christiane Taubira.
Holly Bynoe
Sortie en librairie des deux premiers tomes de la nouvelle série jeunesse de Caraïbéditions, NOÉMIE (Noémie à la plage du Diamant et Noémie au Parc des Mamelles) de l’auteure Antillaise Jade AMORY dessinatrice dans un studio d’animation dans l’Hexagone.
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Le rappeur Moha La Squale a été mis en examen mercredi pour « agression sexuelle » et « violences » par conjoint ainsi que pour « séquestration » après les accusations de plusieurs femmes, a indiqué à l’AFP une source judiciaire, confirmant une information du
Jour après jour, matin, midi et soir, les martiniquais sont soumis à un lavage de cerveau intensif concernant la période de l’esclavage et de la traite négrière; le pays baigne littéralement dans l’ évocation obsessionnelle de ce passé révolu. Cette opération de “zombification”de la population, parfaitement orchestrée par l’intelligentsia de gauche politique et médiatique, s’inscrit dans un vaste mouvement ( “la pensée décoloniale”), parti des universités américaines (woke culture des éveillés) pour se répandre ensuite en Europe puis en France. Il s’agit d’analyser et de réinterpréter les faits historiques, économiques et sociaux à travers le prisme de la race ( noirs, minorités ethniques), du genre (féminisme-LGBT) et de la catégorie (roms, musulmans handicapés…). Cette déconstruction-reconstruction dite “décoloniale” peut prendre plusieurs formes : celle du panafricanisme illustré chez nous par l’action des activistes «rouge-vert-noir» qui cherchent à faire disparaître de la mémoire collective et de l’espace public tous les signes et symboles évocateurs de visages d’hommes ( ou de femmes) blancs, y compris de ceux à l’esprit éclairé, ayant contribué par leur engagement sans faille à mettre fin à l’abomination esclavagiste, ou celle de l’islamo-gauchisme, complaisant à l’égard de l’islamisme radical,visant à remplacer les démocraties traditionnelles construites sur la tradition judéo-chrétienne par le règne du Califat et de la Charia ( les graffitis et profanations, touchant épisodiquement les monuments et édifices religieux et les attaques répétées contre la liberté de consciencence et la laîcité, en sont les manifestations les plus visibles).Ce
« L’engagement est ce qui transforme une promesse en réalité »
Chemin de Desbrosse la Vallée, Fort-de-France.
Lanmen ka kaliné épi ka karésé
Drépaction 2021


Nikita Mandryka, dit Mandryka (pseudonyme Kalkus à ses débuts), né le 20 octobre 1940 à Bizerte et mort le 13 juin 2021 à Genève[1], est un auteur de bande dessinée français d’ascendance russe.
Information
Plus de 150 organisations (syndicats, ONG, associations, mouvements paysans, féministes, citoyens) haïtiennes, européennes, latino-américaines, canadiennes et africaines appellent à un changement de politique internationale vis-à-vis d’Haïti.
L’Association des Consommateurs et des Citoyens de la Caraïbe, a participé indirectement à une entrevue avec le syndicat UGTM Santé, en grève depuis septembre 2020 pour revendiquer des moyens lutter contre la montée rapide d’un désert de santé en Martinique.