Le 29 Décembre de 17h30 à 19h30 au Grand-Carbet du Parc Culturel Aimé Césaire
Un collectif d’immenses artistes :
Jocelyne BEROARD, Jean-Philippe FANFANT, Maher BEAUROY, Tony CHASSEUR, Thierry VATON, David DONATIEN, Dédé SAINT-PRIX, MALEIKA ! Tricia EVY, Annick DANTIN et bien d’autres surprises partageront la scène avec les lauréats du concours MizikLab : Saadji, Lana, Yahel, Jérémiah, Mathieu et Eduardo !!!
Un concert hors norme !!!! Plus de 20 artistes engagés auprès de nos jeunes talents martiniquais !
Véritable moment d’exception et de partage entre virtuoses !!!
Programme :
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17h30 Pemière partie : Le groupe « AN BA BWA »
Lauréat MizikLab Projets Innovants
18h00 MizikLab La rencontre
19h30 Fin du spectacle
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Tarif :
20€ (+18ans)
15€ (-18ans)
Billets en vente sur Data caraïbes et au SERMAC le 27, 28 et 29 Décembre 2021 Pass sanitaire obligatoire
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Idée originale : Jean-Philippe FANFANT
Direction artistique : Sarita FANFANT – Thomas BOUTANT
Direction musicale : Jean-Philippe FANFANT – Thierry VATON – David DONATIEN
Production : Association Les SIREZ – SERMAC – Ville de Fort-de-France

Pointe-à-Pitre – En Guadeloupe, malgré le scandale du chlordécone qui traumatise la population, l’utilisation d’autres pesticides reste importante, y compris dans les jardins, selon plusieurs études.
La complexité des phénomènes sur lesquels les experts ont à se prononcer est telle qu’il n’est souvent pas possible de produire des faits indiscutables, expliquent les philosophes Bernadette Bensaude-Vincent et Gabriel Dorthe dans une tribune au « Monde ».
Ils s’appelaient Marc, Henri, Pierre, Aimé, Marie-Line, José, Sandra, Charles… Ils sont morts du Covid alors qu’ils auraient dû vivre. Ils font partie des 511 martiniquais que la maladie a emporté lors de la 4ème vague, et qui seraient vivants aujourd’hui s’ils avaient été vaccinés ! 511 martiniquais que la vaccination aurait sauvé, comme vient de le démontrer la très sérieuse
Et ils ne l’ont pas fait anbafey, en catimini, comme la grande majorité de nos politiques martiniquais mais bien publiquement. Photos à l’appui !
À la suite de son conseil d’administration, le Forum territorial de la jeunesse martiniquaise (FTJM), appelle à la reprise de dialogue urgente entre l’intersyndicale, l’Etat et la CTM, ainsi que la mise en œuvre dans les plus brefs délais de l’ensemble des projets qu’elle porte depuis de nombreuses années. Il nous apparait urgent que tous les Martiniquais, quel que soit leur âge, leur couleur de peau, leur sexe, leur origine sociale, leur religion… prennent du temps pour se parler et de trouver des solutions aux maux de la société. Comme le disait le Docteur Aliker « les spécialistes de la Martinique sont les Martiniquais eux-mêmes ».
Ce livre présente les processus de racialisation qui ont ponctué la transformation de l’Europe et de ses colonies de la fin du Moyen Âge à l’âge des révolutions. Cette histoire éclaire l’évolution des sociétés, des institutions, des cultures et des théories. Elle décrit la volonté de catégoriser les individus et les groupes, de les enclore dans des identités présentées comme intangibles, de discriminer les collectifs dominés, voire d’organiser l’oppression à grand échelle contre des populations définies par leur race.
Comment se propagent le refus de la vaccination contre le Covid-19 et les théories aussi fantaisistes que complotistes qui l’accompagnent ? Une incursion éclairante au coeur de la galaxie antivax, auprès de ses adeptes et de ses réseaux d’influence.
Les événements de décembre 59 ne sont pas une simple explosion sociale qui aurait été provoquée par des difficultés conjoncturelles. Ils s’insèrent dans la continuité historique des luttes du Peuple Martiniquais.
Assez étrangement, l’engagement du collectif contre l’obligation vaccinale en Guadeloupe emprunte sous un certain aspect à la Révolution française. Pas dans son contenu moral et politique, mais dans sa rhétorique. Une rhétorique symbolisant la période sans doute la plus sombre et la plus controversée de l’histoire de la Révolution. Celle de la terreur. Une politique mise en place par les Montagnards afin d’éliminer au moyen de méthodes radicales les opposants à la Révolution.
— Par Richard Malka —
— Par Daniel M. Berté —
Vous prévoyez de vous rendre à l’étranger ou de revenir en France prochainement ? Les modalités prévues pour voyager varient en fonction de la situation sanitaire des pays tiers et de la vaccination des voyageurs. La liste des pays classés en zones verte et rouge évolue régulièrement en fonction de la situation sanitaire. Certains pays peuvent mettre en place des mesures temporaires. Quelles sont les sources d’information officielles ? Le point avec Service-Public.fr.
Des élus des Antilles ont qualifié mercredi 22 décembre «
Que la beauté de l’île nous mène vers le Dieu, là où le vert devient dense, alors le chant des feuilles se présente à lui dans la fidélité des arbres, semble nous dire le peintre.

La Martinique vit une période de malaise généralisé qui a été exacerbé par la crise sanitaire et le rejet du protocole de santé publique mis en place par le gouvernement français en réponse à la pandémie. Alors que la population est encore endolorie par le deuil des derniers mois pendant lesquels la pandémie aura été la plus meurtrière à l’échelle de notre territoire, l’inflation et le chômage viennent creuser davantage la fracture sociale. Cette fracture sociale existe depuis bien longtemps mais elle semblait jusque-là quelque peu compensée par l’action des associations et des politiques publiques d’aide et par les systèmes divers de débrouillardise ou de solidarité.
À l’occasion de la Journée mondiale de l’orgasme, on apprend que 91% des femmes interrogées ont déjà simulé un tel accès de plaisir. 11% reconnaissent même le faire à chaque rapport sexuel.
Pour ceux qui refusent toujours de se vacciner, l’État propose un « dispositif de rupture conventionnelle » et un « accompagnement vers une reconversion professionnelle avec un placement en congé de formation ».
— Par Chantal Nabec —
— Par Culture Égalité —
[…]En Martinique l’abolition a été anticipée face à une révolte d’esclaves survenue au Carbet : le décret du 27 avril était certes connu dans l’île, mais toute attente du délai de deux mois prescrit par le gouvernement risquait de précipiter l’insurrection générale tant redoutée. L’abolition effective dès le 22 mai 1848 a pu ainsi être interprétée comme une abolition imposée par la révolte et non comme une « liberté octroyée » depuis Paris.