— Collectif —
Alors que le dispositif MonPsy entrera en vigueur le 5 avril, plus de 2 000 psychologues dénoncent, dans une tribune au « Monde », la gabegie du gouvernement et expliquent pourquoi ils entendent boycotter ce protocole, qu’ils étaient pourtant nombreux à appeler de leurs vœux.
Tribune. Depuis plusieurs mois, Emmanuel Macron et Olivier Véran se félicitent d’une réforme concernant le remboursement de consultations auprès d’un psychologue qu’ils présentent avec emphase comme une avancée historique pour les personnes en situation de détresse psychique.
Que l’on ne s’y trompe pas. Beaucoup de psychologues sont favorables à un dispositif de remboursement des séances au nom d’une égalité d’accès aux soins psychiques. Et puis, ne boudons pas notre plaisir : notre métier est enfin reconnu d’utilité publique, loin des clichés sulfureux qu’il charrie encore parfois. Pour autant, le dispositif MonPsy, qui entrera en vigueur à partir du 5 avril, est inacceptable et dangereux pour nous comme pour nos futurs patients.
L’ensemble de la profession n’a cessé de le dire, mais nos demandes et propositions sont restées lettre morte. Si bien que nous, psychologues libéraux et exerçant en institution, sommes aujourd’hui déterminés à boycotter ce protocole dont nous étions pourtant nombreux à louer les motifs initiaux.

1h 36min / Drame
L

Alors que l’adaptation aux changements climatiques reste le parent pauvre de la lutte contre le réchauffement planétaire, un nouveau rapport du GIEC souligne l’urgence d’agir pendant cette décennie “pour faire face à des risques croissants”. Plus le réchauffement gagnera du terrain, plus l’adaptation deviendra difficile, estime-t-il.
Olivier Py a dévoilé, le 24 mars, le programme du prochain Festival d’Avignon, qui se tiendra du 7 au 26 juillet 2022. Cette 76e édition s’ouvrira à la cour d’honneur avec une pièce du metteur en scène russe Kirill Serebrennikov, actuellement sous le coup d’une interdiction de quitter Moscou.
Depuis 1993, la journée mondiale de l’Eau a lieu le 23 mars de chaque année. ’est une célébration des Nations Unies qui met l’accent sur l’importance de l’Eau douce.
T
Représentations théâtrales des jeunes du Lycée de Bellevue et de l’Internat d’Excellence au Théâtre Aimé Césaire:
Méthodologie du décryptage des programmes des candidats à 



La Caisse nationale d’assurance maladie met en garde ses assurés à la suite de données personnelles administratives dérobées auprès de 500 000 personnes. Retrouvez sur Service-Public.fr les conseils de sécurité à appliquer pour se protéger.
— Communiqué de presse de l’ARS & du CHUM —
Renaissance Martinique est évidemment horrifiée des conséquences que peut avoir 
Le PSUGO (Programme de scolarisation universelle gratuite et obligatoire) a été lancé en 2011 par le cartel politico-mafieux du PHTK alors dirigé par Michel Martelly. Il est avéré qu’il a été, à l’échelle nationale, une vaste opération de gabegie administrative, de corruption et de détournement de fonds publics au bénéfice des ayants droits et des supplétifs du PHTK néo-duvaliériste. En novembre 2021, le ministre de facto de l’Éducation nationale, Nesmy Manigat, pourtant bien imbu des constantes critiques publiques formulées par les associations d’enseignants et en dehors de tout audit attesté, a reconduit le PSUGO en lien avec la réactivation de ses « 12 mesures » administratives destinées à « moderniser » la gouvernance du système éducatif national. 
— Par le Dr Ruddy Valentino, CHU Martinique —
Âpre et bouleversant, le film de Manuel Schapira, inspiré du livre éponyme de Nathacha Appanah, nous plonge dans le quotidien ultra-violent des mineurs isolés des bidonvilles de Mayotte. Une claque
« C’est un grand honneur de travailler au Bénin à la direction déléguée de l’Institut Français ». Coline-Lee Toumson-Venite, est la toute nouvelle Directrice déléguée de l’Institut français du Bénin. Française d’origine caribéenne, cette femme au parcours culturel riche, s’exprime sur sa nouvelle mission au Bénin. Elle parle de ses défis et son intérêt pour la création artistique et de son souhait de pouvoir contribuer, au sein de l’Institut Français du Bénin, au dialogue des cultures, des expressions artistiques, des générations, dans tous les champs de la création.