Selon une enquête de l’Ifop auprès des 11-24 ans, un jeune Français sur six pense que la Terre est plate et un sur quatre doute de la théorie de l’évolution.
À l’heure où TikTok s’impose comme le réseau social préféré des jeunes français, que sait-on de l’impact de cette plateforme sur ses utilisateurs, qui sont de plus en plus nombreux à l’utiliser pour se divertir, mais aussi pour s’informer ? François Kraus livre son analyse d’une enquête qui fait le point sur le sujet ; elle est suivie des points de vue de Rudy Reichstadt et de Helen Lee Bouygues.
Rationalistes, vulgarisateurs scientifiques et enseignants de sciences et vie de la Terre, attention, cet article risque de vous déprimer. La Fondation Jean-Jaurès et la Fondation Reboot ont commandé à l’Ifop une enquête* auprès des jeunes « visant à mesurer leur porosité aux contre-vérités scientifiques au regard de leur usage des réseaux sociaux ».
Les résultats, consternants, montrent « la sécession d’une partie de la jeunesse avec le consensus scientifique », écrivent les auteurs. Dans cette tranche d’âge des 11-24 ans, plus d’un sondé sur quatre (27 % exactement) souscrit à l’idée que « les êtres humains ne sont pas le fruit d’une longue évolution d’autres espèces » mais qu’ils ont été « créés par une force spirituelle (ex : Dieu) », avec une pointe à 71 % chez ceux qui se disent musulmans.

Dans le remarquable article de
Les multiples plaintes pour
Atouts indéniables pour le contrôle des routes commerciales et les jeux de pouvoirs qui leur sont corollaires, les outre-mer restent perçus comme des étrangetés périphériques, plus ou moins éloignées et exotiques.
Par Dmytro Sukholytkyy-Sobchuk
De Pier Paolo Pasolini
Par Ali Asgari, Alireza Khatami
Par Hlynur Pálmason
« Certes, la responsabilité relève de ceux qui exercent un pouvoir. Mais elle est aussi la nôtre, quel que soit notre degré d’insertion sociale et plus encore, si, hommes de culture, nous avons pour vocation la formation d’une conscience et d’une volonté publiques pour que les pouvoirs soient mis en condition de servir l’intérêt général, de défendre le bien commun et d’affirmer le rayonnement international de l’Algérie »
L’Église d’Angleterre a présenté mardi ses excuses pour les liens passés avec l’esclavage d’un organisme financier qui lui est lié, aujourd’hui engagé dans un vaste processus de dédommagement des communautés victimes. «Je suis profondément désolé», a réagi l’archevêque de Canterbury Justin Welby, le chef spirituel de l’Église anglicane. «Le temps est venu de prendre des mesures en réponse à ce passé honteux».
Santé, énergie, enthousiasme : dans notre belle île de Martinique, voilà bien-sûr les souhaits personnels à adresser à chacune et à chacun pour cette année nouvelle.
Encore une fois, l’association Culture Égalité est présente devant le tribunal où se tient à huis clos un procès pour
Un jour, Albert EINSTEIN a dit que « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire ». Alors, Mesdames et Messieurs nos élu.e.s. de la Martinique : quand allez-vous cesser d’illustrer cette citation comme vous le faites ? Car, au-delà du discours, notre pays a besoin de bâtisseurs qui passent à l’acte et non d’ouvrier.e.s de la ‘’parolite’’.
Ainsi défilent les années depuis les siècles des siècles.

Ainsi donc, une décision essentielle appelée à s’inscrire dans l’histoire martiniquaise sera écrite par la volonté et le pouvoir d’un homme. Après qu’il aura eu le premier mot, le président de la collectivité aura le dernier mot : d’abord, « je suis pour le drapeau rouge-vert-noir », ensuite, « le président du conseil exécutif procédera librement au choix final ». Dès le départ, le président avait dit sa préférence, il a écrit la règle du jeu qui devra l’y conduire et prononcera la sanction finale. Dans plusieurs tribunes j’ai tenté de démontrer combien, en Martinique, le politique tient la main de l’historien. Le choix et le
TICHÈLBÈ
— Communiqué du Groupe Révolution Socialiste (GRS) —
Figure incontournable de la littérature américaine contemporaine et fin observateur de l’Amérique des déclassés, le romancier Russell Banks, né le 28 mars 1940 à Newton dans le Massachusetts est mort le 7 janvier 2023 à Saratoga Springs (État de New York). Il avait 82 ans. Son œuvre est traduite en vingt langues.
La loi de finances pour 2023 publiée au
Sagesse
Le Syndicat CGTM des Ouvriers Agricoles de Martinique, dénonce la mascarade judiciaire du « Non-Lieu » et se prépare à l’action collective !