Orelsan, Charlotte Gainsbourg, Juliette Armanet… Les 33es Victoires de la musique ont récompensé douze artistes ou groupes, vendredi 9 février, à La Seine musicale à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Découvrez les principaux lauréats.
Artiste féminine de l’année : Charlotte Gainsbourg
Charlotte Gainsbourg a été sacrée artiste féminine de l’année, succédant à Jain. L’actrice-chanteuse, qui a sorti l’an passé son 5e album, Rest, remporte ainsi sa première Victoire de la musique, à l’âge de 46 ans. Elle a devancé ses concurrentes Catherine Ringer et Louane.
Artiste masculin de l’année : Orelsan
Le rappeur Orelsan a été vendredi soir le grand gagnant des 33es Victoires de la musique avec un total de trois récompenses, dont celle d’artiste masculin de l’année. « Je voudrais remercier le public, sans qui je serais juste un type qui fait de la musique dans sa chambre », a commenté le rappeur de 35 ans, Aurélien Cotentin de son vrai nom, également sacré dans les catégories meilleure création audiovisuelle et album de musiques urbaines.
Révélation scène : Gaël Faye
Gaël Faye, Franco-Rwandais, a remporté le prix de la révélation scène de l’année devant Fishbach et Eddy De Pretto.

Hac ex causa conlaticia stipe Valerius humatur ille Publicola et subsidiis amicorum mariti inops cum liberis uxor alitur Reguli et dotatur ex aerario filia Scipionis, cum nobilitas florem adultae virginis diuturnum absentia pauperis erubesceret patris.
Dans cette famille martiniquaise, Cendrillon était le souffre-douleur. En effet, le quotidien de cette adolescente recueillie était fait d’humiliation et de pauvreté, contrairement aux deux autres filles du foyer. Comme dans le conte de Perrault, la famille adoptive de Cendrillon lui avait ménagé un statut de servante, de bonne à tout faire.
Matnik an diznèfsan, té ni tranndé komin
L’artiste Joëlle Ferly annonce le lancement d’un parcours sonore inédits, fait de 10 étapes, invitant les personnes qui aiment les histoires à venir écouter des récits auprès de bornes prévues à cet effet.
Le musicologue Claude Dauphin vit et travaille à Montréal. Auteur du livre de référence «
Il était inévitable qu’un jour les nerfs du président craquent ! Certes, ce n’est pas une tragédie pour la Martinique, plus que jamais saine et vivante dans sa postérité. C’est la tragédie commune de tout esprit paranoïaque, ici ou ailleurs, cédant brusquement à une invasion de vertige, de surestimation pathologique du moi. Ce n’est pas la tragédie des citoyens martiniquais, qui ont l’amour de leur île, bien planté dans le profond de leurs coeurs. C’est la tragédie de tous ceux, élus ou pas, que le péché d’amour de soi obsède jour et nuit. Et pour cela, il n’y a nul remède, et surtout pas en politique, où la doctorale folie amène à pleurer, comme une mort annoncée, ce qu’on craint de laisser, quand la gestion est banqueroute ! Non, injurieux bras d’honneur, tu ne te vanteras pas de voir la Martinique fermer la bouche sous l’autorité ! Elle continuera de crier vers de plus reposants avenirs, en dépit d’une jeunesse sans travail, et de chômeurs, par milliers, presque à l’état mendiant. Elle revendiquera, même lassée de voir l’idéologie trahie, par une alliance bizarrement accoutrée, elle ne se lamentera pas sur les mains, qui ont signé celle-ci, car elle voit dejà venir ce moment du temps, où cette gouvernance va expirer dans les pleurs funèbres des quelques affidés, et autres conseillers, en souvenir des échecs passés, tel le TCSP !
4 acteurs alternatifs de Martinique :
« La langue française est truffée de sexisme. Elle porte en elle l’héritage d’une histoire marquée par la domination des hommes. Elle a été sculptée, structurée, modelée, réglementée par les hommes au travers des époques où les femmes étaient tenues à l’écart de la littérature, des institutions linguistiques et de l’espace public ».
Le ministère de la culture va créer un observatoire afin de centraliser les données sur les arts de la scène.
Le comportement déplorable d’Alfred Marie-Jeanne à Ste Luce ne surprend que ceux qui le veulent bien. Sauf qu’arrivée en fin de piste, il a des difficultés à tenir la route. En effet, le parcours politique du « président des Martiniquais » a été jalonné d’outrances qui ont porté jusqu’aux qualités intrinsèques des personnes auxquels il en voulait. Les Pilotins l’ont expérimenté à leurs dépens, ou certains d’entre eux, leur ancien maire n’ayant pas craint de mettre le doigt y compris sur les handicaps physiques de ses opposants. Une famille connue de la commune en aurait fait les frais, dans un climat d’assouvissement des bas-instinct du peuple qui semble en redemander.
Si ni an neg toutt moun ka di ki té kont koulè lapo’y sé té bien Michaël Jackson. Moun di pou éséyé konprann li, sé an maladi ki té mété’y koulè a i té vini an : an koulè gri kondi yo di.
En guise d’introduction à l’idée que c’est dans la rencontre que le savoir naît, et donc qu’il s’agit d’ouvrir le monde aux enfants pour les former, il importe de lire l’ excellent ouvrage de Philippe Meirieu, « Frankenstein pédagogue », paru en 1996, aux Editions ESF à Paris.
On n’a pas cessé de gloser sur l’institution du BUMIDOM, créée en 1963 et supprimée en 1981, dans le cadre duquel une trentaine de milliers de jeunes ont quitté la Martinique pour la France. Le départ de ces jeunes était l’une des réponses apportées par l’État pour faire face au chômage grandissant des départements d’outre-mer. Selon ses contempteurs les plus hardis, l’institution ferait partie de l’arsenal de l’État français dont l’objectif serait de supprimer la part d’origine africaine de la population martiniquaise. La même accusation avait été portée contre le service militaire adapté (SMA) qui a été réhabilité depuis, y compris par les indépendantistes. Le BUMIDOM n’a pas connu le même retournement, de sorte que la stigmatisation voire l’opprobre continuent de frapper l’institution ainsi que ceux qui en ont bénéficié et leurs familles. Lesquels sont assignés à un silence gêné qui les maintient en dehors des débats.
ravesti… pou gran ék piti… pa rété-la ! sòti !


En ce mois de janvier, comme en écho à une actualité brûlante, il aura beaucoup été question des femmes sur nos écrans, et à travers elles, du monde comme il va, ou comme il trébuche.
La première alerte remonte à juin 2011. Une plombémie sévère est dépistée chez une fillette de 3 ans vivant à Mana, dans l’ouest de la Guyane. Son sang contient 1 724 microgrammes de plomb par litre (µg/L), alors que le seuil du saturnisme est atteint à partir de 50 µg/L. Une enquête sanitaire menée par l’Agence régionale de santé (ARS) révèle alors que la moitié des personnes vivant dans l’entourage de la fillette – dont la plupart des enfants – se situe au-dessus des normes. » A partir de 50 µg/L, il peut y avoir chez le fœtus et l’enfant des troubles neurologiques avec des troubles cognitifs, des petites anomalies rénales, un peu d’hypertension « , précise Paul Brousse, médecin au Centre délocalisé de prévention et de soins de la collectivité territoriale de Guyane (CTG) à Maripasoula.
Un fait divers défraie la chronique en ce moment, en Martinique. Une mère a alerté la police à propos de la disparition de sa fille à la sortie d’une boîte de nuit. La jeune femme ayant réapparu après 4 jours passés avec un homme, l’opinion publique se déchaîne et s’indigne ! En particulier, un message qui circule sur les réseaux dits sociaux, conseille – à sa mère, mais certainement aussi à toute personne « responsable » qui la croiserait – de lui administrer « an volée baton griyav, baton clous », et propose de faire de cette affaire le sujet du prochain vidé, de fabriquer un bwa-bwa à l’effigie de la jeune femme, afin que chacun.e le roue de coups de « liann’ tomarin » !