« Violences conjugales: Quelles formes? Comment reconnaître les pièges pour s’en sortir »
C’est pas de l’amour
De Jérôme Cornuau
Avec Déborah François, Marie Guillard, Patrick Catalifo
Genre Drame
Nationalité français
Synopsis:
Laëtitia, mère au foyer, vit à la campagne, où elle s’ennuie souvent. Son mari part régulièrement en déplacement, la laissant seule avec son enfant. La jeune femme est bouleversée quand elle découvre que sa voisine Hélène est victime de violence conjugale. Harcelée mentalement et physiquement par son mari, un médecin en apparence charmant, celle-ci refuse d’accepter son statut de victime et va jusqu’à se considérer coupable. Malgré ce déni douloureux, Laëtitia ne veut pas rester sans réagir. Témoin chaque jour d’actes insupportables, elle est bien décidée à agir pour tenter de sauver Hélène de l’enfer de la violence conjugale…
Récompenses : Prix de la meilleure réalisation à Jérôme Cornuau et prix d’interprétation féminine à Marie Guillard au festival de fiction de la Rochelle en 2013
La presse en parle :
Téléstar par Arabelle Combet
Lors de sa première diffusion le 5 février 2014 sur France 2, le téléfilm avait bouleversé 3,6 millions de téléspectateurs.

Sous l’égide de l’association Protéa, le Festival international du film documentaire s’est fort heureusement déroulé du vendredi 9 au dimanche 11 juin, au cinéma Madiana, avant d’émigrer cette semaine dans six communes volontaires de l’île. Il m’est venu le désir de connaître le pourquoi de ce nom, aussi ai-je ouvert Internet pour y trouver l’explication suivante : en 1771, le nom Protea emprunté au dieu grec Protée qui pouvait changer de forme à volonté, fut donné par Linné à un genre de plantes originaires du Cap, en raison d’une étonnante variété de formes et de couleurs montrée par les espèces de cette fleur. Intitulée Les révoltés du monde, la manifestation a fait preuve en effet d’un bel éclectisme, en présentant des films venus d’horizons divers, tous riches de sens, tous propres à nous faire lire autrement le monde et son histoire, tous descriptifs de notre humanité dans ses métamorphoses, dans ses forces autant que dans ses faiblesses.
Trois députés sortants qui siégeaient au sein du Groupe Gauche démocrate et républicaine, présidé par le communiste André Chassaigne, en tête dans les départements d’Outre-Mer.
Que mange-t-on quand on ouvre une boîte de concentré, verse du ketchup dans son assiette ou entame une pizza ? Des tomates d’industrie. Transformées en usine, conditionnées en barils de concentré, elles circulent d’un continent à l’autre. Toute l’humanité en consomme, pourtant personne n’en a vu.
Yo di kiw té an neg mawon
Robert Berrouët-Oriol et Hugues Saint-Fort
Quatre garçons dans le vent, quatre comédiens plein de verves interprètent un texte-montage de Carlo Boso, un panorama diachronique des pratiques théâtrales depuis les Grecs jusques à aujourd’hui avec prologue et final préhistorique. Loufoque, dans un style très comedia del arte – au-delà du tableau à icelle consacrée – avec masques et balais (pas ballet, balais !) et aussi bien épées (ou poignards) et perruques aussi souvent que nécessaire. Ceci dit, Public or not public n’est pas un cours sur le théâtre, non solum parce qu’il y manque quelques étapes essentielles (le théâtre classique français du XVIIe siècle, Beckett et bien d’autres du même acabit) sed etiam parce que toutes les pièces mobilisées pour la circonstance sont traitées sur le même mode fantaisiste. Telle est au demeurant la seule critique que nous élèverons contre ce spectacle : le théâtre est si divers – lyrique, tragique, dramatique, burlesque, … – qu’il est affreusement réducteur de le regarder uniquement à travers une grille comique ! À s’en tenir aux extraits des pièces retenues dans la trame de Public or not public (Hamlet, Othello, Cyrano), les occasions de montrer tous les sentiments mis en exergue par le théâtre ne manquaient pourtant pas.
Lettre ouverte à Monsieur l’Ambassadeur,
Le chef d’orchestre et trompettiste virtuose cubain Ernesto « Tito » Puentes, âgé de 88 ans, est décédé ce jeudi matin à Montpellier, où il s’était installé, a annoncé son manager, Jean-Louis Perrier. La Fête de l’Humanité perd un ami.
Communique LDH suite au futur projet de loi sécuritaire du gouvernement pour faire entrer l’état d’urgence dans le droit commun
Un film de Claudia Sainte-Luce
De Thierry Frémaux
Avec Tahar Rahim, Constance Rousseau, Olivier Gourmet
La catastrophe aérienne qui a fait le plus grand nombre de victimes françaises a eu lieu le 16 août 2005, au Venezuela. C’était un vol charter. Cela rime-t-il avec avion poubelle ? Peut-on se reconstruire après un tel traumatisme ? Les indemnisations sont-elles à la hauteur du préjudice subi ? L’enquête judiciaire a-t-elle répondu à l’attente des familles ? Autant de questions auxquelles cet ouvrage tente d’apporter une réponse. Il s’adresse, certes, à toute victime, mais aussi à tous ceux qui, en raison de leurs liens avec l’aérien, veulent comprendre comment et pourquoi la faute des pilotes est systématiquement mise en avant. Enfin, les enfants et petitsenfants qui grandiront sans parents et grands-parents trouveront la mémoire des faits dans ce livre.
Gravures, installations et céramiques contre statistiques globalisantes,réseaux (a)sociaux et paroles asséchées!
Après le retrait américain de l’Accord de Paris, un collectif de chercheurs, dans une tribune au « Monde », explique que la lutte de l’humanité contre le dérèglement climatique dépend désormais aujourd’hui du volontarisme européen.
Ensemble instrumental Rolant Jolet
Achille Mbembe, Critique de la raison nègre, Paris, La Découverte, « Poche », 2016, 267 p., 11 €.