« C’est pas de l’amour » : projection suivie d’un débat organisé par l’UFM

« Violences conjugales: Quelles formes? Comment reconnaître les pièges pour s’en sortir »

C’est pas de l’amour
De Jérôme Cornuau
Avec Déborah François, Marie Guillard, Patrick Catalifo
Genre Drame
Nationalité français

Synopsis:
Laëtitia, mère au foyer, vit à la campagne, où elle s’ennuie souvent. Son mari part régulièrement en déplacement, la laissant seule avec son enfant. La jeune femme est bouleversée quand elle découvre que sa voisine Hélène est victime de violence conjugale. Harcelée mentalement et physiquement par son mari, un médecin en apparence charmant, celle-ci refuse d’accepter son statut de victime et va jusqu’à se considérer coupable. Malgré ce déni douloureux, Laëtitia ne veut pas rester sans réagir. Témoin chaque jour d’actes insupportables, elle est bien décidée à agir pour tenter de sauver Hélène de l’enfer de la violence conjugale…

Récompenses : Prix de la meilleure réalisation à Jérôme Cornuau et prix d’interprétation féminine à Marie Guillard au festival de fiction de la Rochelle en 2013

La presse en parle :

Téléstar par Arabelle Combet
Lors de sa première diffusion le 5 février 2014 sur France 2, le téléfilm avait bouleversé 3,6 millions de téléspectateurs.

Télé-Loisirs par la rédaction
Un duo d’actrices remarquables sur un sujet délicat (la violence conjugale), traité avec justesse.

Le figaro par la rédaction
Avec un scénario très réaliste, cette fiction aborde le sujet diffcile des violences conjugales.

TéléObs par Flore de Bodman
Evitant un manichéisme facile, cette fiction rend pleinement compte de la complexité du processus, et ce alors que la victime met du temps à se percevoir comme telle.

Madmoizelle par Clemence Bodoc
« C’est pas de l’amour » est un téléfilm réaliste, poignant, presque militant contre l’omerta qui règne encore sur le sujet de la violence conjugale

Télérama par Isabelle Poitte
Investi d’une louable mission d’information, C’est pas de l’amour est l’exemple type de la fiction vampirisée par son lourd « sujet de société » : le parcours de la victi­me, du déni au sursaut salvateur ; la complicité involontaire des proches « qui ne veulent pas voir » ; le doute de la police… Tout ou presque s’encombre d’une dimension édifiante.