 — Par Pierre-Alex Marie-Anne —
— Par Pierre-Alex Marie-Anne —
Le 20 Mars 2025 est à marquer d’une pierre blanche, pour la première fois, on a pu entendre sur le média TV officiel une analyse objective de la situation de la Martinique. Le constat qui en ressort est que notre petite île se meurt sous l’effet combiné de son effondrement démographique et de l’impuissance à agir de l’actuelle gouvernance de la CTM, sur fond de développement exponentiel du narcotrafic. Pour l’éminent professeur, le modèle de gouvernance hérité de l’après-guerre est épuisé ; la logique qui le sous-tendait, celui de l’État providence a atteint ses limites, l’État n’ayant plus les moyens d’assurer le financement des transferts publics et sociaux qui le caractérisaient. Il considère d’ailleurs que si ce système à,permis des progrès substantiels en matière de conditions de vie, il n’a pas pour autant supprimé les déséquilibres et inégalités structurelles pré-existants dans la société coloniale, d’où les tensions actuelles exacerbées qui prennent une coloration identitaire et socio-raciale. Cette donnée fondamentale devrait en conséquence être au centre des préoccupations et de l’action des responsables de cette collectivité majeure pour selon ses termes: «dégager pour ce territoire une vision, une ambition et des perspectives».



 Après la débâcle des élections européennes , transformées en referendum anti Macron ,qui se sont soldées par l’effondrement de la liste conduite par Mme Valerie Hayer pour le camp présidentiel avec seulement 14,60% des voix contre 31;37% pour le RN de Jordan Bardella, tout semblait perdu pour la macronie sur laquelle se mit à souffler un vent de panique. C’était faire peu de cas de l’habileté manœuvrière de l’hôte de l’Élysée, qui en deux temps trois mouvements s’employa à rétablir la situation à son avantage.
Après la débâcle des élections européennes , transformées en referendum anti Macron ,qui se sont soldées par l’effondrement de la liste conduite par Mme Valerie Hayer pour le camp présidentiel avec seulement 14,60% des voix contre 31;37% pour le RN de Jordan Bardella, tout semblait perdu pour la macronie sur laquelle se mit à souffler un vent de panique. C’était faire peu de cas de l’habileté manœuvrière de l’hôte de l’Élysée, qui en deux temps trois mouvements s’employa à rétablir la situation à son avantage.  — Par Pierre Alex Marie-Anne —
— Par Pierre Alex Marie-Anne — A l’origine du projet de TCSP il y a un double constat : 3/4 des déplacements se font par la route au moyen de véhicules particuliers, dont le parc ne cesse de grandir, et ceux-ci concernent pour l’essentiel le trajet domicile-travail, plus précisément entre les communes de résidence et l‘agglomération centrale de Fort-de France. Le réseau routier supportant ce trafic est à ce jour saturé (plus de 140 000 véhicules par jour, dans les deux sens, sur l’autoroute A1!) d’où de fréquents embouteillages entraînant une déperdition considérable de temps et d’argent,évaluée en 2014 à 40M€ par an pour les acteurs économiques en particulier et plus généralement l’ensemble de la population. Côté réalisation, une première réponse a été apportée à cette problématique avec la création des lignes A et B du TCSP reliant Fort-de-France et le Lamentin, ce qui a permis d’améliorer le trafic sur l’autoroute. La question qui se pose désormais est celle de la continuation ou non de l’opération, en clair du caractère judicieux ou non des extensions envisagées vers le Nord-Est ( Robert ) et ouest (Schoelcher) et le Sud (Rivière-Salée ou Sainte-Luce).
A l’origine du projet de TCSP il y a un double constat : 3/4 des déplacements se font par la route au moyen de véhicules particuliers, dont le parc ne cesse de grandir, et ceux-ci concernent pour l’essentiel le trajet domicile-travail, plus précisément entre les communes de résidence et l‘agglomération centrale de Fort-de France. Le réseau routier supportant ce trafic est à ce jour saturé (plus de 140 000 véhicules par jour, dans les deux sens, sur l’autoroute A1!) d’où de fréquents embouteillages entraînant une déperdition considérable de temps et d’argent,évaluée en 2014 à 40M€ par an pour les acteurs économiques en particulier et plus généralement l’ensemble de la population. Côté réalisation, une première réponse a été apportée à cette problématique avec la création des lignes A et B du TCSP reliant Fort-de-France et le Lamentin, ce qui a permis d’améliorer le trafic sur l’autoroute. La question qui se pose désormais est celle de la continuation ou non de l’opération, en clair du caractère judicieux ou non des extensions envisagées vers le Nord-Est ( Robert ) et ouest (Schoelcher) et le Sud (Rivière-Salée ou Sainte-Luce). A l’évidence, les dés sont pipés!
A l’évidence, les dés sont pipés!  Comme chacun sait être, autonome signifie dépendre de ses propres ressources; c’est pourquoi il ne paraît pas aberrant d’invoquer une telle éventualité s’agissant de territoires aussi vastes que ne le sont la Guyane et la Nouvelle-Calédonie qui disposent l’une et l’autre de ressources importantes : la “montagne d’o
Comme chacun sait être, autonome signifie dépendre de ses propres ressources; c’est pourquoi il ne paraît pas aberrant d’invoquer une telle éventualité s’agissant de territoires aussi vastes que ne le sont la Guyane et la Nouvelle-Calédonie qui disposent l’une et l’autre de ressources importantes : la “montagne d’o La dernière campagne électorale de la CTM avait eu le mérite de faire entendre des voix nouvelles et d’aligner les principaux candidats sur un diagnostic clair de la situation locale : malgré ses nombreux atouts, la Martinique va mal : elle vieillit et elle offre peu de perspectives à ses habitants, ses services publics sont en panne et le pays désespère sa population. Cette même campagne électorale avait permis d’identifier quelques grands enjeux d’avenir : le dérèglement climatique, la perte d’attractivité du territoire, les difficultés économiques conduisant à l’appauvrissement des Martiniquais et au réveil des tensions sociétales. Elle avait permis aussi de suggérer quelques pistes permettant de dessiner une Martinique plus fluide, plus dynamique, mieux épanouie. Elle avait permis enfin d’imaginer une coopération féconde entre élus, État et socioprofessionnels, affranchie de tout dogmatisme, afin de coconstruire le projet de développement dont le pays a tant besoin.
La dernière campagne électorale de la CTM avait eu le mérite de faire entendre des voix nouvelles et d’aligner les principaux candidats sur un diagnostic clair de la situation locale : malgré ses nombreux atouts, la Martinique va mal : elle vieillit et elle offre peu de perspectives à ses habitants, ses services publics sont en panne et le pays désespère sa population. Cette même campagne électorale avait permis d’identifier quelques grands enjeux d’avenir : le dérèglement climatique, la perte d’attractivité du territoire, les difficultés économiques conduisant à l’appauvrissement des Martiniquais et au réveil des tensions sociétales. Elle avait permis aussi de suggérer quelques pistes permettant de dessiner une Martinique plus fluide, plus dynamique, mieux épanouie. Elle avait permis enfin d’imaginer une coopération féconde entre élus, État et socioprofessionnels, affranchie de tout dogmatisme, afin de coconstruire le projet de développement dont le pays a tant besoin.  Il faut rendre cette justice à la précédente mandature de la Collectivité Territoriale de Martinique d’avoir compris, sous la houlette du Président Alfred MARIE-JEANNE, l’importance de la création artistique, en particulier dans le domaine des arts plastiques, pour l’édification et l’approfondissement identitaire et culturelle d’un peuple. le projet de musée d’art contemporain de Martinique, en abrégé MACMA, répond à cette exigence : il permet à une communauté, si petite soit-elle, de témoigner par les représentations picturales de ses créateurs de talent de la singularité de son existence au monde. Le regard qu’ils portent sur les gens et les choses, sur la nature et sur l’histoire, contribue à nous définir et à faire de nous des partenaires actifs dans le vaste dialogue des cultures à travers les océans.
Il faut rendre cette justice à la précédente mandature de la Collectivité Territoriale de Martinique d’avoir compris, sous la houlette du Président Alfred MARIE-JEANNE, l’importance de la création artistique, en particulier dans le domaine des arts plastiques, pour l’édification et l’approfondissement identitaire et culturelle d’un peuple. le projet de musée d’art contemporain de Martinique, en abrégé MACMA, répond à cette exigence : il permet à une communauté, si petite soit-elle, de témoigner par les représentations picturales de ses créateurs de talent de la singularité de son existence au monde. Le regard qu’ils portent sur les gens et les choses, sur la nature et sur l’histoire, contribue à nous définir et à faire de nous des partenaires actifs dans le vaste dialogue des cultures à travers les océans.  Les dirigeants aussi bien politiques que syndicaux se réclamant de la gauche martiniquaise n’ont de cesse de dénigrer et vilipender l’État français, qu’ils accusent de tous les maux et rendent responsable de leur incapacité à agir au profit de leurs compatriotes.En “mendiants arrogants “qu’ils sont, selon le mot de Césaire, ils réfutent leur appartenance à la nation française qui les fait vivre et s’élever et sans laquelle ils ne seraient que fétus de paille ballottés au gré de l’océan, à la merci de tous les prédateurs environnants. Ils instruisent en permanence un procès contre la France au motif de la traite négrière et de l’esclavage aboli sur l’île depuis 175 ans mais qui perdure à ce jour dans certaines contrées d’Afrique, qu’ils parent cependant de toutes les vertus.
Les dirigeants aussi bien politiques que syndicaux se réclamant de la gauche martiniquaise n’ont de cesse de dénigrer et vilipender l’État français, qu’ils accusent de tous les maux et rendent responsable de leur incapacité à agir au profit de leurs compatriotes.En “mendiants arrogants “qu’ils sont, selon le mot de Césaire, ils réfutent leur appartenance à la nation française qui les fait vivre et s’élever et sans laquelle ils ne seraient que fétus de paille ballottés au gré de l’océan, à la merci de tous les prédateurs environnants. Ils instruisent en permanence un procès contre la France au motif de la traite négrière et de l’esclavage aboli sur l’île depuis 175 ans mais qui perdure à ce jour dans certaines contrées d’Afrique, qu’ils parent cependant de toutes les vertus. 
 Le Préfet Édouard Lacroix quittant le Département en 1987, nous mettait en garde contre le risque que les atteintes de plus en plus importantes portées à l’environnement et à la préservation de notre patrimoine naturel, finissent par tuer la ” la poule aux œufs d’or” du développement touristique en Martinique. Ce risque est d’autant plus grand qu’il s’agit d’un territoire exigu, d’à peine 1130 kilomètres carré, sur lequel s’échinent à vivre, pour ne pas dire à survivre, plus de 350000 habitants (l’une des plus fortes densités au monde, exceptés quelques cas particuliers comme Singapour, Hong Kong ou Monaco ) et en tout état de cause, le triple de celle de la France hexagonale. Pour ne rien arranger,cette terre montagneuse et volcanique, recouverte à plus de 41% de forêts, concentre l’ensemble des aléas climatiques les plus destructeurs :cyclones, séismes, tsunamis, éruptions volcaniques, érosion littorale, submersion marine, sargasses etc..ce qui la rend particulièrement fragile et vulnérable. Cette réalité incontournable devrait donc en toute logique constituer la pierre angulaire des réflexions et orientations de nos décideurs politiques en matière d’Aménagement et de Développement.
Le Préfet Édouard Lacroix quittant le Département en 1987, nous mettait en garde contre le risque que les atteintes de plus en plus importantes portées à l’environnement et à la préservation de notre patrimoine naturel, finissent par tuer la ” la poule aux œufs d’or” du développement touristique en Martinique. Ce risque est d’autant plus grand qu’il s’agit d’un territoire exigu, d’à peine 1130 kilomètres carré, sur lequel s’échinent à vivre, pour ne pas dire à survivre, plus de 350000 habitants (l’une des plus fortes densités au monde, exceptés quelques cas particuliers comme Singapour, Hong Kong ou Monaco ) et en tout état de cause, le triple de celle de la France hexagonale. Pour ne rien arranger,cette terre montagneuse et volcanique, recouverte à plus de 41% de forêts, concentre l’ensemble des aléas climatiques les plus destructeurs :cyclones, séismes, tsunamis, éruptions volcaniques, érosion littorale, submersion marine, sargasses etc..ce qui la rend particulièrement fragile et vulnérable. Cette réalité incontournable devrait donc en toute logique constituer la pierre angulaire des réflexions et orientations de nos décideurs politiques en matière d’Aménagement et de Développement. L’éminente historienne qu’est Sabine Andrivon MILTON à qui nous devons le remarquable travail de recherche sur les noms des combattants martiniquais morts au combat, en vue de leur inscription réparatrice sur les monuments aux morts des communes concernées, s’interroge sur le sens qu’attribuent leurs auteurs à ces infâmes profanations. (Voir ci-dessous) Pour l’aider dans sa réflexion, je me permets de lui rappeler ces vers sublimes de Victor HUGO :« Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie ont droit qu’à leur cerceuil la foule vienne et prie. Entre les plus beaux noms leur nom est le plus beau…». Quel meilleur témoignage de la reconnaissance que les vivants doivent à ceux qui sont morts ,souvent dans la fleur de l’âge, pour leur permettre à eux d’exister et de profiter de la vie ! Combien est important le respect qui est dû à tout ce qui évoque leur mémoire ! Encore faut-il pour cela que tous communient dans l’amour du même pays, de la même patrie, et c’est là que le bât blesse ! Les iconoclastes qui dans leur rage destructrice s’en sont pris à ces monuments commémoratifs ne se considèrent plus comme français ; ils ne se prévalent éventuellement de cette nationalité que pour bénéficier des droits et avantages qu’elle procure : ce ne sont en fin de compte que de misérables jouisseurs, dépourvus de la moindre conscience , qui ne savent que détruire et cracher sur les sacrifices consentis par ceux qui les ont précédés.C’est
L’éminente historienne qu’est Sabine Andrivon MILTON à qui nous devons le remarquable travail de recherche sur les noms des combattants martiniquais morts au combat, en vue de leur inscription réparatrice sur les monuments aux morts des communes concernées, s’interroge sur le sens qu’attribuent leurs auteurs à ces infâmes profanations. (Voir ci-dessous) Pour l’aider dans sa réflexion, je me permets de lui rappeler ces vers sublimes de Victor HUGO :« Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie ont droit qu’à leur cerceuil la foule vienne et prie. Entre les plus beaux noms leur nom est le plus beau…». Quel meilleur témoignage de la reconnaissance que les vivants doivent à ceux qui sont morts ,souvent dans la fleur de l’âge, pour leur permettre à eux d’exister et de profiter de la vie ! Combien est important le respect qui est dû à tout ce qui évoque leur mémoire ! Encore faut-il pour cela que tous communient dans l’amour du même pays, de la même patrie, et c’est là que le bât blesse ! Les iconoclastes qui dans leur rage destructrice s’en sont pris à ces monuments commémoratifs ne se considèrent plus comme français ; ils ne se prévalent éventuellement de cette nationalité que pour bénéficier des droits et avantages qu’elle procure : ce ne sont en fin de compte que de misérables jouisseurs, dépourvus de la moindre conscience , qui ne savent que détruire et cracher sur les sacrifices consentis par ceux qui les ont précédés.C’est Le plus cocasse, si ce n’était aussi tragique, c’est que l’incitation à revenir à un type de vaccin classique, largement supplanté par la technique moderne et prometteuse de l’ARN messager de Pfizer, émane du chef du parti soi-disant progressiste, à savoir le PPM ; c’est ce qui ressort principalement de la missive adressée par l’intéressé au gouvernement, en la personne du ministre de la santé Olivier VERAN, Le Dr Pierre ALIKER qui a toute sa vie milité pour que la population martiniquaise bénéficie des progrès les plus avancés de la médecine en matière sanitaire, à dû se retourner dans sa tombe devant cette volte-face de l’héritier infidèle.
Le plus cocasse, si ce n’était aussi tragique, c’est que l’incitation à revenir à un type de vaccin classique, largement supplanté par la technique moderne et prometteuse de l’ARN messager de Pfizer, émane du chef du parti soi-disant progressiste, à savoir le PPM ; c’est ce qui ressort principalement de la missive adressée par l’intéressé au gouvernement, en la personne du ministre de la santé Olivier VERAN, Le Dr Pierre ALIKER qui a toute sa vie milité pour que la population martiniquaise bénéficie des progrès les plus avancés de la médecine en matière sanitaire, à dû se retourner dans sa tombe devant cette volte-face de l’héritier infidèle. Jour après jour, matin, midi et soir, les martiniquais sont soumis à un lavage de cerveau intensif concernant la période de l’esclavage et de la traite négrière; le pays baigne littéralement dans l’ évocation obsessionnelle de ce passé révolu. Cette opération de “zombification”de la population, parfaitement orchestrée par l’intelligentsia de gauche politique et médiatique, s’inscrit dans un vaste mouvement ( “la pensée décoloniale”), parti des universités américaines (woke culture des éveillés) pour se répandre ensuite en Europe puis en France. Il s’agit d’analyser et de réinterpréter les faits historiques, économiques et sociaux à travers le prisme de la race ( noirs, minorités ethniques), du genre (féminisme-LGBT) et de la catégorie (roms, musulmans handicapés…). Cette déconstruction-reconstruction dite “décoloniale” peut prendre plusieurs formes : celle du panafricanisme illustré chez nous par l’action des activistes «rouge-vert-noir» qui cherchent à faire disparaître de la mémoire collective et de l’espace public tous les signes et symboles évocateurs de visages d’hommes ( ou de femmes) blancs, y compris de ceux à l’esprit éclairé, ayant contribué par leur engagement sans faille à mettre fin à l’abomination esclavagiste, ou celle de l’islamo-gauchisme, complaisant à l’égard de l’islamisme radical,visant à remplacer les démocraties traditionnelles construites sur la tradition judéo-chrétienne par le règne du Califat et de la Charia ( les graffitis et profanations, touchant épisodiquement les monuments et édifices religieux et les attaques répétées contre la liberté de consciencence et la laîcité, en sont les manifestations les plus visibles).Ce
Jour après jour, matin, midi et soir, les martiniquais sont soumis à un lavage de cerveau intensif concernant la période de l’esclavage et de la traite négrière; le pays baigne littéralement dans l’ évocation obsessionnelle de ce passé révolu. Cette opération de “zombification”de la population, parfaitement orchestrée par l’intelligentsia de gauche politique et médiatique, s’inscrit dans un vaste mouvement ( “la pensée décoloniale”), parti des universités américaines (woke culture des éveillés) pour se répandre ensuite en Europe puis en France. Il s’agit d’analyser et de réinterpréter les faits historiques, économiques et sociaux à travers le prisme de la race ( noirs, minorités ethniques), du genre (féminisme-LGBT) et de la catégorie (roms, musulmans handicapés…). Cette déconstruction-reconstruction dite “décoloniale” peut prendre plusieurs formes : celle du panafricanisme illustré chez nous par l’action des activistes «rouge-vert-noir» qui cherchent à faire disparaître de la mémoire collective et de l’espace public tous les signes et symboles évocateurs de visages d’hommes ( ou de femmes) blancs, y compris de ceux à l’esprit éclairé, ayant contribué par leur engagement sans faille à mettre fin à l’abomination esclavagiste, ou celle de l’islamo-gauchisme, complaisant à l’égard de l’islamisme radical,visant à remplacer les démocraties traditionnelles construites sur la tradition judéo-chrétienne par le règne du Califat et de la Charia ( les graffitis et profanations, touchant épisodiquement les monuments et édifices religieux et les attaques répétées contre la liberté de consciencence et la laîcité, en sont les manifestations les plus visibles).Ce La prise à partie de journalistes et la détérioration de leur matériel professionnel qui ont eu lieu à l’occasion des festivités du 22 Mai ont soulevé l’indignation générale et une vague de protestations émanant des milieux les plus divers ; de tels faits, assurément délictueux, sont inadmissibles en Démocratie et mettent en péril la liberté d’expression qui en constitue la base. Sans aller jusqu’à considérer, comme certain personnage infatué de lui-même, que “leur personne est sacrée “, les journalistes agressés sont pleinement fondés à requérir des autorités publiques la protection qui leur est due du fait de la mission d’information, essentielle au bon fonctionnement de la société, qui leur incombe. Cela n’est pas discutable mais implique en retour une contrepartie incontournable : le respect scrupuleux par les intéressés des règles déontologiques garantissant à tout citoyen l’accès à une information, pluraliste et objective de qualité . Ce n’est malheureusement pas toujours le cas et force est de constater la multiplication de manquements caractérisés à ces règles élémentaires dont se rendent coupables certains journalistes dans l’exercice de leur activité professionnelle; interviews orientées, présentations biaisées, commentaires approximatifs voire tendancieux fourmillent, quant il ne s’agit pas tout simplement, sous-couvert de rétrospectives historiques, dites de “ mémoires sensibles”, de grossières manipulations; l’affaire de l’OJAM, déclinée en de multiples épisodes, à la veille d’élections territoriales majeures, en est une parfaite illustration.
La prise à partie de journalistes et la détérioration de leur matériel professionnel qui ont eu lieu à l’occasion des festivités du 22 Mai ont soulevé l’indignation générale et une vague de protestations émanant des milieux les plus divers ; de tels faits, assurément délictueux, sont inadmissibles en Démocratie et mettent en péril la liberté d’expression qui en constitue la base. Sans aller jusqu’à considérer, comme certain personnage infatué de lui-même, que “leur personne est sacrée “, les journalistes agressés sont pleinement fondés à requérir des autorités publiques la protection qui leur est due du fait de la mission d’information, essentielle au bon fonctionnement de la société, qui leur incombe. Cela n’est pas discutable mais implique en retour une contrepartie incontournable : le respect scrupuleux par les intéressés des règles déontologiques garantissant à tout citoyen l’accès à une information, pluraliste et objective de qualité . Ce n’est malheureusement pas toujours le cas et force est de constater la multiplication de manquements caractérisés à ces règles élémentaires dont se rendent coupables certains journalistes dans l’exercice de leur activité professionnelle; interviews orientées, présentations biaisées, commentaires approximatifs voire tendancieux fourmillent, quant il ne s’agit pas tout simplement, sous-couvert de rétrospectives historiques, dites de “ mémoires sensibles”, de grossières manipulations; l’affaire de l’OJAM, déclinée en de multiples épisodes, à la veille d’élections territoriales majeures, en est une parfaite illustration. Le spectacle offert par la classe politique martiniquaise, à deux mois des élections pour le renouvellement des instances dirigeantes de la Collectivité Territoriale de Martinique, est tout simplement affligeant..
Le spectacle offert par la classe politique martiniquaise, à deux mois des élections pour le renouvellement des instances dirigeantes de la Collectivité Territoriale de Martinique, est tout simplement affligeant.. Au détour d’une interview du responsable d’une formation politique, fort discrète au demeurant sinon à l’approche des élections, nous voyons resurgir ce vieux serpent de mer d’une Dorsale routière, censée résoudre les problèmes du BTP et du développement de la. Martinique. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce projet, fortement inspiré par un des majors du BTP, ne tient pas la route, il n’a pas d’autre but en réalité que de permettre à cette multinationale de siphonner les financements européens susceptibles d’être mobilisés par la Collectivité Territoriale de Martinique. Le même scénario se reproduit à chaque fois : hier, il s’agissait d’un viaduc autoroutier à quatre voies traversant de bout en bout la baie de Fort-de-France ( exit l’une des plus belles baies du monde, à jamais défigurée !), aujourd’hui, d’ une “voie express” partant de Basse-Pointe pour rejoindre Sainte-Anne, à travers mornes et collines du centre de l’île. Le point commun de ces deux projets pharaoniques, outre d’obérer pour des décennies les finances de la dite collectivité, est de sacrifier irrémédiablement l’environnement naturel constituant le socle de l’attractivité de notre territoire pour nos visiteurs ; en l’occurrence, cette grande diagonale du nom de “Dorsale” partant de Basse-Pointe, empièterait sur les contreforts du massif montagneux des Pitons du Carbet ( adieu leur inscription avec la montagne Pelée, au patrimoine mondial de l’humanité -les associations de défense de l’environnement apprécieront !),
Au détour d’une interview du responsable d’une formation politique, fort discrète au demeurant sinon à l’approche des élections, nous voyons resurgir ce vieux serpent de mer d’une Dorsale routière, censée résoudre les problèmes du BTP et du développement de la. Martinique. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce projet, fortement inspiré par un des majors du BTP, ne tient pas la route, il n’a pas d’autre but en réalité que de permettre à cette multinationale de siphonner les financements européens susceptibles d’être mobilisés par la Collectivité Territoriale de Martinique. Le même scénario se reproduit à chaque fois : hier, il s’agissait d’un viaduc autoroutier à quatre voies traversant de bout en bout la baie de Fort-de-France ( exit l’une des plus belles baies du monde, à jamais défigurée !), aujourd’hui, d’ une “voie express” partant de Basse-Pointe pour rejoindre Sainte-Anne, à travers mornes et collines du centre de l’île. Le point commun de ces deux projets pharaoniques, outre d’obérer pour des décennies les finances de la dite collectivité, est de sacrifier irrémédiablement l’environnement naturel constituant le socle de l’attractivité de notre territoire pour nos visiteurs ; en l’occurrence, cette grande diagonale du nom de “Dorsale” partant de Basse-Pointe, empièterait sur les contreforts du massif montagneux des Pitons du Carbet ( adieu leur inscription avec la montagne Pelée, au patrimoine mondial de l’humanité -les associations de défense de l’environnement apprécieront !), Pour le compte de qui roule le groupe d’élues rassemblées autour de la Maire du Morne Rouge, madame Jenny Dulys-Petit ?
Pour le compte de qui roule le groupe d’élues rassemblées autour de la Maire du Morne Rouge, madame Jenny Dulys-Petit ? Ce changement devrait consister à se fixer comme objectif prioritaire la préservation du patrimoine naturel de l’île qui constitue sa véritable richesse.
Ce changement devrait consister à se fixer comme objectif prioritaire la préservation du patrimoine naturel de l’île qui constitue sa véritable richesse. L’eau, source de toute vie serait à en croire les déclarations éclaboussantes de nos dirigeants, tant politiques qu’associatifs, au cœur de leurs préoccupations ; il n’en est malheureusement rien ! L’exemple de la tragi-comédie qui se déroule autour du problème de la réparation de la casse de Séguineau au LORRAIN en fournit une première démonstration ; au rythme où vont les choses, il y a fort à parier que les malheureux habitants de la Martinique devront tirer la langue au prochain carême, pour s’abreuver au précieux liquide. Mais plus édifiant encore est le silence assourdissant de ces mêmes, on ose à peine dire responsables, à propos de l’annonce faite par le Ministre des outre-mer, dans son communiqué de Presse du 6 novembre dernier, de la création par la Loi d’un Syndicat Unique de gestion de l’Eau et de l’Assainissement en Guadeloupe, d’ici Septembre 2021. Ce syndicat, regroupant toutes les collectivités intervenant dans la gestion de l’eau (communautés d’agglomération,Région et Département) se fixe pour objectif d’être :« le gage d’une gestion solidaire, mutualisé et collégiale », autrement dit, tout ce que les citoyens de notre territoire attendent avec impatience depuis des années .
L’eau, source de toute vie serait à en croire les déclarations éclaboussantes de nos dirigeants, tant politiques qu’associatifs, au cœur de leurs préoccupations ; il n’en est malheureusement rien ! L’exemple de la tragi-comédie qui se déroule autour du problème de la réparation de la casse de Séguineau au LORRAIN en fournit une première démonstration ; au rythme où vont les choses, il y a fort à parier que les malheureux habitants de la Martinique devront tirer la langue au prochain carême, pour s’abreuver au précieux liquide. Mais plus édifiant encore est le silence assourdissant de ces mêmes, on ose à peine dire responsables, à propos de l’annonce faite par le Ministre des outre-mer, dans son communiqué de Presse du 6 novembre dernier, de la création par la Loi d’un Syndicat Unique de gestion de l’Eau et de l’Assainissement en Guadeloupe, d’ici Septembre 2021. Ce syndicat, regroupant toutes les collectivités intervenant dans la gestion de l’eau (communautés d’agglomération,Région et Département) se fixe pour objectif d’être :« le gage d’une gestion solidaire, mutualisé et collégiale », autrement dit, tout ce que les citoyens de notre territoire attendent avec impatience depuis des années . Depuis un an et demi que cette route est fermée,les riverains ainsi que les nombreux usagers qui la fréquentaient journellement attendent avec impatience sa réouverture; c’est que cette voie qui relie le rond-point du garage Mercedès au carrefour Mahault ,porte d’entrée de la ville du LAMENTIN, est devenue au fil du temps un axe essentiel pour plusieurs raisons: d’abord il facilite l’accès à cette localité à partir des importantes zones qui la bordent aussi bien commerciales (GALERIA, AutoGM,Sodauto, ets VIEULES ,ORANGE etc) que résidentielles: les logements de toute nature (Grands ensembles HLM, lotissements,villas particulières) y poussent comme des champignons ,entraînant dans leur sillage les habituelles professions libérales et artisanales (médicales et para médicales notamment) ; de plus le transfert à ce niveau du Centre de la Sécurité Sociale autrefois situé en plein bourg rend plus indispensable que jamais l’utilisation de cette voie par les ressortissants du Lamentin. J’entends déja l’objection que ne manqueront pas de faire ceux pour qui tous les prétextes sont bons pour justifier leur inaction; il s’agirait d’une voie à statut privé; cet argument est irrecevable pour plusieurs raisons : D’abord parce que cette portion de voie fait partie intégrante du chemin communal n°1 dit du “vieux chemin de californie dont le caractère est évidemment public, ensuite et c’est déterminant , parce qu’à sa construction elle a bénéficié d’une importante subvention de l’ex Conseil Général qui aurait du conduire normalement depuis longtemps à son classement dans la voirie publique .Si
Depuis un an et demi que cette route est fermée,les riverains ainsi que les nombreux usagers qui la fréquentaient journellement attendent avec impatience sa réouverture; c’est que cette voie qui relie le rond-point du garage Mercedès au carrefour Mahault ,porte d’entrée de la ville du LAMENTIN, est devenue au fil du temps un axe essentiel pour plusieurs raisons: d’abord il facilite l’accès à cette localité à partir des importantes zones qui la bordent aussi bien commerciales (GALERIA, AutoGM,Sodauto, ets VIEULES ,ORANGE etc) que résidentielles: les logements de toute nature (Grands ensembles HLM, lotissements,villas particulières) y poussent comme des champignons ,entraînant dans leur sillage les habituelles professions libérales et artisanales (médicales et para médicales notamment) ; de plus le transfert à ce niveau du Centre de la Sécurité Sociale autrefois situé en plein bourg rend plus indispensable que jamais l’utilisation de cette voie par les ressortissants du Lamentin. J’entends déja l’objection que ne manqueront pas de faire ceux pour qui tous les prétextes sont bons pour justifier leur inaction; il s’agirait d’une voie à statut privé; cet argument est irrecevable pour plusieurs raisons : D’abord parce que cette portion de voie fait partie intégrante du chemin communal n°1 dit du “vieux chemin de californie dont le caractère est évidemment public, ensuite et c’est déterminant , parce qu’à sa construction elle a bénéficié d’une importante subvention de l’ex Conseil Général qui aurait du conduire normalement depuis longtemps à son classement dans la voirie publique .Si Leurs interventions tournent quasi-exclusivement sur deux thèmes de prédilection : la question de l’esclavage et de sa réparation d’une-part, la décolonisation de notre île de l’autre.
Leurs interventions tournent quasi-exclusivement sur deux thèmes de prédilection : la question de l’esclavage et de sa réparation d’une-part, la décolonisation de notre île de l’autre. Les cérémonies dites du “Tricentenaire”ont consacré solennellement ,le rattachement de la Martinique à la France.
Les cérémonies dites du “Tricentenaire”ont consacré solennellement ,le rattachement de la Martinique à la France.