
C’est quoi ce monde dans lequel on travaille comme un bourreau pour, au bout du compte, être étranglé par des factures abusives et des impôts, sans pouvoir se loger et nourrir sa famille, pendant que les ultrariches, défiscalisés, mettent des diamants au cou de leurs caniches.
C’est quoi ce monde où l’absence de solution à laquelle sont confrontés les masses conduisent tant de personnes au désespoir et à la démence, à l’autodestruction des toxicomanies ou du suicide.
C’est quoi ce monde où des millions de femmes vivent dans l’angoisse d’être agressées moralement et physiquement à chaque coin de rue et dans leur propre foyer.
C’est quoi ce monde dans lequel les Peuples sont soumis au fascisme, aux agressions militaires, au viol de leur souveraineté, à des génocides barbares sous l’oeil complice des institutions internationales.
Eh bien non ! Nous ne pouvons pas accepter que cela continue ! Nous déclarons que toutes les souffrances que nous subissons individuellement ou collectivement résultent de situations que nous pouvons changer et qu’elles sont entretenues par un système que nous devons combattre.
La terre dispose de richesses suffisantes pour loger et nourrir 10 fois plus des habitants qu’elle compte.

Enfant de Gaza
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Une paix possible (1/2)
— Par Jean-Pierre Maurice —
Ignacio Ramonet, journaliste, essayiste et analyste international, a longtemps été rédacteur en chef du Monde diplomatique. Dans son livre, La era del conspiracionismo, il a analysé les mécanismes du « trumpisme », que l’on voit aujourd’hui se propager sous d’autres latitudes, de l’Amérique latine à l’Europe. Nous avons évoqué la crise politique de l’Union européenne et le regain de tensions entre les États-Unis et les pays socialistes d’Amérique latine.
L’Assemblée du peuple des Caraïbes :
Plusieurs centaines de professionnels des médias demandent à Emmanuel Macron la reprise de l’accueil des journalistes gazaouis souhaitant être évacués de l’enclave, et l’accès immédiat de la presse internationale sur le terrain.
—Par Robert Berrouët-Oriol (*) —
— Par Jean Samblé —
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— Par Max Orville (*) —
— RS n° 410 lundi 1er septembre 2025 —
Sortie nationale : 27 août 2025 (en salle dès le 26 août)
À l’été 1572, un mariage censé apaiser les tensions religieuses allait précipiter la France dans l’un des épisodes les plus sombres de son histoire. Catherine de Médicis, reine-mère, pense alors sceller la paix entre catholiques et protestants en mariant sa fille Marguerite de Valois à Henri de Navarre, chef du camp réformé. Mais cet espoir de réconciliation se heurte à des années de haine accumulée.
Le verdict est tombé ce jeudi 21 août 2025 à la Cour d’appel de Fort-de-France. Rodrigue Petitot, figure centrale du Rpprac (Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéens), a été condamné à douze mois de prison ferme, aménagés en détention à domicile sous bracelet électronique. Une décision que le militant qualifie d’« injustice totale », dénonçant une volonté politique de l’écarter de la scène publique.
La seule définition de l’Autonomie par ce qu’elle n’est pas doit-elle suffire ?
— Par Robert Berrouët-Oriol (*) —
Jeudi 7 août 2025, le Conseil constitutionnel a donné son feu vert à la loi de programmation pour la refondation de Mayotte, ainsi qu’à la loi organique relative à son organisation institutionnelle. Saisi mi-juillet par des parlementaires de gauche, opposés notamment à certaines dispositions du volet migratoire, le Conseil a jugé les textes globalement conformes à la Constitution, malgré quelques réserves d’interprétation.
La signature de l’accord de Bougival par le responsable de la délégation kanak, l’État français, les Caldoches auto-désigné·e·s