Catégorie : Parutions

Sciences sociales : nouveautés du 16 janvier 2022

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Sciences sociales : nouveautés du 12 janvier 2022

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Histoire de l’école en Martinique

Échec scolaire ou archaïsmes coloniaux de Sylvère Farraudière

— Par Térèz Léotin

L’auteur, inspecteur d’Académie honoraire, agrégé de sciences physiques, diplômé de sciences de l’éducation, dédie cet ouvrage « à la jeunesse pour qu’elle ne reproduise pas nos errements ». Puisse-t-elle s’en tenir informée.

Nous sommes à la Martinique, et « le débat sur l’esclavage colonial, ses ravages dans la société et son enseignement est tabou. En société « On lui préfère d’interminables développements sur l’identité et le colonialisme dans ces discours répétitifs et faussement rassembleurs. » L’injustice sociale est flagrante.

Tout au long de son ouvrage Sylvère Farraudière nous fera une analyse, de la société martiniquaise de la période post esclavagiste à nos jours. Cette analyse s’appuie sur un travail minutieux d’historien qui prend en compte dans toute sa complexité la réalité des faits et la grande ligne directrice : « Les droits et devoirs des individus qui s’égalisent sous la bannière républicaine ». Les mots Liberté Égalité Fraternité, commencent à prendre sens et s’étendent désormais à « l’esclavagé » qui a maintenant des droits tels le droit à l’instruction et à l’alphabétisation puisqu’il fait lui aussi partie des gens libres.

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Race et histoire dans les sociétés occidentales (XV-XVIIIe siècle)

De Jean-Frédéric Schaub & Silvia Sebastiani

Ce livre présente les processus de racialisation qui ont ponctué la transformation de l’Europe et de ses colonies de la fin du Moyen Âge à l’âge des révolutions.  Cette histoire éclaire l’évolution des sociétés, des institutions, des cultures et des théories. Elle décrit la volonté de catégoriser les individus et les groupes, de les enclore dans des identités présentées comme intangibles, de discriminer les collectifs dominés, voire d’organiser l’oppression à grand échelle contre des populations définies par leur race.
La racialisation procède par naturalisation des rapports sociaux et des caractères physiques et moraux  qui se transmettent de génération en génération, à travers la procréation. Elle repose sur une contradiction : le racisme affirme que les gens sont prisonniers de leur race et s’emploie néanmoins à gérer la transformation des races.
Quatre coups de projecteur permettent de rendre compte de cette histoire : la noblesse de naissance face à l’anoblissement, la nature juive ou musulmane qui persiste dans le sang des convertis, l’origine ineffaçable des métis dans l’Amérique coloniale, la déshumanisation des Africains par la traite esclavagiste.

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« Histoire de l’école en Martinique. Nos maîtres d’école. » de Yvette Farraudière

— Par Térèz Léotin —

À travers son ouvrage, l’auteure Yvette FARRAUDIÈRE nous relate l’histoire de l’école à la Martinique. Cette institution qui a formé à la lecture, l’écriture et au calcul, les citoyens que nos ancêtres et nous sommes devenus. L’histoire de l’école, en Martinique nous est ici retransmise, sous l’angle de ceux qui « font l’école », comme on aimait à le dire, comprendre le maitre d’école.

Si une chanson connue, reprend à son compte une tradition qui persiste à nous faire croire que Charlemagne aurait inventé l’école, il n’en est rien, pas plus en France qu’en Martinique.

Souvenons-nous, avec l’auteure du contexte particulier, ce contexte colonial où seuls les Blancs disposaient de la liberté d’instruire leurs enfants et dans lequel nos ancêtres étaient esclavagés.

Les premiers maitres d’école des enfants de colons, souvent étaient des particuliers arrivés de la métropole vers les colonies et qui ne possédaient pas toujours les compétences requises pour enseigner, d’où la décision en 1684 « du gouverneur Blénac, d’exercer un contrôle par l’intermédiaire des jésuites et des curés » sur l’enseignement divulgué.

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L’inconscient ou l’oubli de l’histoire. Profondeurs, métamorphoses et révolutions de la vie affective

D’Hervé Mazurel
La Découverte, 2021
Description
Et si l’inconscient lui-même n’échappait pas à l’histoire ? En le situant au-delà du social, au-delà de l’histoire, Freud a laissé la psychanalyse prisonnière d’un postulat encombrant. Il a fait comme si la structure de la personnalité qu’il observait chez ses patients viennois à la fin du XIXe siècle touchait à l’homme éternel et non aux représentants d’une époque, d’une culture, d’un univers social particuliers.
Nourri d’histoire des sensibilités, de sociologie psychologique et d’anthropologie critique, ce livre voudrait montrer en quoi notre vie psychique profonde est tout imprimée d’histoire. Pour s’en convaincre, il n’est qu’à scruter, sur la longue durée, les lentes transformations du refoulement pulsionnel et du contrôle des émotions. Elles sont étroitement corrélées aux révolutions silencieuses de nos mœurs, aux altérations souterraines de notre vie affective, aux déplacements discrets des désirs et des interdits, des seuils de pudeur et des frontières de l’intime. De là il faut conclure à l’existence de troubles d’époque et de névroses de classe. Et puis songer aussi au perpétuel renouvellement des fantasmes à partir desquels se meuvent les êtres intérieurs, aux variations du symbolisme des rêves, calquées sur les évolutions de l’imaginaire social et non sur des archétypes universels, ou encore aux mutations sourdes des complexes psycho-affectifs (dont l’œdipe) au gré des métamorphoses de la famille, de la parenté et des rapports de genre.

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La tradition des chants de Noël en Guadeloupe – Entre célébration religieuse et ritualisation sociale

Les chants de Noël, pratiques intégrées au patrimoine culturel de la Guadeloupe, rythment chaque année, la vie des Guadeloupéens du 1er au 25 décembre.
En effet, Noël en Guadeloupe se vit aussi en dehors des églises avec les « chanté Nwèl » : croyants, non croyants, tout le monde y participe.
Pendant chaque week-end de l’Avent, on chante Noël à pleine voix en famille, entre amis, ou lors de manifestations publiques, en s’accompagnant d’instruments de musique et en partageant nourriture et boissons. Les radios ne sont pas en reste pour distiller des chants de Noël bien entraînants pendant toute cette période de Noël..Mais alors, d’où viennent ces chants ?
Ces cantiques à vocation religieuse et qui s’intègrent dans un type de fonctionnement collectif sont-ils devenus complètement profanes de nos jours ?
On constate qu’à l’intérieur d’une même tradition qui a évolué du « chanté kantik » au « chanté Nwèl », pratiques et fonctions sont en réalité diverses en Guadeloupe.

Auteur :
Marie-Hélène JOUBERT est née le 24 décembre 1952 à Pointe-à-Pitre en Guadeloupe.
En recherche d’appropriation et de valorisation de sa culture, elle a suivi, en dehors de son exercice professionnel en tant que cadre administratif, un cursus en ethno-rythmes et danses du monde et en ethnologie des Arts vivants..

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Abécédaire des féminismes présents.

Coordonné par Elsa Dorlin
736 pages – 20 €
Parution : 14 octobre 2021
ISBN physique : 9782377292226
ISBN numérique : 9782377292233

« Plutôt que de réduire le féminisme à des revendications faites à l’État, au patron, au chef ou à papa, pour plus de lois, plus de “sécurité”, à n’être que le porte-drapeau ou le cache-misère du capitalisme, de tel ou tel gouvernement nationaliste, ces histoires des féminismes présents rappellent et font résonner ensemble nos vies féministes. Ce livre fonctionne comme un abécédaire, un manuel, une boîte à outils, un dictionnaire amoureux, dans lequel échanger des idées, affûter des armes, écouter des voix, partager des expériences et des pratiques, vibrer pour des luttes présentes. Il s’adresse à tous·tes : il contient à la fois des ressources et foisonne de références utiles, de notions, mais il est fabriqué par des plumes et des voix, des points de vue situés sur des retours d’expériences collectives, des itinéraires politiques et intimes, des réflexions et des rétrospections sur des parcours, des engagements, des révoltes et des espoirs. En pluralisant les styles, en se situant à la fois du côté de la théorie et de la pratique, de la création, des écritures au “nous” et au “je”, il témoigne de la force d’une approche féministe de l’histoire intellectuelle et politique.

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« Nous qui ne cultivons pas le préjugé de race », de Dominique Chathuant

Histoire(s) d’un siècle de doute sur le racisme en France

— Par Dominique Chathuant —

Collection : Histoire & sociétés
504 pages, 155 x 235 mm, 25 €
Diffusion et distribution : Harmonia mundi
ISBN : 978-2-86645-961-1

Présentation du livre

En 1919, bien avant Black Lives Matter, un policier militaire américain abat froidement à Nantes un promeneur guadeloupéen. On lit alors dans la presse indignée que les Français ne cultivent pas le préjugé des races, lequel est solennellement condamné par les députés de la seconde puissance coloniale du monde.

Bars ségrégationnistes des années 1920 ou 1960, piscine fermée aux Algériens (1964) ou diarrhée antisémite d’un sénateur SFIO (1959), d’autres affaires offrent à l’opinion l’occasion de s’indigner et d’énoncer la norme idéale d’une France immunisée contre le racisme : Raymond Poincaré s’oppose à Paris à une discrimination, forcément américaine et René Pleven juge longtemps inutile une loi antiraciste finalement votée en 1972 et qu’on persiste à tort à lui attribuer.

Loin de l’anachronisme dogmatique ou de l’idéalisation naïve, l’historien Dominique Chathuant explore le mythe immunitaire à l’échelle du xxe siècle, au cœur puis en aval du contexte colonial.

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Sur le « (dé)plaisir »

Présentation du 26e numéro de la revue Recherches en Esthétique sur le thème « Le (dé)plaisir » par le plasticien, musicien et poète Alain Joséphine.

La revue du CEREAP, Recherches en Esthétique, fait appel aux penseurs de l’art, qu’ils soient Antillais, métropolitains ou étrangers. Parce qu’elle est une revue scientifique, elle est garante d’une rigueur et d’une excellence de la réflexion. Sa particularité est d’être une revue scientifique née aux Antilles. Cela peut paraître anecdotique, mais cet ancrage caribéen lui confère une saveur particulière, une inclination au décentrement, à l’excentration autant par le choix des problématiques que par la pensée de ceux qui les traitent.

Comment ce numéro 26 est-il partitionné ? Il y a d’abord ce qui ne change pas. L’éditorial de Dominique Berthet explique les différents enjeux que génère la problématique choisie. Puis, apparaît l’entretien avec Marc Jimenez. Cet entretien est devenu au fil du temps et de la parution des différents numéros de la revue, une sorte de rituel introductif dans lequel les problématiques générées par le thème sont débattues, discutées avec le dynamisme et la fraîcheur que seul peut exprimer un ici et maintenant du discours.

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Les hommes, leurs amours et leurs sexualités – Patrick De Neuter

En matière d’amour, de désir, de plaisir, de jouissance et de séduction, les usages et les mœurs évoluent de jour en jour. L’auteur analyse les difficultés du couple du point de vue des hommes, à partir de son expérience clinique, de la mythologie et de l’apport de diverses disciplines, dont la littérature.

De la plus haute Antiquité à nos jours, le mythe de l’enlèvement de la jeune Europe, princesse phénicienne, par Zeus, son arrière-arrière-grand-père, déguisé en taureau, a connu de multiples variantes dans la littérature, la mosaïque, la gravure, la peinture et la sculpture. L’auteur s’est demandé dans quelle mesure ce mythe, traditionnellement considéré comme le reflet des désirs inconscients, était encore valable pour les hommes, jeunes et moins jeunes, aujourd’hui. À partir de sa clinique psychanalytique et psychothérapeutique individuelle et de couple, enrichie de nombreuses lectures dans diverses disciplines, il envisage, dans le registre des désirs et des fantasmes conscients et inconscients de chaque « un », diverses thématiques abordées par le mythe comme : le ravissement amoureux, le rapt et le viol, les diverses jouissances, les amours incestueuses, le désir de paternité, la défloration, l’infidélité conjugale, les difficultés du vieillissement, le patriarcat, la domination et la soumission dans le couple et l’identification à l’animal.

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Sciences sociales : nouveautés du 10 octobre 2021

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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« Le droit d’emmerder Dieu », de Richard Malka

« C’est à nous, et à nous seuls, qu’il revient de réfléchir, d’analyser et de prendre des risques pour rester libres. Libres de nous engager et d’être ce que nous voulons. C’est à nous, et à personne d’autre, qu’il revient de trouver les mots, de les prononcer, de les écrire avec force, pour couvrir le son des couteaux sous nos gorges.
À nous de rire, de dessiner, d’aimer, de jouir de nos libertés, de vivre la tête haute, face à des fanatiques qui voudraient nous imposer leur monde de névroses et de frustration – en coproduction avec des universitaires gavés de communautarisme anglo-saxon et des intellectuels qui sont les héritiers de ceux qui ont soutenu parmi les pires dictateurs du XXe siècle, de Staline à Pol Pot. »

Ainsi plaide Richard Malka, avocat de Charlie Hebdo, lors du procès des attentats de janvier 2015. Procès intellectuel, procès historique, au cours duquel l’auteur retrace, avec puissance, le cheminement souterrain et idéologique du Mal. Chaque mot pèse. Chaque mot frappe. Ou apporte la douceur, évoquant les noms des disparus, des amis, leurs plumes, leurs pinceaux, leur distance ironique et tendre.

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Sciences sociales: nouveautés du 26 septembre 2021

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Sciences sociales: nouveautés du 19 septembre 2021

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Sciences sociales: nouveautés du 13 juin 2021

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Sciences sociales: nouveautés du 25 mai 2021

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Sceinces sociales: nouvautés du 23 mai 2021

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Sciences sociales: nouveautés du 17 mai 2021

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Sciences sociales : nouveautésdu16 mai 2021

 

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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Sciences sociales : nouveautés du 9 mai 2021

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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L’adoption internationale, un ouvrage de Joohee Bourgain

Reconsidérer l’adoption du point de vue des adopté·es

Une analyse du système de l’adoption internationale, pour en finir avec une série de mythes qui en déguisent la véritable nature coloniale
À quoi pensez-vous quand vous entendez « adoption internationale »: à un acte d’amour, un geste qui sauve un·e orphelin·e ?
Joohee Bourgain analyse les pratiques et les enjeux de l’adoption internationale dans une perspective antiraciste, anticapitaliste et décoloniale. À partir d’une critique des rapports asymétriques de pouvoir entre le Nord et le Sud, l’autrice déconstruit un par un les mythes qui entourent l’adoption – le mythe de l’abandon, de l’orphelin·e misérable, ou de l’adoption comme acte non-raciste, pour ne citer qu’eux. Car si cette mythologie n’est jamais questionnée, n’est-ce pas parce que l’on entend rarement les personnes adoptées s’exprimer sur ce sujet ?
L’autrice témoigne à partir de sa propre expérience d’adoptée sud-coréenne, fait le lien avec le vécu d’autres minorités, et appelle à la politisation pour que la prise de conscience individuelle soit suivie d’une organisation collective.

Joohee Bourgain, enseignante dans le secondaire, est également très militante.
Persuadée de la nécessité de rendre visible un discours critique sur l’adoption internationale et de reconsidérer l’adoption du point de vue des adopté·es, elle souhaite par ce livre libérer la parole et porter ce sujet dans le débat public.

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« Semeur de sperme, l’autre crime : le cas de la Guadeloupe », de Marie-Hélèna Laumuno

« Difficile de dire papa »

L’ouvrage part d’un cas d’abandon paternel endurci à Grand-Bourg Marie-Galante et s’étend à d’autres exemples d’abandons directs ou sournois dans plusieurs familles de la Guadeloupe. Le propos se nourrit de témoignages et de l’expertise de spécialistes de l’Education, du social, de la justice. Cécile Séjor, éducatrice spécialisée ; Luc-Hubert Séjor, éducateur spécialisé retraité et artiste musicien ; Joselaine Gélabale, avocate ; Alexis Pimpit, père et principal de Collège ; une assistante sociale scolaire, apportent leur contribution à l’analyse de ce fait social. Qu’ils en soient remerciés ! La relation du père à l’enfant révèle aussi les rapports hommes/ femmes dans nos sociétés. Elle invite à interroger la construction du lien familial pour le mieux-être de tous.

Docteure en Histoire contemporaine de l’Université des Antilles et titulaire d’un Master en Sciences Humaines et sociales de l’Université de Besançon (Franche-Comté), ses recherches et publications portent sur les pratiques culturelles aux tambours de la Guadeloupe. Toutefois, l’auteure reste sensible aux grands faits de société comme la question de l’irresponsabilité paternelle qui gangrène les relations familiales depuis plusieurs générations.

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Sciences sociales : nouveautés du 02 mai 2021

L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.

Le terme de science sociale apparaît pour la première fois en 1824 dans l’ouvrage de William Thompson (1775-1833), An Inquiry into the Principles of the Distribution of Wealth Most Conducive to Human Happiness; applied to the Newly Proposed System of Voluntary Equality of Wealth.

Les débuts des sciences sociales au 18e siècle se reflètent dans la grande encyclopédie de Diderot, avec des articles de Jean-Jacques Rousseau et d’autres pionniers. L’émergence des sciences sociales se reflète également dans d’autres encyclopédies spécialisées. La période moderne a vu la science sociale être utilisée pour la première fois comme un champ conceptuel distinct.

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« Somnyama Ngonyama − Salut à toi, lionne noire ! », première monographie de l’artiste et « activiste visuelle » sud-africaine, Zanele Muholi

« Une fois couchées – Nous sommes – maîtresses de nous-mêmes, vulnérables – pelotonnées, – protectrices – semblables aux autres. – Une fois couchées – Nous sommes – Nues – malades, fatiguées – Malades et fatiguées d’être malades et fatiguées – et puis, lorsqu’on ne se recouche pas, renvoyées – Nous reposons nos yeux juste une minute – Dans l’attente qu’Olympia termine sa toilette avant de reprendre le travail – Sans t’inviter à nous enfourcher – Sans rejouer avec toi – Claquées. Une fois couchées – nous te regardons – nous nous cachons – nous – nous arrêtons – nous communions avec nos dieux – Sacrés. – Essayant juste d’avoir une minute à nous – Nous nous relevons – Retrouvons nos forces – Violentes, félines, redoutables – Nous complotons, projetons. – Nous sommes – Des odalisques séduisantes- nous voulons que – tu nous aimes – Bien sûr nous voulons que tu nous aimes, aies envie de nous – Désirables – Gardant le pouvoir – Majestueuses au repos – Privilégiées – Nous nous amusons – Nous – réécrivons notre histoire – Honorons nos ancêtres – Nous sommes aux commandes – Nous nous accrochons et guérissons – Libres. 

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