Cognitis enim pilatorum caesorumque funeribus nemo deinde ad has stationes appulit navem, sed ut Scironis praerupta letalia declinantes litoribus Cypriis contigui navigabant, quae Isauriae scopulis sunt controversa.
Huic Arabia est conserta, ex alio latere Nabataeis contigua; opima varietate conmerciorum castrisque oppleta validis et castellis, quae ad repellendos gentium vicinarum excursus sollicitudo pervigil veterum per oportunos saltus erexit et cautos. haec quoque civitates habet inter oppida quaedam ingentes Bostram et Gerasam atque Philadelphiam murorum firmitate cautissimas. hanc provinciae inposito nomine rectoreque adtributo obtemperare legibus nostris Traianus conpulit imperator incolarum tumore saepe contunso cum glorioso marte Mediam urgeret et Parthos.
Post hoc impie perpetratum quod in aliis quoque iam timebatur, tamquam licentia crudelitati indulta per suspicionum nebulas aestimati quidam noxii damnabantur. quorum pars necati, alii puniti bonorum multatione actique laribus suis extorres nullo sibi relicto praeter querelas et lacrimas, stipe conlaticia victitabant, et civili iustoque imperio ad voluntatem converso cruentam, claudebantur opulentae domus et clarae.
Tantum autem cuique tribuendum, primum quantum ipse efficere possis, deinde etiam quantum ille quem diligas atque adiuves, sustinere. Non enim neque tu possis, quamvis excellas, omnes tuos ad honores amplissimos perducere, ut Scipio P.

Jamais l’Histoire n’a connu de telles accélérations qu’aujourd’hui. Il nous faut des instruments précis pour comprendre et décrypter le monde des vingt prochaines années. C’est l’objectif de ce Rapport du Conseil National du Renseignement qui fournit analyses et perspectives à la CIA. Pour mener ce travail impartial et sans tabou, 2500 personnes de tous horizons (stratèges, chercheurs, économistes, spécialistes du renseignement et de la prospective) ont été interrogées.
Une jolie Bande dessinée de 65 pages due au dessin de Luko et au scénario de Christophe Cassiau-Haurie avec la participation de J-F Chanson au découpage. C’est le quatrième album du dessinateur, le cinquième scénario du… scénariste quant au « découpeur » on ne compte plus ses œuvres. Le brun et le vert sombre dominent et donnent une teinte de gravité à l’album. Le nombre de dessins sur une page varie entre un et dix sur une nombre de bandes qui, elles, vont jusqu’à 5. La lecture est plaisante, le graphisme est une réussite et la disposition du texte ne le pénalise jamais.
Dans son livre « Décadence », paru le 11 janvier chez Flammarion, le philosophe Michel Onfray estime que les jours de la civilisation occidentale sont comptés. Il dénonce notamment « presque deux mille ans d’antisémitisme chrétien, et son terrible couronnement par la Shoah ».
L’ouvrage, soutenu par la Fondation Gabriel-Péri, analyse les diktats du Trésor français.
Après Comment rater ses vacances et La Corse prend le maquis en juin 2016, les éditions du Chêne dévoilent Ni Dieu, ni eux, un recueil de 96 pages regroupant plus d’une centaine de dessins choisis par Chloé, la femme de Tignous (à noter, une postface signée de sa main, forte et bouleversante). Parus dans Charlie Hebdo ou Marianne, ils fustigent les fanatismes de toutes les religions. Pour combattre les dérives des textes sacrés par des huluberlus et pour lutter contre l’obscurantisme quoi de mieux que la culture, l’esprit critique & citoyen par le biais d’illustrations qui font mouche à chaque fois.
Livre pour enfants
François Gabourg? Un beau grand gaillard à l’humour tendre et féroce qui a déjà publié sept albums de dessins. Voici le huitème pour les fêtes, pour celles et ceux qui seraient en panne d’idée pour les cadeaux, mais surtout et avant tout, au delà de toute futilité, un album pour qui « tente(…) d’interroger nos sociétés, leurs travers, leurs incohérences, leurs injustices.. ». Un ouvrage qui « dessine ce que certains ne voient pas ».
« Hanétha Vété-Congolo nous offre donc une étude savante par l’ampleur du corpus étudié, et qui trouve une grande cohérence par l’articulation réalisée entre un projet de définition et de théorisation de l’identité caribéenne et la démarche d’analyse comparatiste qui lui est essentielle et consubstantielle. En même temps, l’ouvrage se lit avec plaisir et peut même réussir à surprendre, notamment le lecteur européen. On prend conscience que le conte oral caribéen, né dans la douleur, remplit une des grandes fonctions de la littérature, la contestation et que, tout codifié qu’il est dans sa structure et son rituel, il devient, par le biais de la réécriture, de la transposition, de la transmutation et de sa richesse symbolique, un véritable texte, et même, pour reprendre l’expression d’Umberto Eco, une œuvre ouverte. » Le travail titanesque d’Hanétha Vété-Congolo dans ce superbe ouvrage contribue à établir la pérennité du conte caribéen, et même jusqu’à un certain point du conte tout court. Alliant étude rigoureuse et plaisir littéraire, ce livre se lit agréablement, et c’est surpris par la masse et la qualité de l’information que l’on tourne la dernière page, avant de se précipiter à la bibliothèque pour y trouver tout ce qu’on pourra concernant le conte, ses plus beaux exemples et son histoire.
Culture Égalité est une association féministe martiniquaise réservée aux femmes. Elle a pour objectif d’amener les femmes à lutter pour :

On l’appelle aujourd’hui le « vivre ensemble »… Autant dire que ce n’est pas un petit sujet ! La politesse est cet art de rendre la vie ordinaire plus douce, moins rugueuse vivable, en somme. Nécessité sociale, donc. Mais pas seulement : la politesse est aussi une source de plaisir, et c’est ce que ce dictionnaire nous démontre à chaque page. Plaisir de respecter les codes, si bizarres ou byzantins, qu ils soient ; plaisir d’en jouer, de les exagérer… Dans un monde obsédé par l’utilité et la vitesse, la politesse est cet espace de liberté joyeux qui nous rend pleinement humains. Illustré par cent dessins originaux d’Emmanuel Pierre, un beau livre à offrir et à s’offrir.
Un millier d’hommages recueillis sur les lieux des attentats du 13-Novembre
Depuis le XVe siècle, la France, à l’instar d’autres pays d’Europe, s’est aventurée sur les mers. À mesure que les navigateurs, nourris d’angoisses et de fantasmes, descendaient vers ce qu’ils avaient cru être les limites du monde – et qu’ils y découvraient des peuples différents –, apparaissait le préjugé de couleur qui servirait de justification facile à l’esclavage et à la colonisation.