Sous la direction d’Obrillant DAMUS et Nicolas VONARX. 2019. Éditions Academia, Louvain-La-Neuve.
Préface de Jean Benoist
Médecin et anthropologue, professeur retraité de l’Université de Montréal et de l’Université Paul Cézanne, Aix-Marseille
Comment peut-on articuler les apports de la biomédecine et ceux d’une médecine traditionnelle ? La question est souvent posée, mais elle demeure ouverte malgré bien des travaux, car les situations sont multiples et surtout parce que les différences de points de vue entre les auteurs reflètent des conceptions variées de la maladie et du soin.
Ce livre contribue à l’avancement de ce questionnement, et cela d’autant mieux que, centré sur Haïti, il s’appuie sur un monde créole. Quel autre univers culturel articule aussi bien les courants thérapeutiques qui convergent dans une société, que ce monde créole, fait d’héritages divers et de synthèses souvent très réussies ? On doit saluer le travail des auteurs et des coordinateurs de ce livre qui, sans nul doute, marquera une étape sur le chemin d’une atténuation des ignorances réciproques et d’une résolution des antagonismes.
En effet, le terme « maladie » est un objet de pensée moins précis et plus difficile à cerner qu’on le pense communément.


Collection Le Débat, Gallimard


Le mot littérature, issu du latin litteratura dérivé de littera (la lettre), apparaît au début du xiie siècle avec un sens technique de « chose écrite » puis évolue à la fin du Moyen Âge vers le sens de « savoir tiré des livres », avant d’atteindre aux xviie – xviiie siècles son sens principal actuel : ensemble des œuvres écrites ou orales comportant une dimension esthétique (ex. : « C’est avec les beaux sentiments que l’on fait de la mauvaise littérature » André Gide) ou activité participant à leur élaboration (ex. : « Se consacrer à la littérature »).

Le mot littérature, issu du latin litteratura dérivé de littera (la lettre), apparaît au début du xiie siècle avec un sens technique de « chose écrite » puis évolue à la fin du Moyen Âge vers le sens de « savoir tiré des livres », avant d’atteindre aux xviie – xviiie siècles son sens principal actuel : ensemble des œuvres écrites ou orales comportant une dimension esthétique (ex. : « C’est avec les beaux sentiments que l’on fait de la mauvaise littérature » André Gide) ou activité participant à leur élaboration (ex. : « Se consacrer à la littérature »).
La Guadeloupe est habituellement présentée comme un territoire développé de ce qu’on appelle « l’outre-mer français ». Elle est ainsi souvent perçue par de nombreux pays et/ou habitants de l’espace caribéen. Mais dans le meme temps, il ne manque pas de décideurs économiques, de responsables politiques, français comme guadeloupéens, pour évoquer selon leur propres termes, les « retards structurels de développement » du territoire. Comment appréhender ce paradoxe? Comment situer la Guadeloupe au regard des critères conventionnels du développement? Si ce n’est pas un pays développé, à quelles conditions peut-elle l’être? Ce numéro spécial d’Études guadeloupéennes présente des textes qui abordent toutes ces questions.
200 pages – janv. 2019 – 18,00€ (
Qui étaient les candidats à Kourou lors des élections municipales de 2008 ? Quels étaient les scores des candidats au premier tour des élections législatives de la 2ème circonscription en 2012? Quel était le taux de participation aux élections européennes de 2009 en Guyane? Combien ont dépensé les listes ayant participé aux élections régionales de 2010? Quelles ont été les dépenses électorales des candidats dans la 1ère circonscription lors des élections législatives de 2017? Quel est le montant des indemnités des conseillers à l’Assemblée de Guyane? Qui sont les conseillers communautaires de la CACL ou de la CCEG? Quel est le montant de l’aide publique versée au Parti Socialiste Guyanais ou au mouvement Walwari de 2008 à 2017? Si ces questions vous intéressent, vous trouverez toutes les réponses à l’intérieur de ce mémento qui s’inscrit dans une double démarche de promotion de la culture de la transparence démocratique et de contribution à la connaissance des institutions, des femmes et des hommes qui animent la vie politique Guyanaise.
Trente-et-un artistes (écrivain.e.s, dessinateur.trice.s, peintres, plasticien.ne.s, musicien.ne.s, dramaturges, traducteur.trice.s, créateur.trice.s culinaires, réalisateur.trice.s…) prennent la parole pour évoquer leurs conditions (matérielles, financières et intellectuelles) de vie et de création. Ce sont des hommes et des femmes qui vivent les joies et les difficultés d’un quotidien fait de débrouille et d’acharnement.
Votre vie est encombrée d’une ou plusieurs créatures malfaisantes?
Pour maintenir et donner à survivre la Pensée de Solange Fitte-Duval, par delà le temps, Anique Sylvestre vient de faire paraître « Chère Solange ». C’est un ouvrage dense par son contenu et par sa qualité.