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(Coordination des Comités Populaires de Martinique) au IV ème SEMINAIRE INTERNATIONAL AFRIQUE CARAIBE AMERIQUE LATINE
Nous sommes convaincus que l’une des principales conditions qui nous conduira à une véritable décolonisation, réside dans notre capacité à favoriser le développement d’une forte cohésion nationale.
Sans celle-ci, nous ne disposerons pas des forces nécessaires pour imposer à l’Etat colonial le respect de notre droit à l’autodétermination.
Sans celle-ci on ne saurait envisager la mobilisation des Martiniquais et des Martiniquaises en vue de la réussite d’un projet de développement alternatif.
Nous fondons notre volonté de construire la cohésion nationale sur le fait que nous formons une communauté qui a des intérêts communs et qui doit résoudre collectivement ses problèmes.
Bien sûr, la lutte des classes n’a pas disparu. Elle se manifeste à travers la stratégie des partis dont beaucoup cherchent à pactiser avec le gouvernement colonial. Il n’est donc pas question de sombrer dans l’angélisme.
Il n’empêche que les relations qui nous sont imposées par la « métropole » du fait de la domination coloniale génèrent des contradictions qui opposent une large majorité du peuple au colonialisme : Les petits et moyens entrepreneurs sont laminés par la concurrence déloyale des multinationales du bâtiment.






















Marguerite Donnadieu, Aurore Dupin, Françoise Gourdji, François Marie Arouet, Henri Beyle, Louis-Ferdinand Destouches, Isidore Ducasse, André Pétricien, André Pierre-Louis, Jean-Baptiste Poquelin, Frédéric Louis Sauser, sont les noms d’état civil d’auteurs français connus. Cependant pour leurs activités d’écriture, ces noms ne figurent que dans leur biographie, et beaucoup parmi nous les ignorent parce que Marguerite Duras, George Sand, Françoise Giroud, Voltaire, Stendhal, Céline, Lautréamont, Tony Delsham, Monchoachi, Molière, Blaise Cendrars, sont respectivement leur nom de plume.
