Par Bruno Moschetto, professeur de sciences économiques à Paris-I et HEC
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Les gouvernants de très nombreux pays avancés – dont la plupart de ceux qui ont adopté l’euro – ont à faire face à un lancinant problème d’équilibre de leurs finances publiques . Il leur est d’autant plus difficile de le retrouver que les traditionnelles variables d’ajustement ne sont plus à leur portée puisqu’ils sont pris dans un triple fixisme : cambiaire, monétaire et budgétaire.
Notre économie à l’aube du choc budgétaire de 60MD€ – ce qui représente 3 % du produit intérieur brut (PIB) en année pleine – et qui se traduira inéluctablement par une contraction de l’activité économique de 1,5 %, puisque la dépense publique est une composante à hauteur de 50 % de la demande globale. Bien que cette contraction échelonnée sur deux ans se réduise à près de 0,65 % l’an, il n’empêche que nous avons plus que jamais besoin d’une variable d’ajustement compensatrice. Une seule solution s’offre aux gouvernants pour sortir de l’impasse : une inflation concertée.
Cet impôt sur la monnaie, selon la lumineuse formule d’Alfred Sauvy, n’est plus au rendez-vous depuis un quart de siècle chez nous et dans la plupart des pays avancés, voire émergents.





Marguerite Donnadieu, Aurore Dupin, Françoise Gourdji, François Marie Arouet, Henri Beyle, Louis-Ferdinand Destouches, Isidore Ducasse, André Pétricien, André Pierre-Louis, Jean-Baptiste Poquelin, Frédéric Louis Sauser, sont les noms d’état civil d’auteurs français connus. Cependant pour leurs activités d’écriture, ces noms ne figurent que dans leur biographie, et beaucoup parmi nous les ignorent parce que Marguerite Duras, George Sand, Françoise Giroud, Voltaire, Stendhal, Céline, Lautréamont, Tony Delsham, Monchoachi, Molière, Blaise Cendrars, sont respectivement leur nom de plume.


















