— Par Laurence Caramel —
Dans le nord de l’Amazonie brésilienne, la violence des chercheurs d’or clandestins contre les indiens Yanomami s’intensifie⋅ Leur porte-parole, le chaman Davi Kopenawa a été contraint, mardi 29 juillet, de demander une protection policière après avoir reçu des menaces de mort répétées⋅
Les orpailleurs ont à nouveau investi depuis quelques mois les terres indigènes de la région de Roraima, frontalière du Venezuela et du Guyana⋅ Le gouvernement brésilien en concertation avec les Yanomami a lancé une vaste opération de répression pour expulser les centaines de mineurs qui détruisent la forêt et polluent sols et eau en utilisant du mercure pour extraire le minerai précieux⋅
« Ils veulent me tuer mais je continuerai à me battre car ma mission est de défendre le peuple Yanomami et sa terre », affirme le chef indien dans une déclaration diffusée en Europe par l’association Survival, engagée dans la défense des peuples indigènes.

Dédié aux civils Palestiniens massacrés, aux victimes Malaysiennes de l’avion abattu en Ukraine, aux lycéennes Nigérianes kidnappées et aux milliards d’êtres humains qui subissent des exactions de par le monde.
TRIBUNE
Les Guyanais seront sans doute nombreux à se souvenir de ce mois de juillet 2014 quand, à Cayenne, a été inauguré le boulevard Nelson Mandela, qui plus est en présence de la ministre guyanaise de la Justice Christiane Taubira. Il leur importe davantage de savoir que c’est aussi en un mois de juillet que Félix Eboué, l’icône de leurs rares figures emblématiques, est revenu pour la première fois en Guyane. C’était en 1921, l’année même où son vieil ami René Maran, grâce à Batouala, a obtenu le Prix Goncourt. Sur sa terre natale, Félix Eboué, alors diplômé de l’Ecole coloniale, retournera en 1922, en 1927, en 1931, en 1932, avant de promettre à René Maran d’y revenir également en 1946, en vue des législatives. Le destin, on le sait, en a décidé autrement.
Le vice-Premier ministre turc, Bülent Arinç, a déclenché la polémique en déclarant que les femmes ne doivent pas rire trop fort, et qu’elles ne doivent pas non plus partir en vacances sans leur mari ou pratiquer la pole dance.
DEBUT D’UNE METAMORPHOSE
A l’initiative de deux journalistes,
DÉCRYPTAGE
Je suis Palestinien.
— Par René Bernard —
— Par Pierre Sabourin, écrivain et psychanalyste —
— Rosen HICHER Ancienne prostituée —
— Par Martine Gross, sociologue, CNRS
— AFP & lefigaro.fr —
— Par Michèle Levieux —
Nous, vice-présidents et membres de la gouvernance de l’université des Antilles et de la Guyane, souhaitons apporter les éléments et précisions suivants au débat sur la transformation de notre établissement en université des Antilles.
— Le Monde.fr avec AFP—

Mercredi soir 9 juillet, dans le cadre du festival culturel de Fort de France un débat était organisé par le Cénacle. Son thème : « La prostitution est-elle un mal nécessaire ? » Un intitulé déjà tendancieux car qui songerait à organiser un débat ayant pour sujet « la violence est-elle un mal nécessaire ? »
