Hac ex causa conlaticia stipe Valerius humatur ille Publicola et subsidiis amicorum mariti inops cum liberis uxor alitur Reguli et dotatur ex aerario filia Scipionis, cum nobilitas florem adultae virginis diuturnum absentia pauperis erubesceret patris.
Adolescebat autem obstinatum propositum erga haec et similia multa scrutanda, stimulos admovente regina, quae abrupte mariti fortunas trudebat in exitium praeceps, cum eum potius lenitate feminea ad veritatis humanitatisque viam reducere utilia suadendo deberet, ut in Gordianorum actibus factitasse Maximini truculenti illius imperatoris rettulimus coniugem.
Hac ex causa conlaticia stipe Valerius humatur ille Publicola et subsidiis amicorum mariti inops cum liberis uxor alitur Reguli et dotatur ex aerario filia Scipionis, cum nobilitas florem adultae virginis diuturnum absentia pauperis erubesceret patris.
Cognitis enim pilatorum caesorumque funeribus nemo deinde ad has stationes appulit navem, sed ut Scironis praerupta letalia declinantes litoribus Cypriis contigui navigabant, quae Isauriae scopulis sunt controversa.
Huic Arabia est conserta, ex alio latere Nabataeis contigua; opima varietate conmerciorum castrisque oppleta validis et castellis, quae ad repellendos gentium vicinarum excursus sollicitudo pervigil veterum per oportunos saltus erexit et cautos. haec quoque civitates habet inter oppida quaedam ingentes Bostram et Gerasam atque Philadelphiam murorum firmitate cautissimas.

On n’a pas cessé de gloser sur l’institution du BUMIDOM, créée en 1963 et supprimée en 1981, dans le cadre duquel une trentaine de milliers de jeunes ont quitté la Martinique pour la France. Le départ de ces jeunes était l’une des réponses apportées par l’État pour faire face au chômage grandissant des départements d’outre-mer. Selon ses contempteurs les plus hardis, l’institution ferait partie de l’arsenal de l’État français dont l’objectif serait de supprimer la part d’origine africaine de la population martiniquaise. La même accusation avait été portée contre le service militaire adapté (SMA) qui a été réhabilité depuis, y compris par les indépendantistes. Le BUMIDOM n’a pas connu le même retournement, de sorte que la stigmatisation voire l’opprobre continuent de frapper l’institution ainsi que ceux qui en ont bénéficié et leurs familles. Lesquels sont assignés à un silence gêné qui les maintient en dehors des débats.
La première alerte remonte à juin 2011. Une plombémie sévère est dépistée chez une fillette de 3 ans vivant à Mana, dans l’ouest de la Guyane. Son sang contient 1 724 microgrammes de plomb par litre (µg/L), alors que le seuil du saturnisme est atteint à partir de 50 µg/L. Une enquête sanitaire menée par l’Agence régionale de santé (ARS) révèle alors que la moitié des personnes vivant dans l’entourage de la fillette – dont la plupart des enfants – se situe au-dessus des normes.  » A partir de 50 µg/L, il peut y avoir chez le fœtus et l’enfant des troubles neurologiques avec des troubles cognitifs, des petites anomalies rénales, un peu d’hypertension « , précise Paul Brousse, médecin au Centre délocalisé de prévention et de soins de la collectivité territoriale de Guyane (CTG) à Maripasoula.
Un fait divers défraie la chronique en ce moment, en Martinique. Une mère a alerté la police à propos de la disparition de sa fille à la sortie d’une boîte de nuit. La jeune femme ayant réapparu après 4 jours passés avec un homme, l’opinion publique se déchaîne et s’indigne ! En particulier, un message qui circule sur les réseaux dits sociaux, conseille – à sa mère, mais certainement aussi à toute personne « responsable » qui la croiserait – de lui administrer « an volée baton griyav, baton clous », et propose de faire de cette affaire le sujet du prochain vidé, de fabriquer un bwa-bwa à l’effigie de la jeune femme, afin que chacun.e le roue de coups de « liann’ tomarin » !
S’il faut se féliciter de l’organisation (le 29/01/2018) par ATV d’un débat sur les 70 ans de la Sécu en Martinique, il est profondément regrettable qu’aucun des 3 invités, en plus du directeur de la CGSSM (caisse générale de Sécurité sociale de Martinique), n’ait fait part à ce dernier, de la liquidation en cours de l’institution par le patronat et les forces dominantes. Pourtant, s’il est bien de nos jours un enjeu majeur actuel, c’est clairement cette liquidation qui n’a cessé, depuis sa naissance en 1947, d’être l’objectif central –mais camouflé – du patronat, et des békés en particulier. Une liquidation mûrement programmée sous cape, mais que le patronat n’a pu ouvertement mettre en œuvre que lorsque les conditions de sa réalisation ont été réunies. Ne l’oublions pas : dès sa création, le patronat béké en Martinique – comme la bourgeoisie en France – a té hostile à la Sécu parce qu’il enrageait de voir la petite ponction opérée sur ses profits, servir les intérêts immédiats des salariés  (assurance maladie, allocations familiales, pensions de retraite). Un crime de lèse majesté, en plus du fait que celle–ci assurait, sans contrepartie de travail, des revenus monétaires et non monétaires aux salarié/es.
Selon Jean Dutourd « la démission des parents consiste à donner beaucoup d’argent de poche et peu de gifles ». Si nous ne sommes pas d’accord pour donner beaucoup trop d’argent de poche, nous nous révoltons tout autant contre les gifles. Ce n’est pas avec les coups qu’on éduque ni avec l’argent qui ne fait qu’éblouir. Nous voilà pensant à cet élève qui, alors que nous étions encore en fonction, arriva à l’école maternelle d’une banlieue de la Martinique, avec un billet de 50 € qu’il exhibait. Dans sa grande bonté, la souris qui avait récolté sa dent de lait, le lui avait généreusement glissé sous son oreiller. Il pourrait, lui avaient alors dit ses trop bienheureux parents, acheter autant de bonbons qu’il en voudrait, répétait-il.
Une tribune de Robert Kissous, statisticien-économiste, consultant auprès des Comités d’entreprise.
Damon Gameau, réalisateur du film 
N’attendez pas la date limite du 31 mai 2018 pour remplir votre Dossier social étudiant (DSE) ! Cette procédure en ligne centralisée vous permet de demander une bourse d’étude et/ou un logement social étudiant pour la rentrée prochaine auprès de votre académie actuelle ainsi que des aides auprès de votre Centre régional des œuvres universitaires et scolaires (Crous).
Dans un rapport publié le 12 juin 2015 (repris par Actu-Environnement) la Cour des comptes dénonce « des difficultés sanitaires persistantes » pour les habitants des Outre-mer et appelle à la « responsabilité de la République ». La Cour pointe des risques environnementaux « spécifiques », tels notamment le chlordécone aux Antilles qui ont « un fort impact sanitaire ». 
Un   pesticide est une substance chimique utilisée pour lutter contre des organismes considérés comme  
En installant un conseil scientifique dominé par des neuroscientifiques, le ministre de l’Éducation nationale entend proposer des méthodes d’enseignement « plus efficaces »… Une décision qui inquiète les acteurs du monde éducatif. Retrouvez notre table ronde avec Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, Bernadette Groison, secrétaire générale de la Fédération syndicale unitaire (FSU) et Bertrand Geay, professeur de sciences politiques, spécialiste des questions éducatives.
La population martiniquaise entière est en colère après ce crime affreux perpétré quatre mois seulement après le meurtre de Leïla et de ses deux enfants. Chaque fois, nous nous mobilisons, nous défilons, nous disons : PLUS JAMAIS ÇA – C’est utile et absolument nécessaire, mais ce n’est pas suffisant !
« Les meilleurs spécialistes des affaires martiniquaises ce sont les martiniquais », l’auteur de cette fameuse maxime, tout le monde le sait, est l’illustre Dr Pierre ALIKER , mon parrain, à l’égard duquel j’éprouve la plus haute estime et le plus profond respect ;
Le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, a reçu le 24 janvier 2018 le rapport de Pierre Mathiot sur la réforme du baccalauréat à l’horizon 2021. Les propositions présentées répondent à quatre constats : le baccalauréat a perdu de sa crédibilité, il doit rester le premier grade de l’enseignement supérieur, il est structuré par les épreuves finales sur une période limitée, il est devenu « un monstre organisationnel ». La transformation proposée pour le baccalauréat entraîne une transformation du lycée.
Malgré leur succès croissant, mis en lumière par Jazz à Saint-Germain-des-Prés et Jazz’Hum’ah notamment, les femmes du jazz peinent à obtenir la reconnaissance qu’elles méritent. Interview avec Marie Buscatto, auteure de l’édifiant livre « Femmes du jazz »
Au cours de la journée du 22 janvier, de très violents affrontements (caillassages, bagarres entrainant des mouvements de foule) entre bandes de jeunes ont eu lieu au sein et aux abords du lycée de Kahani nécessitant l’intervention des forces de l’ordre pour permettre l’évacuation des élèves. Cette situation n’est pas nouvelle puisqu’elle s’était déjà produite au mois de novembre 2017. Face à la situation extrêmement tendue et dangereuse, tous les personnels ont décidé unanimement d’user de leur droit de retrait jusqu’à nouvel ordre et demander la visite de la vice-rectrice. Les réponses apportées par celle-ci n’ont pas été jugées satisfaisantes pour les personnels qui se sentent abandonnés.
Sargas ! sakré anfandgas !
Contre cette barbarie machiste qui l’a tuée ce dimanche 21, qui blesse, rabaisse, prive de leurs droits des centaines de femmes au quotidien.
Une étrange nouvelle vient d’agiter le monde de l’éducation, à l’initiative de notre ministre Blanquer : il faudrait faire appel aux neurosciences, qui s’intéressent au fonctionnement du cerveau, pour améliorer les performances scolaires de nos élèves, dès le plus jeune âge, et certains exemples étrangers prouveraient que c’est efficace. Le spécialiste convoqué pour réaliser ce projet est Stanislas Dehaene. La compétence propre de ce professeur au Collège de France n’est bien entendu pas en cause. Seule l’est la nature de ce projet qui implique une extrapolation et une application des résultats les plus avancés de la biologie à un domaine, l’éducation, qui n’est pas le sien au départ. Et ce que j’ai entendu dire par Dehaene lui-même à ce sujet me laisse perplexe.
En Martinique, aujourd’hui, la barbarie machiste a encore frappé :
Le seul réseau, auquel le transport collectif se constitue aujourd’hui à la Martinique, est celui de la parole politique. En même temps, cette parole ne donne aux Martiniquais qu’un simulacre de présence de bus à l’arrêt, où se montre seulement leur majestueuse présence. En somme, de tout cela, il ne reste que le langage ! Un président parle, un autre aussi parle – existences nues, sans moyens, dans l’espace social martiniquais. En période carnavalesque, la crise politique vide la Martinique de son TCSP fantôme, dont, plus que jamais, seul le langage politique nous parle. 
Pas grand monde n’avait compris la récente lettre de Serge Letchimy de décembre dernier annonçant une catastrophe si le démarrage du TSCP avait lieu, comme annoncé par Louis Boutrin en ce début d’année. Il avait surpris même parmi ses proches. On sait cependant que l’ancien président de la région qui avait été maire de Fort-de-France et président de la CACEM, et qui avait annoncé ce démarrage dès décembre 2015 (sans le croire lui-même, bien évidemment), bref, celui qui a tenu le projet par tous les bouts, est très certainement l’élu qui connaît le mieux le dossier – sans doute mieux que AMJ. Il avait eu la maîtrise de l’ensemble des éléments : le TCSP lui-même, la Cacem et la CFTU, et avait été à l’origine de la plupart des grandes décisions (l’appel à VINCI, les tracées des voies, les ouvrages d’art…).