Du 12 au 19 juin 2018

La drépanocytose, la maladie génétique la plus répandue au monde – 50 millions de malades sur la planète – 20 000 malades en France – 150 000 porteurs sains (transmetteurs) – 4éme priorité de santé publique par l’ONU et l’OMS – 110 ans de découvert – 29 ans de combat pour l’APIPD – où en est-on avec la recherche ?
La drépanocytose est la maladie génétique la plus transmise dans le monde, par des parents qui peuvent être porteurs sains, ignorant ainsi qu’ils risquent de donner naissance à un enfant malade.
C’est une affection du sang, qui provoque une dégénérescence des globules rouges, source de crises extrêmement douloureuses et d’une espérance de vie amoindrie. Issue d’une mutation des gênes pour résister au paludisme, elle est apparue dans des zones telles que l’Afrique, les Antilles, le Bassin Méditerranéen, l’Amérique du Sud, mais est aujourd’hui répandue sur toute la planète.
Avec 300 000 nouveaux cas par an dans le monde, c’est un fléau que l’on ne peut ignorer aujourd’hui.
Elle a été découverte il y a plus de 110 ans, reconnue par l’Union africaine, l’UNESCO et les Nations-Unies au milieu des années 2000.

—Par Pauline Chateau —
— Par Faustine Vincent (Guadeloupe, envoyée spéciale du journal Le Monde)
Présentation
Qu’y a-t-il de commun entre la faillite et récente fermeture (17 mai 2018) du centre de santé de Basse-Pointe ouvert en 2015, et la réponse globalement négative donnée par le Ministère de la santé, à Paris, aux préoccupations de la délégation mixte « Sauver la santé en Martinique/CHUM Douvan Douvan » conduite par Jean-Luc Fanon ? En apparence rien, sauf que l’un comme l’autre dépendent de la politique de Macron et Buzyn, sa ministre de la santé, qui poursuivent avec la même obstination que tous les gouvernements qui les ont précédé ces 30/40 dernières années, les mêmes orientations libérales dont font les frais l’immense majorité de la population. Sauf encore qu’aussi bien du côté de la création du centre de Basse-Pointe que de la démarche de Fanon et de « Sauver la santé en Martinique » notamment, on s’est situé sur le terrain de l’adhésion au modèle libéral miné de la santé en France, acceptant sans trop de tergiversation sa philosophie et ses postulats, ses réponses (fournies et à attendre) aux problèmes posés concernant la santé en Martinique (comme en France).
La classe politique fra
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— Par Yves-Léopold Monthieux —

Halte aux augmentations inadmissibles des produits pétroliers. Apportons la réponse politique nécessaire à cette spoliation
(L’ensemble des Ateliers proposés se déroulent au Domaine de Tivoli à Fort-de-France, Studio/Atelier d’Adélaïde CORINUS, Bâtiment E, parking du bas)
Après les propos du président sénégalais sur le « dessert » auquel auraient eu droit les tirailleurs du pays dans les casernes, des intellectuels rappellent les réalités de l’époque.
Au-delà de la mobilisation acharnée du personnel d’ATV pour préserver son outil de travail et par la même le sacro-saint principe du pluralisme de l’information télévisée, il convient de tirer, sur un plan plus général , les enseignements de cette initiative remarquable, appelée à faire date.
L’agriculteur Cédric Herrou, condamné à de la prison avec sursis pour avoir aidé des migrants dans les Alpes-Maritimes, a reçu la médaille de la ville de Grenoble. Le maire entendait ainsi dénoncé le délit de solidarité qu’il juge absurde et inadapté.
Ce problème est un problème général. La question de l’unité organique du système d’enseignement est posée, dans tous les pays, à l’ensemble des structures éducatives. Elle se pose d’autant plus que les Ministères de l’Education Nationale sont loin de répondre, à l’heure actuelle, aux besoins éducatifs, repérés dans leur généralité. D’autre part, cette question renvoie à deux autres problèmes :
A une commémoration de la mort de Frantz Fanon, deux personnalités étrangères avaient été invitées par des anticolonialistes martiniquais. J’avais observé alors que l’évènement n’avait concerné qu’une chapelle et que des militants connus de l’anticolonialisme en avaient été écartés. Je m’étais interrogé sur ce que pouvaient penser les filles de CHE GUEVARRA et de MALCOM X (je crois) à leur retour dans leurs pays respectifs, d’un pays à décoloniser, champion de consommation, comme la Martinique.
MOTS DE TOUS LES ÂGES – Le lexicologue Jean Pruvost, auteur d’un
— Par M’A —
Il était surnommé « la voix d’or du Mali ». Kassé Mady Diabaté est mort jeudi 24 mai à Bamako à l’âge de 69 ans. Kassé Mady Diabaté était l’un des plus grands griots maliens, si ce n’est le plus grand.