Non à la criminalisation de l’action syndicale ! Solidarité avec Jean-Marie Nomertin, convoqué ce 6 Avril au tribunal de Basse-Terre (Gpe)
Suite à la grève des ouvriers de la banane de Guadeloupe, menée de mai à juin 2017, Jean Marie Nomertin, secrétaire général de la CGTG, se trouve assigné en justice par le patron de la banane, Dambas.
Ce patron accuse notre camarade de l’avoir diffamé après la mort d’un travailleur de la plantation. Mais il apparait que ce patron tente surtout de sauver la face après avoir refusé d’appliquer l’accord de la dernière grève des ouvriers de la banane en mai-juin 2017
Cette action en justice contre le camarade NOMERTIN dans l’exercice de ses fonctions syndicales s’inscrit dans une vague de répression anti syndicale qui touche de nombreux militants aux Antilles et en France.
En Guadeloupe, Elie Domota était il y a quelques jours assigné pour une peccadille. Plus d’une centaine de militants de l’UGTG sont inquiétés. De même, en France, des camarades de PSA et d‘autres depuis quelques années.
Il existe une véritable campagne de criminalisation de l’action syndicale.

Le chanteur Jacques Higelin, un des pionniers du rock français, est décédé vendredi matin à Paris à l’âge de 77 ans, a annoncé sa famille.
Attaquée depuis les origines, la sécurité sociale est souvent accusée de trop peser sur le « coût du travail » et de constituer ainsi un frein à la compétitivité. La campagne pour accréditer l’idée qu’elle serait un choix de société dépassé et coûtant trop cher est puissante. La sécurité sociale a pourtant joué un rôle considérable dans l’amélioration des conditions de vie du plus grand nombre, dans l’atténuation de la peur du lendemain et dans l’allongement de la durée de vie. Elle est un vecteur fondamental de l’épanouissement humain et du développement de nos sociétés. Appréhendée comme un commun et largement démocratisée, elle constitue un dispositif fondamental pour répondre aux nouveaux défis que l’humanité doit affronter.
Dans tous les pays dits « démocratiques », les taux d’abstention aux élections ne cessent d’augmenter. Concernant les élus, les sentiments exprimés majoritairement dans la population, ce sont la désillusion et le dégoût ; ce que traduit la formule « tous pourris ». Ce phénomène est gentiment qualifié de « désamour » par les commentateurs autorisés.
La société de croissance d’aujourd’hui est une société, où il y a accélération de la société globale vers une société scientifico-technique. Dans une société de ce type, les problèmes pédagogiques et politiques ne peuvent plus se poser dans des termes empruntés au passé, du fait que toute communauté humaine résulte d’une mutation considérable de l’idéologie et de la philosophie de l’existence. Une société de consommation n’est plus une société de production. L’entretien de la consommation exige la création de besoins et de désirs, et une mobilisation du psychisme vis-à-vis de la consommation elle-même, qu’entraînent d’ailleurs la publicité omniprésente, les mass média, et les formes nouvelles de conditionnement des masses.
Les suites données aux consultations populaires de janvier 2010 ont démontré qu’il n’est pas besoin d’obtenir l’accord du peuple pour modifier le parchemin institutionnel. Il suffit que le pouvoir le veuille, et que la presse et les juges se taisent. Les électeurs martiniquais avaient nettement exprimé leur attachement au département, c’était l’échec des élus évolutionnistes à convaincre le peuple. Nicolas Sarkozy est passé outre la volonté exprimée par les électeurs : le département a été supprimé.
Lalin, entjèt kon an tatjèt adan an finèt nèf, pa lévé
Martin Luther King Jr., né à Atlanta (Géorgie) le 15 janvier 1929 et mort assassiné le 4 avril 1968 à Memphis (Tennessee), est un pasteur baptiste afro-américain, militant non-violent pour les droits civiques des Noirs aux États-Unis, pour la paix et contre la pauvreté.
Par les temps qui courent, donner son opinion au café, dans un lieu de culte, sur la toile et les réseaux sociaux suite à un acte terroriste est risqué. Ca peut être considéré comme apologie du terrorisme et non liberté d’expression. Explication. Retour sur la condamnation de l’auteur des tweets se réjouissant de la mort du gendarme Arnaud Beltrame à un an de prison avec sursis.
Allocations pour les familles, pensions d’invalidité, chèque énergie, tarifs du gaz, carnet de santé, relations avec les banques : retrouvez dans ce dossier une sélection des nouveautés prévues en avril 2018.
Hac ex causa conlaticia stipe Valerius humatur ille Publicola et subsidiis amicorum mariti inops cum liberis uxor alitur Reguli et dotatur ex aerario filia Scipionis, cum nobilitas florem adultae virginis diuturnum absentia pauperis erubesceret patris.
Trois personnes ont été condamnées cette semaine en Mauritanie à des peines de 10 et 20 ans de prison ferme pour pratiques esclavagistes, a appris l’AFP aujourd’hui de sources concordantes. Les ONG de défense des droits de l’Homme accusent la Mauritanie de « déni » et de « censure » face à la persistance de cette pratique, officiellement abolie en 1981. La Mauritanie s’est cependant dotée en décembre 2015 de trois tribunaux spécialisés dans les affaires d’esclavage, à Nouakchott, Nouadhibou (nord-ouest) et Néma (sud-est). Ce dernier avait prononcé une première condamnation en mai 2016, à l’encontre de deux hommes, qui avaient écopé de cinq ans de prison ferme.
Quoique publié en anglais, cet ouvrage mérite d’être signalé, compte tenu de la valeur de son auteur. Mumia Abu Jamal publiait en juillet dernier chez City Lights Editions « Have Black Lives ever mattered ? ». Un ouvrage qui n’est pas passé inaperçu du côté de l’Amérique et qui mérite son temps de lecture.
L’ex-international français Lilian Thuram a estimé jeudi auprès de l’AFP que la «réelle volonté de la Fifa» de résoudre le problème du racisme «se vérifiera par un arrêt de match», à la suite des cris de singe lors du match amical Russie-France (1-3), mardi dans le pays-hôte du Mondial-2018.
Du Goût de l’autre
Quels
À la veille de la sortie nationale du 4ème Plan Autisme, MARTINIQUE AUTISME souhaite informer le plus grand nombre de personnes sur :
Corinne Mencé-Caster fut la dernière présidente de l’Université des Antilles et de la Guyane (UAG). À la fin de son mandat, la Guyane ayant fait sécession, elle ne présidait plus qu’une Université des Antilles (UA) elle-même en proie à de fortes tensions internes. Son livre intitulé « roman » sur la couverture mais dont tous les personnages sont reconnaissables par les initiés, est en réalité un plaidoyer pro domo qui vise à l’affranchir de toute responsabilité dans la situation dans laquelle elle a laissé l’université à son départ, marquée par la désaffection des étudiants.
Dans les Antilles françaises et en Guyane, les dispositifs de santé contre le sida et les infections sexuellement transmissibles ne correspondent ni aux territoires ni aux besoins des populations.
Pierre Pastel, sociologue et psychothérapeute propose un texte publié en 2008 (dans la revue Alizés) et qui a pour titre : Le BEAU
Des moyens pour l’espace d’écoute de l’Union des Femmes de la Martinique et les associations de luttes contre les discriminations sexistes.
La Martinique est-elle en passe de devenir le meilleur des mondes politiques pour les agents des Collectivités publiques ? Non ! s’il faut en croire les mouvements de grêve de ceux-ci, pour leur liberté, pour leur dignité au travail, au sein des services, des organismes, ou des ateliers, relevant des dites collectivités. Depuis le conflit mémorable du Parc naturel Régional, c’est devenu un trait assez commun d’avoir recours à des revendications, voire même à des affrontements, comme à Plateau Roy, dans le but de mettre en cause la culture électoraliste planifiée de gestion des travailleurs, dans les organisations administratives et techniques de nos collectivités. Ne va-t-on pas jusqu’à parler de favoritisme, d’élitisme, de domination, d’abus de pouvoir, par l’entremise de supertechnocrates, substituts des présidences élues, se croyant intouchables, tels des monarques de droit électif ! Au nom de quelle compétence, et pour quel profit ?
Au moment où le gouvernement a présenté le 18 janvier 2018 le projet de futur »PLAN PESTICIDES », (dont la date limite de dépôt des propositions est fixée au 30 mars 2018), nous remarquons qu’aucune communication n’a été faite à ce sujet par les Services de l’État, contrairement à la surmédiatisation sur la molécule Chlordécone, savamment orchestrée en Martinique par nos médias.