— Par A3C —
Le décès d’un enfant de 3 ans dans un bus est révoltant. Il pose le problème de ces enfants oubliés dans des véhicules arrêtés souvent en plein soleil quand l’atmosphère est déjà torride. Ce décès pose le problème de la formation des chauffeurs de cars qui devraient vérifier qu’un enfant n’est pas resté dans le véhicule. Mais il pose aussi les réponses à apporter pour éviter qu’un tel drame ne puisse se reproduire.
S’il s’agit d’un bus de transport scolaire, il nous paraît nécessaire que l’absence d’un enfant à l’école soit immédiatement signalée par la direction aux parents comme cela se passe dans le Second Degré. Ceci nécessite sans doute le recrutement d’un personnel en charge du problème des absences pour seconder le directeur. Mais en contrepartie, les parents alertés auraient pu répondre que l’enfant disparu avait bien pris le bus, diligentant ainsi une enquête qui aurait peut-être permis de le sauver.
Si par contre il s’agissait d’un bus transportant des enfants en sortie scolaire ou autre, il revient au personnel d’encadrement des enfants, en nombre suffisant, de vérifier que tous les enfants ont été bien récupérés.

Le prix Nobel de la paix a été attribué vendredi au gynécologue Congolais 
#POURLACCUEILDESMIGRANTS
Nemo pa dwet mo : solidarité patriyotik.
Le SNUEP-FSU dénonce le « dispositif classe passerelle BTS » instauré en toute hâte pendant les grandes vacances, pour masquer les insuffisances de ParcourSup.
Hac ex causa conlaticia stipe Valerius humatur ille Publicola et subsidiis amicorum mariti inops cum liberis uxor alitur Reguli et dotatur ex aerario filia Scipionis, cum nobilitas florem adultae virginis diuturnum absentia pauperis erubesceret patris.
Comment comprendre le manque de dialogue social dans la gouvernance CTM ? Une telle question oblige à distinguer entre le Soi essentiel de la création politique, et l’Ego dictatorial, constamment centré sur lui-même. Quand l’individualité prend le pas sur la personne, notamment chez celui qui dirige, ce qui se manifeste alors, c’est l’étroitesse de l’égo, se sentant toujours menacé, et voulant accaparer le pouvoir pour lui-même. La personnalité n’apparaît jamais en cas de crise sociale, comme lors des mafestations des quarante agents contractuels, licenciés sans raison, par volonté présidentielle.
La Gauche, tout au long de son cours n’a cessé de fustiger les licenciements annoncés dans les plans sociaux des entreprises ou émanant des partis de la Droite.
Selon une étude de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) publiée mardi 25 septembre, 26 % des femmes déclarent ne pas sortir de chez elles en soirée si elles ne sont pas accompagnées. Globalement, 17 % des Français renoncent à quitter leur domicile seul.
Le SNUEP-FSU condamne fermement la visite-enfumage d’Emmanuel MACRON dans notre pays.
Il ne suffit pas, comme dit l’autre, de sauter comme un cabri en criant « Autonomie ! Autonomie ! » pour se voir décerner le label d’ « anticolonialiste ». Un anticolonialiste est indépendantiste, ou ne l’est pas. Tandis qu’un autonomiste anticolonialiste, cela n’a pas de sens. D’ailleurs, on attend en vain que les adeptes de cette autonomie disent en deux phrases ce que recouvre, selon eux, ce mot. D’aucuns s’accrochent au fameux discours de campagne électorale, dit des « Trois voies et cinq libertés », qui s’acheva tristement dans la mort d’un individu. Or 15 ans plus tard, en 1993, comme pour dire que ce mot d’ordre n’était pas satisfaisant, le secrétaire général du PPM, Camille Darsières, annonça que son parti se donnait « huit mois pour définir le contenu de l’autonomie ». A ce sujet Raphaël Confiant écrira que “c’est incroyable de la part d’un parti qui réclame à cor et à cri l’autonomie depuis trente-trois ans” (Aimé Césaire, une traversée paradoxale du siècle). Vingt-cinq ans plus tard, rien n’a changé.
La présence récurrente d’éléments allogènes au cours des travaux de la CTM ne pouvait pas manquer de provoquer des dysfonctionnements. Avant 1983, la libre entrée dans l’hémicycle du conseil général n’était pas admise. Ce n’était pas une bonne pratique de la démocratie. L’opposition de l’époque estimait que la limitation des entrées au public relevait d’une décision autoritariste, contraire à la démocratie. Elle était dans son rôle.
Il faut être bien isolé des Guyanais et du battement vital de la Guyane pour ne pas se rendre compte que, depuis l’affaire du squat de la rue madame Payée, leur colère est montée de plus d’un cran. Les propos particulièrement indignés de l’écrivaine Aline Chanol, l‘autre soir sur Télé-Guyane la 1ère, sont sans doute l‘expression la plus achevée de cette exaspération grandissante.
Demande d’extrait d’acte de naissance ou de casier judiciaire, carte grise, nombre de points restant sur votre permis de conduire… La plupart des démarches administratives peuvent se faire gratuitement en ligne sur les sites officiels de l’administration française. Il existe néanmoins des sites privés, souvent payants qui proposent de vous aider. Attention, il peut s’agir d’arnaques rappelle la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).


Dans une tribune au « Monde », l’écrivain algérien critique la traque de la sexualité par les religieux du monde musulman.
En 2015, 1,4 million de personnes âgées de 53 à 69 ans résidant en France métropolitaine, soit 11 % des personnes de cette tranche d’âge, ne perçoivent ni revenu d’activité ni pension de retraite, qu’elle soit de droit direct ou de réversion.
Après le blocage de son compte Twitter en raison de la diffusion d’une caricature de Charb, Marika Bret, figure historique de « Charlie Hebdo », s’insurge ce 18 septembre contre la sanction du réseau social. Elle condamne plus largement la multiplication des censures à l’encontre du dessinateur disparu, qu’elle qualifie de « seconde mort ».
Le Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche a rendu hier sa décision dans le volet disciplinaire de l’affaire de ce laboratoire de recherche de l’Université. Fred Célimène, Kinvi Logossah et Eric Carpin sont révoqués de l’enseignement supérieur.