
Des usagers surpris et impuissants ce samedi 10 novembre, ni de bus, ni TCSP, pas d’information a des hôtesses incapables d’informer les clients. Blocage, grève pourquoi ? Aucune information n’a filtré de la part de la direction de la CFTU, des travailleurs, des syndicats concernés. Aussi les usagers n’ont pas pu anticiper et prendre les dispositions nécessaires. Irrespect total et belle pagaille.
NOU BON EPI SA !
Le service minimum doit être assuré même en cas de grève afin de d’assurer une forme de mobilité à une population déjà précarisée. AUTM déplore que ce service ne soit toujours pas assuré malgré les promesses de la direction CFTU et de l’autorité préfectorale.
La CFTU doit assurer ses responsabilités en pratiquant un meilleur dialogue avec les salariés afin de mieux gérer les conflits.
Quatre communes et les usagers de ces communes sont pris en otage.
AUTM respecte le droit de grève de chaque salarié et particulièrement des travailleurs CFTU.
Il n’y a pas de transport sans usagers.
AUTM RECLAME LE RESPECT DE LA LOI LA MISE EN PLACE D UN SERVICE MINIMUM.
Quand un transport de qualité respectueux des usagers et de leurs droits ?


Dans une lettre ouverte, un collectif s’adresse aux chefs d’État et de gouvernement des démocraties afin que le cinéaste ukrainien Oleg Sentsov, qui a mené une grève de la faim pendant cinq mois pour attirer l’attention sur le sort des Ukrainiens indûment détenus en Russie, soit libéré. Face au silence du Kremlin, il est temps que les dirigeants européens, réunis pour les commémorations du 11-Novembre, se mobilisent
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Gérald Bloncourt est décédé à Paris le 29 octobre 2018. En 1944, il a participé à la fondation du Centre d’Art à Port-au-Prince. Militant révolutionnaire, il a lutté aux côtés des écrivains Jacques Stephen Alexis et René Depestre. Exilé à Paris où il a vécu depuis 1946, il a été reporter photographe pour la presse de gauche et est l’auteur de plus de 200 000 photographies.
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La violence actuelle de certains lycéens serait-elle enracinée dans les ghettos de nos banlieues prolétaires ? Il est évidemment facile, trop facile, de mettre les faits délictueux récents en relation avec le phénomène d’immigration, très manifeste, à vrai dire, à la périphérie des grandes villes. La violence serait-elle la vertu même de la jeunesse immigrée ? Nous voici, en effet, devant des manifestations significatives de bandes rivales, dont l’aspiration générale est d’en découdre avec les autorités de toutes natures, de police, de justice, d’éducation. N’est-ce pas là une aspiration typique de l’art de vivre en paria, au sein d’une banlieue nue et sauvage ? Est-ce là la véritable cause de l’éloignement d’une certaine jeunesse, se sentant exclue de l’évolution normale de la vie communautaire ?
— Par Jacky Dahomay —
Angélique Stastny, docteure en sciences politiques, considère dans une tribune au « Monde » que les accords successifs depuis 1988 ne respectent pas le droit à la souveraineté des Kanak.
lly a deux natures de Français devant leur histoire …Et Nous ?
Genève – La pollution de l’air, tant intérieur qu’extérieur, entraîne chaque année la mort de quelque 600.000 enfants de moins de 15 ans en raison d’infections aiguës des voies respiratoires, a alerté lundi l’OMS.
Bastonnades, électrocutions, asphyxies : les prisonniers politiques vénézuéliens sont victimes de multiples supplices et vivent dans des conditions sanitaires déplorables. Dans l’incapacité de se défendre équitablement, ces détenus constituent une monnaie d’échange pour le gouvernement. Plusieurs anciens prisonniers témoignent.
— Par Culture Égalité — 

Ces trois tares présentent un caractère rédhibitoire.
— Par Daniel Roucous —
Monsieur le Président,
D’après l’UFC-Que Choisir, de nombreux additifs alimentaires autorisés sont dangereux pour la santé et massivement utilisés dans les produits industriels, «y compris dans les produits de grandes marques».
Le colloque de jeudi dernier par le préfet sur le chlordécone a donné lieu à de nombreux commentaires critiques. Il avait au moins le mérite de laisser entendre que l’Etat ne pouvait paraître indifférent à l’empoisonnement de notre population. Mais que fait-il réellement ? Et que faisons-nous, nous-mêmes, face à cet empoisonnement ? 
L’Éducation Permanente, tel est le but de l’éducation scolaire et universitaire, mais c’est aussi son inspirateur. Il faut apprendre aux élèves et aux étudiants à tirer parti des sources d’information, pour leur propre perfectionnement, et donc à utiliser un certain nombre d’outils pour cette fin. Ce qui change complètement les structures de transmission des connaissances, et l’attitude pédagogique de type autoritaire ! En effet, celle-ci se fonde sur une dénivellation statutaire entre les générations, qui séparent l’adulte, responsable et indépendant, du jeune, irresponsable et dépendant – séparation, qui est devenue inséparable à la jeunesse, et qui n’a pas été comprise par l’éducateur dans sa véritable dimension. Cette séparation est liée à la séparation entre l’idée de formation autoritaire, le savoir donné entièrement par le professeur, et le contrôle du savoir, d’une part, et le changement d’attitude, où un certain nombre de responsabilités sont transférées à la jeune génération. Il faut éviter cette séparation, et celle qui existe entre l’univers scolaire, lié à des normes respectables, mais conventionnelles, et l’univers concret, où jouent les nécessités de travail, les engagements personnels, les responsabilités.
Le 80ème prix Albert-Londres a été remis aujourd’hui à Istanbul à Élise Vincent, du journal Le Monde, pour une série de reportages sur le djihadisme et la radicalisation en France. Le plus prestigieux prix de journalisme francophone, décerné en Turquie en signe de soutien aux journalistes turcs confrontés à une campagne de répression par les autorités, a également consacré Marjolaine Grappe, Christophe Barreyre et Mathieu Cellard dans la catégorie Audiovisuel, pour leur film « Les hommes du dictateur », sur le financement du régime de Corée du Nord, diffusé sur Arte.